on a été honnête côté MSB, malgré l'absence de nos deux ricains. Parait que Nancy lors de son déplacement à Dijon n'avait pas joué cette carte de l'honnêteté...Enfin le SLUC doit être bien soulagé.
chef d'étage à la COGIP
http://manssarthebasket.skyrock.com/
Sinon, je sais plus qui mettait en doute la bonne foi de Vincent Collet quand il disait qu'il ne lâcherai rien à Dijon...Ben les faits viennent de lui donner tort, et ça ne m'étonne pas. Plus ça va, et plus Collet me paraît représenter l'avenir du coaching français.... bien plus que Bergeaud, n'en déplaise à certains.
L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui - P. Desproges
L'Elan s'est donc imposé pour la dernière fois de la saison face au Havre sur le score de 92 à 70.
Et pour la première fois de son Histoire en Ligue Professionnelle de Basket, soit depuis 1987 et la création de cette même Ligue, l'Elan Béarnais Pau-Orthez ne participera pas aux play-offs du Championnat.
L'Elan finit donc avec un bilan effroyable de.... soit la pire saison en terme de défaites depuis 1974-1975 !!!!!
Il est donc temps de parler des objectifs annoncés en début de saison et de ceux réalisés au soir du 9 Mai 2007, un jour qui restera gravé dans l'Histoire du club, au moins, Herbert aura réussit à marquer de son emprunte son (trop long) passage au sein d'un club qu'il aura détruit, enfoncé plus bas que terre, qu'il aura souillé......et c'est I-M-P-A-R-D-O-N-A-B-L-E !!!!!
Petit rappel de l'histoire : au soir d'une défaite en demi-finale du Championnat de France face au MSB le 06 Juin 2006, l'entourage proche, les " judas " de Pierre Seillant ont pris la lourde responsabilité de mettre en péril le " Monument Palois ".
Quelques jours après cette défaite qui ponctuait une saison ou l'Elan avait renouvelé son bail pour l'Euroligue et qui servira grandement à celui qui prendra la succession de Didier Gadou, échouait de très peu à la finale de Bercy, éliminé par la JDA après un parcours qui avait vu l'Elan éliminer l'ASVEL, la SIG, le MSB, et une non-qualification au Top 16 " pseudo résultat positif " que certains ont mis en avant cette saison avec Herbert, les " proches collaborateurs, les traîtres "de Seillant décidaient de virer purement et " salement " celui qui avait donné 20 ans à son club de coeur, celui qui a permis à l'Elan de prolonger son aventure européenne avec la plus prestigieuse des Coupes d'Europe, à savoir l'Euroligue, pour la 15e année d'affilées et maintenait intact les 30 ans de participation de l'Elan à la campagne européenne (un record national tous sports collectifs confondus).
Alors non et pour répondre à tous ceux qui l'ont remis en cause, JAMAIS, au grand JAMAIS Pierre Seillant n'a pris la décision de licencier Didier Gadou, ce dernier devait d'ailleurs honnorer la dernière année de son contrat avec des joueurs contactés et qui allaient signer pour la saison à venir tels que : Mike Bauer, Cédric Ferchaud, Ricardo Greer.
C'est alors que la décision prise " plus haut " et contre l'avis de Seillant tombait et l'Elan était à la recherche d'un nouvel entraîneur.
Des noms comme ceux de Vucevic et Kunter, surtout ce dernier, étaient les favoris pour prendre la suite de Didier Gadou.
Mais, en ayant appris que l'Elan se séparait de Didier Gadou, Gordon Herbert, via son agent a proposé ses services à l'Elan.
C'est alors que les traîtres validaient le choix de Gordon Herbert et le début de la saison catastrophe pouvait commencer......
Dès le début , lorsque je sais su que Herbert serait le nouvel entraîneur de l'Elan, j'avais dit que ce n'était pas " l'homme " de la situation et que le club s'engageait dans une très mauvaise voie.
Qu'est ce que je n'ai pas entendu ou lu quand j'ai déclarai celà.
Aujourd'hui, je suis au regret de vous annoncez que ce que j'avais prédit c'est malheureusement produit et j'aurais préféré le contraire, très honnêtement !!!!
