Juste les propos de journalistes !!!!!!
Et prière de ne pas répondre à ce message mais juste le lire si il vous intéresse !!!!
" T.J Parker enfonce Pau "
Malgrè un sursaut tardif, l'Elan a subi un septième revers en Pro A, à Paris, ou le frère de " TP " a brillé.
GORDON HERBERT rêvait d'un retour gagnant à Paris. Mais l'entraîneur de Pau est tombé dans le guêpier, comme beaucoup d'autres à l'époque ou son PBR nraguait les puissants. Il a même quitté Coubertin dans une colère rentrée, de surcroît nanti d'un rapport arbitral pour avoir manifesté bruyamment son désaccord avec une décision qui ferma probablement la porte d'un succès in extremis au nez de son équipe.
Errant à dix-neuf points de Paris à sept minutes de la fin (51-70), l'Elan Béarnais avait semé la panique dans les rangs parisiens et réussi une escalade expresse, passant un 15-0 en quatre minutes (66-70, 37e), sur les ailes de Britton Johnsen. Mieux, dans ce match devenu fou, CC Harrison rapprochait les siens à une possession (72-75, 39e).
Un peu plus tard, il interceptait une balle à mi-terrain sur Donald Copeland. Mais le panier facile qui devait suivre ne fut jamais marqué. Le tir fut contesté (faute, pas faute ?) et, surtout, le rebond qui suivit ne put jamais être négocié par Johnsen, poussé par Petrovic, comme le montre les images télévisées.
Sur la relance, le super tonique Dwayne Mitchell ajouta deux points et un lancer....(78-72 à une minute de la fin).
Et Copeland plia l'affaire sur un drive à trente_huit secondes.
Herbert, lui, ne décolérait pas. " Comment peut-on ne pas siffler la faute sur CC ? C'est incroyable.... " chuchotait le Canadien, joues creusées, plus livide que jamais. " On méritait peut-être de perdre mais pas comme ça ! " enchaînait Pierre Seillant, le directeur exécutif de l'Elan.
" Cela fait deux erreurs d'arbitrage dans la même semaine ", grognait-il, rappelant la fin du match contestée à Salonique.
[center]" Que faut-il faire ? Ne pas les payer ? "[/center]
Le manque de sérénité générale et les interrogations individuelles (vrai-faux départ de Mike Bauer en civil hier en raison du règlement des quatre Américains maximum, insiffisances d'Aaron Miles et des joueurs du banc) ne servent pas non plus les intérêts d'une équipe qui vit son plus mauvais départ en championnat depuis plus de vingt ans et l'époque héroique d'Orthez. Quinzième ex aequo, avec trois revers successifs, Pau nage à contre-courant en pleine zone dangereuse.....Dans un inexplicable paradoxe entre des matches disciplinés, rigoureux en Euroligue et des brouillons en Pro A (89 pts de moyenne concédés lors des trois derniers matches).
" On n'a défendu et combattu que huit minutes ", pestait Herbert. Les huit dernières, lorsque l'incendie atteignit son paroxysme. " Que faut-il faire ? Ne pas lespayer ? ", s'interrogeait Pierre Seillant, qui écartait toute idée de changement d'entraîneur : " On finira comme ça !".
Et, puisque ce Championnat tourne les têtes, Paris, lui , a rejoint le top 8 à l'issue de cette nouvelle grosse prise, après Strasbourg, Gravelines et l'ASVEL, tous tombés dans la toile parisienne. " Il faudrait jouer des équipes européennes toutes les semaines ", souriait le coach grec Elias Zouros, qui à son tour à mis en place à Paris ce que Herbert souhaite transposer à Pau.
Derrière le panache du vieux lion à l'oeil de tigre Larry Stewart (37 ans depuis le 21 septembre), omniprésent, le PBR a pu compter sur un banc au niveau de l'évènement, duquel s'est extrait un T.J Parker de gala, digne de sa lignée.
