Balo'range a écrit :Oui 5 points..Ya pas eu suspense....
---- Le message ci-dessous est un double post ----
Evreux accroché par Bordeaux, mais Evreux qui gagne

Modérateurs : Joruus, Modérateurs
Balo'range a écrit :Oui 5 points..Ya pas eu suspense....
---- Le message ci-dessous est un double post ----
Evreux accroché par Bordeaux, mais Evreux qui gagne
Le père de Pete, Petar, un serbe immigré, a américanisé son nom de Maravić en Maravich. It's quite the same ! Juste que Pete c'est avec un accent aigu sur le C alors que Marko c'est avec un accent circonflexe à l'envers, Marko Maravič, ce qui accentue le son de manière plus dure. C'est le suffixe slovène, qui eux aussi ont dévié le patronyme original qui est bien Maravić, Marko étant d'origine serbe il me semble. Je hais ces changements de patronyme. Comme l'ex gardien australien de Leeds, Mark Bosnich, ou Greg Popovich, Rudy Tomjanovich, John Malkovich, Milla Jovovich (mais elle c'est encore pire car elle a rajouté un second L à son prénom, blasphême !) quelle horreur... Oui oui y en a à qui ça gène ^^KINDER64 a écrit :Ne pas confondre Marko Maravic et Pete Maravich
En même temps, cher taliban linguistiqueJohni John a écrit :Je hais ces changements de patronyme.
Pas moi en tout cas, bien au contraire. De toute façon suffit de regarder les coachs qui gagnent, au moins en ProA où il n'y a pas de grands "tacticiens" (ou en tout cas des mecs réputés comme tels, sauf à la limite Giannakis qui lutte pour la relégation...). Beugnot est passé de grosse burne à meilleur coach de ProA, avant de redevenir aujourd'hui un entraîneur très moyen. On peut aussi parler des Monschau(s) ou de Collet (et des autres).Montagnard a écrit :Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais relativement à notre fragilité mentale à l'extérieur,
il me semble que le coach a un rôle à jouer et que ça fait parti de la qualité d'un entraineur
d'insuffler de la confiance et de l'envie à ses joueurs.
Si C.B. que je ne connais pas bien, a bien des qualités au niveau du basket, peut être qu'il lui manque cette présence psychologique, mentale qui fait le lien entre les joueurs et les rends surs d'eux même, mais c'est vrai que je viens d'un milieu plutôt amateur. Le capitaine de l'équipe devrait jouer aussi ce rôle si il est reconnu par tous.
Il me semble que s'entrainer durement dans la semaine ne suffit pas forcément pour se dire "super, on est prêt "
Ce qu'on lit souvent dans les interviews, c'est souvent dans la tête que se fait la différence et je ne sais pas si ce coté là est bien pris en compte dans les clubs, car abstrait et demande des compétences rares au niveau des coach.
Mais bon, j'espère que de voir les choses du coté humain et non purement technique ne choque personne!!
Pas sure que ce soit compris comme indispensable et pas vécu comme une ingérence par certains milieux,El Famoso a écrit :Mais que faire ? Même en s'entourant de vrais spécialistes en relations humaines, je ne suis pas certain que la sauce prendrait mieux.
Je suis assez d'accord sur la conclusion (la mienne serait même plus radicale : le déficit tactico-technique des joueurs de ProA et leur manque d'expérience du sommet sont des points essentiels à prendre en compte pour tout coach).El Famoso a écrit : Pas moi en tout cas, bien au contraire. De toute façon suffit de regarder les coachs qui gagnent, au moins en ProA où il n'y a pas de grands "tacticiens" (ou en tout cas des mecs réputés comme tels, sauf à la limite Giannakis qui lutte pour la relégation...). Beugnot est passé de grosse burne à meilleur coach de ProA, avant de redevenir aujourd'hui un entraîneur très moyen. On peut aussi parler des Monschau(s) ou de Collet (et des autres).
Donc je crois que ça va même au-delà. Le discours d'un coach peut passer auprès de certains joueurs, de certains groupes, mais pas auprès de tous. Ce qui pourrait aussi expliquer en partie pourquoi il n'y a pas de coach "dominant" en ProA.