Passé cette déception, il était donc temps de laisser la place à Herbert et de voir ce qu'il avait dans le ventre.
Apparement pas grand chose vu les résultats de cette saison.
Pour rappel, voici ce que déclarait Gordon Herbert à son arrivée à l'Elan : " Je suis venu à Pau pour tout gagner en France ".
Après ces très belles paroles, les objectifs sportif du club étaient donc annoncés, avec comme ordre de préférence et de priorité :
- 1 : Reconquêrir le titre de Champion de France et requalifier l'Elan pour une 16e année d'affilée en Euroligue et de ce fait , perpétuer la présence ininterrompu de l'Elan à une compétition européenne depuis 30 ans.
-2 : Participer au Top 16 de l'Euroligue.
- 3 : Remporter la Coupe de France.
-4 : Gagner la Semaine des AS.
Au final, Herbert n'aura atteint que 2 objectifs sur 5, à savoir le TOP 16 et la Coupe de France (étant donné et sans manquer de respect à Nanterre que l'Elan remportera cette finale dimanche après-midi) mais aussi et surtout lamentablement échoué pour les 2 plus important objectifs, à savoir le titre de Champion de France et une requalification à l'Euroligue.
Je reviendrai un peu plus tard sur le bilan général d'Herbert à l'Elan.
Les autres objectifs annoncés étaient d'ordre moins " sportif " en terme de résultat brut mais avait pour mission de remplir de nouveau le Palais, de proposer du beau jeu, avec un axe majeur porté sur une très grosse défense entraînant dans son sillage un jeu fait contre-attaques, de rapidité d'exécution.
Hors de tout ça, on n'en a vu que trop peu dans notre Palais des Sports.
Une fois les annonces de faîtent, il était donc temps de construire une équipe, pas son équipe au début, puisqu'il ne souhaitait pas travailler avec des joueurs tels que Cédric Ferchaud , Thierry Rupert et Mike Bauer entre autre.
C'est alors qu'il a eu toutes les lattitudes possible et imaginable, que se soit en terme financier ou humain pour mettre en place son équipe, celle qu'il voulait et celle que Seillant lui a " donné " et apporté sur un plateau.
L'équipe du début de saison était donc composé de :
- Arrières / Ailiers : CC Harrison / Ricardo Greer (choix de Didier Gadou) / Cédric Ferchaud (choix de Didier Gadou) / Britton Johnsen (choix d'Herbert).
-Ailiers forts : Thierry Rupert (décision d'Herbert de le conserver en écartant le choix Victor Samnick) / Ludovic Vaty / Mike Bauer (choix de Gadou).
- Pivots : Yamar Diene (choix d'Herbert) et Ian Mahinmi (choix d'Herbert et volonté de le faire jouer en pivot numéro 1).
Tout ce petit beau monde devait donc entamer la phase de préparation (le moment le plus important de la saison, là ou tout se construit, aussi bien techniquement que mentalement et psychologiquement) avec son nouvel entraîneur mais le problème, c'est que le coach numéro 1 n'était pas là, préférant entraîner la fantastique et glorieuse équipe de Géorgie et certainement les $$$$$$ inhérant à ce travail.
Résultat ?
Une équipe sans âme, sans fond de jeu, sans technique, des joueurs n'ayant pas le niveau mais bien évidemment pas d'entraîneur pour voir toute ces erreurs.
Rentrant donc de son escapade géorgienne, j'espère pour lui qu'il a une très belle résidence secondaire dans ce très charmant pays, l'Elan n'était pas près à débuter le Championnat Pro A.
Entre des choix de joueurs plus que douteux et une équipe sans fond de jeu, le travail allait être colossale à accomplir.
Alors, les défaites ont commençaient à arriver, le groupe n'avait pas confiance et certains joueurs étaient mis de côté de façon assez incompréhensible (Bauer, Rupert et Ferchaud notamment).
Seillant , voyant la situation a donc octroyait à Herbert ce qu'AUCUN coach à l'Elan n'a eu depuis que ce club existe, il y aura 100 ans la saison prochaine, à savoir des moyens, de gros, très gros moyens pour recomposer l'équipe voulu par Herbert.