Avec 23 points, au bout d'un magnifique 7 sur 11 à trois points, le frère cadet de Tony a effacé un début de saison très poussif (6 pts en 17 min par match jusque-là, dont 5/20 aux tirs primés). Le plus souvent ouvert, du fait des options paloises, l'arrière parisien s'est régalé, bonifiant touttes ses positions, prenant même des tirs en reculant : un festival qui mit à genoux Pau entre la fin du troisième et le début du quatrième quart (de +8 à +14). " Je suis comme ça tous les jours à l'entraînement, mais c'est la première fois que j'en mets autant dans un match ", appréciait le seul survivant du PBR 2005-2006, " surpris de voir qu'on (Pau) me laisse ouvert ".
Le héros du jour leva avoua aussi que le retour à la porte de Saint-Cloud de " Gordy" ne l'avait pas laissé insensible : " Ca m'a motivé ! Je voulais lui montrer que j'avais progressé. Même si je sais que je lui ai fait un peu de mal... " . Beaucoup même.
(Source : L'EQUIPE)
" Pau encore à la faute "
PARIS-PAU-ORTHEZ. Même si une irrégularité non sifflée a causé leur perte, les Palois ne peuvent s'en prendre qu'à eux-mêmes. L'Elan n'est toujours pas le même en championnat qu'en Euroligue.

Inconstance. Aaron Miles est dépassé par son homologue parisien et c'est une nouvelle défaite de l'Elan Béarnais sur la scène nationale.
PRO A
Sur l'ensemble de la partie, Pierre Seillant ne crie pas au scandale. « On a donné le bâton pour se faire battre, dit-il. Avec tout le respect que j'ai pour Paris, on ne doit pas perdre ici. Nous n'avons pas la même implication qu'en Euroligue. C'est insupportable ». Ce qui l'est encore plus à ses yeux, ce n'est pas cette traversée du désert, mais le grain de sable qui provoque l'enlisement de l'Elan Béarnais au classement. Qualifiables à l'échelle continentale, ses joueurs ont encore raté une marche en championnat et se retrouvent maintenant avec un orteil dans la zone rouge. « Non, la position du coach n'est pas fragilisée, dédramatise leur directeur exécutif. Si on part là-dedans, on ne s'en sortira pas. On a commencé comme ça, on va finir comme ça ».
Le tournant. Mais revenons au fait du match, une faute oubliée sur CC Harrison à une minute de la fin, "monumentale" selon son patron. Pau n'avait plus alors qu'un shoot de retard. « Tout le monde l'a vue, sauf les trois arbitres, se désole Seillant. Cela fait deux fois en une semaine. C'est trop ». Son entraîneur, Gordon Herbert, ne comprend pas non plus et manie le sous-entendu : « C'était le même arbitre qu'à Villeurbanne ». Un vieux contentieux apparemment.
Et Parker surgit. Le parcours des Parisiens n'a ni queue ni tête. Leur jeu aussi parfois. Le PBR a commencé avec trois shoots (9-2, 3e). Petrovic était sur son petit nuage. Mais son meneur, lui, était dans la lune. Kris Morlende, sosie de Claude Makelele, ne trouva rien de mieux que de faire rebondir le ballon sur son pied. Symptomatique d'un effectif capable du pire comme du meilleur, mais qui possédait déjà les scalps de Gravelines, Strasbourg et l'ASVEL. Fallait-il dès lors s'étonner de voir les Palois, menés depuis le début (13-5, 5e), passer devant dans la dernière minute (17-20, 10e) ? L'avantage, face à un adversaire aussi lunatique, c'est qu'on ne panique pas. L'inconvénient, c'est qu'on n'est jamais tranquille. Trois minutes après la reprise, les hommes d'Elias Zouros avaient déjà retourné la situation grâce au frangin Parker (28-24, 13e), TJ, lancé comme un TGV.
