pascal64lons a écrit :La différence entre le CSP et nous, c'est qu'au CSP il y a un public basket qui les soutient, même en ProB.
Alors qu'ici, le public et les sponsors se barrent avec les mauvais résultats, ce qui fait le bonheur du rugby, hand et foot.
Je n'ose même pas imaginer le nombre de spectateurs qu'il y aura si on descend..........

la tuile, la blessure d'Emmett!
Sinon, pour le public, faut pas rêver, en fait : le public de Pau n'est jamais venu par passion (pour la plupart, quoi).
Même s'il n'y a que 40 bornes entre Pau et Orthez, c'est pas la même "culture" : il n'y a pas de culture basket à Pau, qui soit comparable avec la culture basket de Chalosse, dont l'Elan était au départ, une émanation directe.
Donc,tant que ça marchait fort, que le spectacle était de qualité, les gens se déplaçaient....Mais au fond, ça ne les concerne pas vraiment (toujours, pour la plupart, hein). Et du coup, quand ça part en vrille, ils se disent (inconsciement) : "ouais, on avait pas de grand club de basket avant 92, on en aura pas après 2008, au fond, c'est un retou à la normale"..
Enfin, c'est mon avis, hein. L'impression que la greffe du basket a Pau n'a jamais vraiment pris assez pour que ça puisse résister à un gros coup de moins bien. Par exemple, il ne me semble pas qu'on ait vu des rassemblements de supporters au balcon de la mairie pour présenter les trophées, etc.... Vous voyez ce que je veux dire?
Bref. A mon avis, si l'elan descend, il ne faut pas vraiment compter sur les Palois pour le supporter. (encore une fois, je parle de la ville en elle même, pas des quelques centaines (milliers, peut être) de fans.
Et sinon, franchement, vous êtes lourds : on vous dit que c'est la faute de Gordon Herbert!

(quand à imputer la blessure d'Emmett à JAT, faut être sacrément de mauvaise foi : une déchirure, je parle en connaissance de cause, ça se déclenche brusquement. Donc bon, au mieux, il aurait pu le sortir à la 38°, et Emmett aurait été absent 25 jours au lieu de 28, la belle affaire...)
L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui - P. Desproges