En temps normal, les entraîneurs de l'Elan avaient eu la possibilité de changer un ou deux joueurs mais en fonction des blessures et à de rares exceptions , pour mauvais recrutement.
Mais Herbert, lui, a eu les coudées franches avec le recrutement d'un nouveau meneur , Aaron Miles à la place du fantômatique Gilchrist, la mise à l'écart définitive de Mike Bauer, préférant Britton Johnsen, le recrutement d'un nouveau ailier US qui deviendra par magie géorgien et donc un nouveau pivot en la personne de Michael Wright.
Ce qui fait donc 3 nouveaux joueurs , avec un nouveau axe meneur-pivot et un ailier intégrant le cinq majeur, donc du lourd, du très très lourd.
Ce qui donnera pour la fin de saison :
- Meneurs : Aaron Miles (choix d'Herbert) / Fauthoux et D'Almeida
En somme et comme le soulignait bons nombres d'entraîneurs de Pro A, l'Elan avait cette saison une équipe surdimensionnée pour le Championnat et certainement le plus bel effectif avec la plus grande marge de progression.
Pour le résultat terrible que l'on connait maintenant......
Après avoir posé le décors, il revient maintenant à mettre en avant ses (in)compétences et ses choix.
Alors bien évidemment, ce n'est que ma vision des choses, de part ce que j'ai vu à la tv et au Palais des Sports, avec le plus de clareté et d'honnêteté possible dans mes propos, gardant pour plus tard ma mauvaise foi.
Gordon Herbert, savant magicien , jouissant d'une belle réputation pour certains, ayant juste le niveau d'un coach d'une équipe moyenne de Pro A pour les autres, a été incapbale de mettre en place le jeu dont il rêvait et de mener ses hommes et surtout de les tenir.
- Ou est passé ce qui faisait sa marque de fabrique, à savoir une défense de fer ?
L'Elan a encaissé en moyenne cette saison 77,3 pts en moyenne, ce qui en fait la 11e de Pro A.
Comparativement à la saison dernière avec Gadou et en oubliant pas de noter que l'effectif était de bien moindre qualité, c'était la 1ere défense de Pro A avec 69,8 pts concédés à ses adversaires.
Et comme toute les grandes équipes le savent bien : point de salut sans grande défense ou tout du moins, un minimum performante !!!!!
- Pour l'attaque ? L'Elan a inscrit 80,5 points par match, soit la 4e attaque, 76,7 pour la saison dernière mais un jeu pauvre et trop axé sur le secteur extérieur.
C'est d'ailleurs dans ce domaine que l'Elan se sera perdu au cours de la saison ne trouvant pas assez d'alternance dans son jeu et usant et abusant de tirs à 3 pts.
Alor quand les soirées étaient bonne et que les 3 pts s'enfilaient comme des perles, parfait mais dans un soir sans, l'Elan a eu une incapacité à jouer intérieur.
Herbert en est responsable n'ayant pas su ou bien pu trouvé les solutions.
L'Elan a shooté à 34,3 %, ce qui en somme n'est pas catastrophique, c'est la 7e adresse générale de Pro A mais sans alternance jeu intérieur-extérieur, l'Elan s'est embourbé et a perdu le fil du jeu.
- Un jeu bien léché était attendu ?
Pas grand chose à se mettre sous la dent de ce côté également avec heureusement la bonne pioche Aaron Miles, sinon, on était bien mal.
Et 6 défaites concédés au Palais, un record en la matière depuis 1991 et l'arrivée d'Orthez à Pau mais on verra ça plus tard.
- Et si on doit parler de l'équipe en générale, on aura la sensation d'un groupe qui n'a joué que pour l'Euroligue, sans véritable leader, un groupe sans âme et sans amour du maillot, des mercenaires pour la plupart recruté par Herbert.
En outre, au-delà de l'aspect technico-tactique, Herbert a aussi fallit dans le management de son groupe.
Il a été incapbale de mener un groupe " de stars ".
Il est certain que gérer des joueurs du PBR et sans aucune envie de rabaisser les joueurs parisiens ou le club en lui-même, ce n'est pas la même chose que d'être à l'Elan.
Il n'a pas su " convertir " ses joueurs à son discours , n'a pas eu la main assez ferme et s'est laissé bouffé de façon générale en nous sortant sans arrêt les même déclarations d'après-match en mettant en avant son impuissance à régler les problèmes de son équipe.