Un final fou. Quand le score n'en fait qu'à sa tête, l'apport d'un joueur comme Wright est inestimable. Très complémentaire avec Johnsen, avec lequel il assura la marque (38 points à eux deux), le nouvel intérieur palois a longtemps servi de boussole à sa formation, à défaut de l'amarrer. Mais alors que Pau-Orthez avait mieux fini les deux premiers quart-temps, c'est le contraire qui se produisit dans le troisième. L'écart prit des proportions inattendues grâce toujours à Terence Parker, soudainement métamorphosé en shooteur fou (sept au total), car ignoré par une défense qui avait déjà fort à faire avec Stewart. Et on n'était pas au bout de nos surprises.
Après avoir encaissé un 19-4, les Palois répliquèrent par un 13-0. Fidèle à sa logique folle, la rencontre allait se jouer à pile ou face. Parti en contre, Harrison voyait le ballon ressortir (75-72, 39e). Johnsen était bousculé au rebond. Mitchell en profita (78-72, 40e). CC se fit pardonner avec un shoot (78-75, 40e). Mais l'Elan venait de laisser passer sa chance. Et l'arbitre, une faute (83-77, 40e).
(Source : http://www.sudouest.com)
" Un ultime effort inutile "
Troisième échec consécutif pour l'Elan, revenu en fin de match, mais qui compte désormais sept défaites.
Après avoir eu 19 points de retard, l'Elan Béarnais a eesayé de forcer le destin en serrant , enfin, sa défense. Mais les efforts de Britton Johnsen ont été unutiles, les Palois ne parvenant jamais à revenir à la hauteur de Parisiens parfaitement servis par l'adresse de TJ Parker à trois points.
Gordon Herbert a quitté le Palais des sports de Pierre de Coubertin la tête basse et la rage au coeur. Dans cette salle ou il a remporté des uccès improbables, alors qu'il entraînait le Paris Basket, ce qui avait permis au club parisien de sauver sa tête, le Canadien a souffert mille maux pour finalement voir les Palois s'incliner de six longueurs (77-83).
Si Gordon Herbert reconnaissait que son équipe b'avait pas vraiment été à la hauteur, il en voulait aux arbitres et en particulier à celui qui n'avait pas sifflé une faute sur CC Harrison, à la fin d'une contre-attaque, à un peu plus d'une minute de la fin de la rencontre.
[center]" Une faute oubliée "[/center]
Il est vrai que cetta ction a tenu un rôle important dans le socre fina. Car Pau aurait pu se retrouver à seulement deux longueurs de Paris. Au contraire sur le contre Parisien, Dwayne Mitchell réussissait les deux points avant d'y ajouter un lancer franc.
Résultat ? Au lieu d'être à -3, l'Elan se retrouvait à -6. La dernière chance de l'équipe de Pierre Seillant était passée....
Une nouvelle défaite pour les Palois qui se trouvent aujourd'hui dans une situation difficile dans le classement du championnat de France, alors que se profile un déplacement très important à Naples pour le compte de l'Euroleague.
Maintenant, il faut bien reconnaître que Paris n'a pas volé sa victoire. D'abord parce que les Parisiens ont fait preuve de beaucoup plus d'agressivité que les Palois, aussi bien en attaque qu'en défense.
Ensuite parce que les 7 tirs à trois points réussis sur 11 tentatives de TJ Parker méritait bien un succès final. Surtout que le frère de qui vous savez n'a jamais tiré dans des conditions difficiles, la défense paloise lui laissant de véritables boulevards pour tenter sa chance.
En réalité Parker n'a fait, très bien, que terminer les attaques parfaitement menées par le PBR face à une défense beaucoup trop statique. Les Palois, qui avaient laissé Michael Bauer sur la touche, auraient pourtant du se méfier de l'adresse longue distance des Parisiens. Car les trois premières actions de Paris se terminaient par trois tirs réussis de loin. Pau, pris à la gorge, avait du mal à se mettre en route et la cavalerie du PBR semblait trop rapide pour la lourde machine de l'Elan Béarnais.