Il s'est de ce fait fragilisé et isolé du groupe.
En somme, il a été dans l'incapacité de mettre en place le jeu prônait et espérait en début de saison, ne trouvant pas les solutions aux problèmes posés par les autres équipes.
Avec, si on n'y regarde de plus près, une équipe bancale, portée, beaucoup trop axée sur le jeu extérieur et donc en manque flagrant d'équilibre.
Quasiement que des joueurs extérieurs ou aimant s'écarté avec pour seul véritable point d'encrage Michael Wright, Ian Mahinmi ayant été totalement absent tout le long de la saison et ce n'est pas ses 3 ou 4 derniers matches qui changeront la donne.
Ce qui donne les Miles, Fauthoux, D'Almeida, Ferchaud, Johnsen, Sanders, Harrison, Greer attirés par " l'extérieur " et le seul Wright tenant la baraque, sachant que Rupert ne fût utilisé et Vaty au compte goutte.
Une équipe mal équilibrée et ça aussi, c'est de sa responsabilité, car cette équipe, c'est lui qui l'a voulu.
Je reviendrai une seconde sur le management d'Herbert avec des choix stupides et incompréhensibles.
Il avait la possibilité de prendre Samnick mais a préféré garder Rupert pour au bout du compte, ne pas lui faire confiance et le laisser moisir sur le banc toute la saison.
Sans parler de sa volonté de mettre à l'écart Cédric Ferchaud ou bien sa réussite dans l'éviction pure et simple de Mike Bauer du club.
Ou aussi son implacable entêtement à faire jouer Johnsen qui n'y était plus du tout en se passant volontairement de Rupert.
Il a aussi commis de nombreuses erreurs avec la plus importante, sa volonté de n'utiliser et de ce fait, d'user physiquement et psychologiquement que 6 joueurs, à savoir Miles, Harrison, Greer, Johnsen, Sanders et Wright, laissant de côté les français et donc leur faisant perdre toute confiance en leur moyen.
Il n'était pas besoin par la suite d'en attendre monts et merveilles après le " traitement " qu'ils ont subi et l'utilisation faîte par Herbert.
Je vais finir maintenant par le plus important, les résultats sportifs, à savoir ce qui fait un entraîneur et qui expose à la vue de tout le monde si les objectifs ont été réalisés ou pas.
Alors au soir de la dernière journée de Pro A, l'Elan compte un bilan de 18 victoires pour 16 défaites.
Une aberration, une infâmie, une véritable H-O-N-T-E , un total S-C-A-N-D-A-L-E !!!!
16 défaites, du jamais vu depuis la saison 1974-1975, dont 6 au Palais des Sports et l'humiliante défaite face à Hyères-Toulon (84-98.), la plus terrible depuis des décennies.
47 % de défaites soit 53% de victoires pour un coach à la tête de l'Elan et même sur une saison, c'est un véritable exploit et une performance de choix !!!!
Alors pour rappel, les objectifs étaient de reconquêrir le titre de Champion de France, se requalifier pour l'Euroligue, gagner la Coupe de France et la Semaine des As.
Je vais mettre en avant son bilan " positif "ce qui plaide pour lui :
- La participation au Top 16 et surtout les 7 points du ranking , en attendant les 5 pour la Finale de la Coupe de France.
Après, pour moi, la qualification pour le TOP 16 n'a que peu d'importance, mis à part les 7 points de ranking, ceux qui me connaissent savent mon opinion sur la question et " l'importance " de l'Euroligue pour l'Elan.
- La Finale de la Coupe de France qui sera un trophée de plus pour l'Elan et une qualification pour la merveilleuse FIBA CUP.......
Il est plus aisé de remporter une compétition ou participe des clubs amateurs et professionnels qu'une compétition réunissant que des clubs pro......
Les moins, ce qui l'accable et en font un entraîneur indigne de l'Elan :
- Les 16 défaites en Pro A.
- Les 6 défaites au Palais des Sports.
- Une non participation à la Semaine des AS.
- Une non-qualification au prochain play-off du Championnat, une première depuis la création de la Ligue en 1987 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
- Une non-requalification pour l'Euroligue, compétition que l'Elan disputait depuis 15 ans.
En somme, il aura L-A-M-E-N-T-A-B-L-E-M-E-N-T échoué dans les deux objectifs majeurs, à savoir le Titre et l'Euroligue.
Il aura aussi P-I-T-O-Y-A-B-L-E-M-E-N-T échoué dans sa politique générale et dans sa vision des choses pour l'Elan.
Il venait donc en remplacement de Didier Gadou, dernier entraîneur à avoir amené l'Elan au titre de Champion de France et aussi dernier entraîneur a avoir qualifié le club pour l'Euroligue.
Il est venu pour redorer le blason palois, redonner une bonne image du club, un club qui gagne, ce qu'il faisait surtout avec Didier Gadou et ces prédécesseurs !!!!!
Il est arrivé avec ses idées et comme l'a dit Seillant, il " mourra " avec.....
Des idées incompatibles avec l'Histoire de l'Elan, le passé, la tradition paloise.
Ca aura été un total fiasco, sur toute la ligne, avec son envie " d'américanisé " l'Elan.
Il n'aura pas compris les subtilités, les envies des Palois(e)s, il n'aura rien compris à la riche Histoire de l'Elan, à son passé, oubliant totalement les vertus du club en prenant des US à tout va.
Il mis de côté l'amour du maillot, l'amour du club, l'amour des supporters pour l'Elan Béarnais Pau-Orthez.
Et je vais me faire une joie de faire une petite comparaison :
- Bilan de Didier Gadou avec l'Elan :
* 1 titre de Champion de France Pro A.
* 1 requalification de l'Elan en Euroligue
* 1 première place de saison régulière
Et surtout l'honneur préservé de l'Elan.
- Bilan de Gordon Herbert :
* Un pseudo TOP 16 selon moi.....
* Une Coupe de France.........
Des moyens financiers et humains sans commune mesure avec ceux rencontrés par les autre coachs de l'Elan pour atteindre ses objectifs.
Et sans oublier, il est la cause de la déchéance de l'Elan et un sentiment de profond dégoût pour tout ce gâchis !!!!!!
Il est donc temps que " Messieurs les traîtes, les Judas ", les " associés " de Pierre Seillant, avec à la tête du club Mr Béral, prennent leur responsabilité comme ils l'ont fait avec Mr Didier Gadou et mettent dehors Gordon Herbert.
Parce qu' à la lecture du bilan d'Herbert, avec un club de 6,2M€, une équipe voulu par Herbert, c'est un échec cuisant de deux politiques : sportive et de management générale.
Et il est maintenant temps qu'il parte et qui'il arrête de faire du mal à l'Elan.
Son successeur aura beaucoup de courage pour venir à Pau, car le chantier est terrible , le travail est immense , et il devra redonner la fierté et faire en sorte que les supporters reprennent plaisir à venir au Palais des Sports de Pau.
Un énorme défi à relever mais tellement beau à accomplir surtout pour les 100 ans du club.......
Une chose est sur, je ne regretterai pas Gordon Herbert et je n'aurai qu'un seul regret : qu'il ait un jour fait parti de l'Histoire de l'Elan Béarnais Pau-Orthez.......
Ne vous pressez surtout pas mais je suis pleinement disposé à recevoir vos excuses !!!!!
collet, c'est la grande classe, je l'ai déjà dit!
Il suffit de l'entendre parler!Allez MSB
Sinon, Gravelines, c'est bien l'équipe amputé de ses deux meneurs qui a pris 30 pts contre nous en 1/4 de coupe, non?
Et ben, voilà...
Sinon, ce soir personne ne sera agressif car personne n'y croyait, l'équipe ( et j'y inclus bien sur grandement le coach, me démarquant ainsi de la mode actuelle du forum qui souhaite le garder) nous a tellement balancé de seaux d'eau froide dans le gueule durant la saison, que bon...
Simplement, je me marre de lire certains mails de personnes hautaines qui font de l'ironie glaciale sur d'autres membres du forum alors que durant la saison, ces mêmes personnes nous ont dit que si nous étions inquiets de la saison de Pau, c'est parce que nous n'y connaissions rien ( je n'y connais pas grand chose, je le confesse, mais j'ai la passion) et que, pauvres taches que nous étions, on allait voir ce qu'on allait voir dans les matchs cruciaux!