[center]" Malgrè Johnsen "[/center]
Heureusement pour Gordon Herbert et ses joueurs, Michael Wright et surtout Britton Johnsen, montaient en puissance en emmenant leurs camarades dans leur sillage, ce qui permattait à Pau de mener de 3 points (20-17) à l'issue du premier quart-temps.
On constatait alors que Pau-Orthez, après avoir concédé un 2-11 en trois minutes, avait répondu par un 18-6.
En réalité pratiquement toute la rencontre allait s ejouer sur des séries de l'une ou de l'autre équipe. Ainsi Paris continuait avec un 20-6 orchestré par Parker et Larry Stewart. Paris avait profité au maximum des changements de joueurs effectué par Gordon Herbert qui devait rappeler en urgence les pompiers Johnsen et Wright pour que l'Elan ne compte plus que quatre points de retard à la mi-temps.
(37-41). Malheureusement, avec un grand nombre de lancers francs qui sanctionnaient les fautes palois, Paris repartait de plus belle pour dominer son adversaire de la tête et des épaules.
Balloté dans tous les coins du terrain, Pau semblait à la dérive, ce que le score sanctionnait puisque les Béarnais étaient à 13 points (49-62) après trente minutes de jeu. Tout semblait terminé, surtout que dès la reprise, avec TJ Parker et Georgi Joseph, Paris s'octroyait un matelas de 19 points.
Beaucoup trop pour l'Elan Béarnais qui resserait brusquement sa défense, montait beaucoup plus haut pour contrer l'adversaire et trouvait en Britton Johnsen un chef de file intraitable. C'était au tour des Parisiens de souffrir pour concéder un sec 15-0 en trois minutes avec 8 points de suite de Johnsen.
Tout redevenait possible, même le succès. Le destin en décidait autrement, se disant sans doute qu'une victoire de Pau-Orthez aurait ressemblé à un hold-up.
" Bauer devrait faire du rab "
L'imbroglio continue. Mike Bauer qui devait être prêté au club allemand de Francfort, pourrait finalement prolonger son séjour en Béarn. Bauer, considéré depuis le début de saison comme le 5e joueur américain du club (pour quatre places dsiponibles en Pro A) , " pourrait être conservé pour la première phase de l'Euroligue ", a déclaré Pierre Seillant.
" Il serait dommage de se séparer d'un élément alors que les chances de qualification (au Top 16 européen) sont intactes et que l'arrivée ( à la place de Bauer) d'un arrière-ailier n'est sans doute pas pour demain vu l'état actuel du marché ", a-t-il ajouté. Bauer n'entrant pas dans ses plans, Gordon Herbert souhaitait s'en séparer pour recruter un arrière-ailier français ou doté d'un passeport communautaire. Hier, l'ancien joueur de Roanne ne figurait pas sur la feuille de match mais il sera du déplacement à Naples.
" Interviews "[/b]
Gordon Herbert : " Je ne peux pas comprendre comment l'arbitre n'a pas vu la faute sur Harrison. Elle était flagrante. Déjà à Villeurbanne, le même arbitre avait oublié une faute....Je ne comprends pas. Maintenant il est évident que nous n'avons pas fait un bon match et que nous n'avons défendu que pendant quelques minutes.
C'était insuffisant, surtout que le banc de Paris, à l'image de Parker, a été très efficace. Mais je ne comprends pas.... "
Elias Zouros ( entraîneur de Paris) : " Je dois féliciter mes joueurs qui ont fait de gros efforts pour battre une équipe d'Euroligue aussi forte et expérimentée que celle de Pau. Nous avons su déjouer la pression défensive des Palois pour mettre les tireurs en position et en particulier TJ Parker. La faute sur Harrison ? Je ne parles jamais des arbitres et des fautes non sifflées on peut en trouver tout au long du match. pour toi, pour l'adversaire..... "
(Source : La République des Pyrénées)