Toute le monde se trompe, là n'est pas la question, mais ces personnes continuent sur le même ton sans penser que moi, ou d'autres j'en suis certain, ne se rappellent pas leurs précédents messages, et que donc ils peuvent continuer à nous prendre de haut, ça non.
De l'humilité, un peu!
Pour moi le premier, qui ne veut pas passer pour le vengeur masqué, juste remettre certains points sur certains i.
Aucune excuse, Philip : je ne t'ai jamais reproché tes prises de position, je t'ai reproché la forme. Je t'ai reproché de ne pas admettre qu'on puisse avoir le même avis que toi (relis tes posts où tu parlais de moutons, par exemple). Et je te le reproche toujours.
Et ce soir encore, tu es dans l'outrance (j'ai relevé entre autres stupide, traitre, incompétence, etc..).
Celà dit, il y a plus d'argumentation dans ton post de ce soir que dans beaucoup des posts "d'avant".
Si tu avais donné ces arguments là à l'époque, je n'aurai pas dépassé les bornes comme je l'ai fait.
L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui - P. Desproges
Pierre Seillant : « C’est bien entendu une déception. On avait un effectif pour aller en play-off et on y est pas, mais la déception n’est pas brutale. Elle était un peu programmée dpuis la défaite de Cholet. Il est clair désormais que la victoire en coupe de France est un impératif. Les joueurs quels qu’ils soient, restant ou partant doivent laisser le club dans l’état où ils l’ont trouvé, c'est-à-dire européen. Il faut donc monter une opération commando et je vais m’y employer dès demain.
Le scénario de ce soir est dur puisqu’il a fallu attendre 34 fois 40 minutes pour en connaître le dénouement. C’est la preuve que le championnat a été dense et comme beaucoup de monde semblait fatigué de voir Pau-Orthez en haut, il y aura des satisfaits. Je ne vais pas leur en vouloir. Je vais m’attacher à repartir avec un groupe neuf et très différent, car l’année a été difficile ponctuée de coups d’éclats et de mauvaises surprises. La prochaine sera différente, il nous faut vivre une aventure humaine meilleure que celle que nous avons vécu.
Même si je considère qu’il s’agit d’un accident de parcours dans l’histoire du club, pas banal certes, mais un accident tout de même.
Ce n’est pas ce soir que l’on est éliminé, c’est bien avant. Le mal était en nous et on n’a pas su l’éradiquer, on l’a entretenu car je le répète on avait un effectif pour aller en play-off.
Mais je considère que les choses ne viennent jamais par hasard et c’est peut-être un mal pour un bien. En arrivant à Pau nous avion beaucoup d’avacne sur tout le monde. Aujourd’hui, il faut revenir à plus d’humilité, à une nouvelle dynamique.
Le débriefing sera pour plus tard, aujourd’hui, l’impératif est de gagner la coupe de France et d’être européen. Ce ne sera pas en Euroligue mais je n’en faisais pas une fixation. Je dis depuis deux ans que l’Euroligue n’est pas un cadeau pour les clubs français, quand bien même avons-nous fait une saison hors norme. On s’y était habitué et on s’y débrouillait à l’époque où nos internationaux A jouaient en France aujourd’hui on n’a plus que les A’ et, que je sache, on n’a pas les meilleurs étrangers du monde. Si on est en FIBA Cup, et on se doit d’y être, on constatera qu’il y a du beau monde… »
mathieu a écrit :Pierre Seillant : « C’est bien entendu une déception. On avait un effectif pour aller en play-off et on y est pas, mais la déception n’est pas brutale. Elle était un peu programmée dpuis la défaite de Cholet. Il est clair désormais que la victoire en coupe de France est un impératif. Les joueurs quels qu’ils soient, restant ou partant doivent laisser le club dans l’état où ils l’ont trouvé, c'est-à-dire européen. Il faut donc monter une opération commando et je vais m’y employer dès demain.
Le scénario de ce soir est dur puisqu’il a fallu attendre 34 fois 40 minutes pour en connaître le dénouement. C’est la preuve que le championnat a été dense et comme beaucoup de monde semblait fatigué de voir Pau-Orthez en haut, il y aura des satisfaits. Je ne vais pas leur en vouloir. Je vais m’attacher à repartir avec un groupe neuf et très différent, car l’année a été difficile ponctuée de coups d’éclats et de mauvaises surprises. La prochaine sera différente, il nous faut vivre une aventure humaine meilleure que celle que nous avons vécu.
Même si je considère qu’il s’agit d’un accident de parcours dans l’histoire du club, pas banal certes, mais un accident tout de même.
Ce n’est pas ce soir que l’on est éliminé, c’est bien avant. Le mal était en nous et on n’a pas su l’éradiquer, on l’a entretenu car je le répète on avait un effectif pour aller en play-off.
Mais je considère que les choses ne viennent jamais par hasard et c’est peut-être un mal pour un bien. En arrivant à Pau nous avion beaucoup d’avacne sur tout le monde. Aujourd’hui, il faut revenir à plus d’humilité, à une nouvelle dynamique. Le débriefing sera pour plus tard, aujourd’hui, l’impératif est de gagner la coupe de France et d’être européen. Ce ne sera pas en Euroligue mais je n’en faisais pas une fixation. Je dis depuis deux ans que l’Euroligue n’est pas un cadeau pour les clubs français, quand bien même avons-nous fait une saison hors norme. On s’y était habitué et on s’y débrouillait à l’époque où nos internationaux A jouaient en France aujourd’hui on n’a plus que les A’ et, que je sache, on n’a pas les meilleurs étrangers du monde. Si on est en FIBA Cup, et on se doit d’y être, on constatera qu’il y a du beau monde… »
Si on écoute Seillant, on aurait l'impression de croire que c'est notre première mauvaise année, alors que depuis notre dernier titre, il est clair qu'on a un train de retard!!
mathieu a écrit :Pierre Seillant : « C’est bien entendu une déception. On avait un effectif pour aller en play-off et on y est pas, mais la déception n’est pas brutale. Elle était un peu programmée dpuis la défaite de Cholet. Il est clair désormais que la victoire en coupe de France est un impératif. Les joueurs quels qu’ils soient, restant ou partant doivent laisser le club dans l’état où ils l’ont trouvé, c'est-à-dire européen. Il faut donc monter une opération commando et je vais m’y employer dès demain.
Le scénario de ce soir est dur puisqu’il a fallu attendre 34 fois 40 minutes pour en connaître le dénouement. C’est la preuve que le championnat a été dense et comme beaucoup de monde semblait fatigué de voir Pau-Orthez en haut, il y aura des satisfaits. Je ne vais pas leur en vouloir. Je vais m’attacher à repartir avec un groupe neuf et très différent, car l’année a été difficile ponctuée de coups d’éclats et de mauvaises surprises. La prochaine sera différente, il nous faut vivre une aventure humaine meilleure que celle que nous avons vécu.
Même si je considère qu’il s’agit d’un accident de parcours dans l’histoire du club, pas banal certes, mais un accident tout de même.
Ce n’est pas ce soir que l’on est éliminé, c’est bien avant. Le mal était en nous et on n’a pas su l’éradiquer, on l’a entretenu car je le répète on avait un effectif pour aller en play-off.
Mais je considère que les choses ne viennent jamais par hasard et c’est peut-être un mal pour un bien. En arrivant à Pau nous avion beaucoup d’avacne sur tout le monde. Aujourd’hui, il faut revenir à plus d’humilité, à une nouvelle dynamique.
Le débriefing sera pour plus tard, aujourd’hui, l’impératif est de gagner la coupe de France et d’être européen. Ce ne sera pas en Euroligue mais je n’en faisais pas une fixation. Je dis depuis deux ans que l’Euroligue n’est pas un cadeau pour les clubs français, quand bien même avons-nous fait une saison hors norme. On s’y était habitué et on s’y débrouillait à l’époque où nos internationaux A jouaient en France aujourd’hui on n’a plus que les A’ et, que je sache, on n’a pas les meilleurs étrangers du monde. Si on est en FIBA Cup, et on se doit d’y être, on constatera qu’il y a du beau monde… »