Un rapide tour des tournois équivalents en Europe, où là aussi les surprises ont été nombreuses :
A tout seigneur tout honneur, en
Espagne, la Copa del Re a vu un match somptueux entre Badalone et Vitoria (déjà quatre fois vainqueur de cette compétition) où les Catalans l'ont emporté de justesse face aus Basques, grâce à un remqrquable Rudy Fernandez.
En
Italie, la Tim Cup (sic) a vu la victoire de l'actuel 3e, Avellino, sur la Virtus de Bologne. Pour apprécier ce titre, il faut se rappeler qu'Avellino luttait pour le maintien les deux années précédentes. Les Marques Green, Nicola Radulovic et autre Devin Smith l'ont emporté sur les coéquipiers de Spencer et remportent leur premier titre, 73-67.
Dans d'autres pays, c"était la coupe nationale qu'on jouait (eux aussi ont donc un rendez-vous important à mi-saison) :
En
Israël, Hapoel a créé la surprise en conservant la coupe d'Israël contre le Maccabi après avoir été menés largement pendant tout le match. Un dernier quart fulgurant (38-16 !

) et un Arnold de gala, profitant des problèmes de faute du Maccabi, ont relanceé la crise dans un club que l'excellent coach Zvi Sherf paraissait pourtant avoir tiré de l'ornière.
Autre surprise, la nette victoire du Khimki Moscou contre le CSKA en finale de la coupe de
Russie, 85-67. Khimki, qui a déjà battu le CSAK en saison régulière, arrache ainsi à son rival un trophée qu'il détenait depuis trois ans.
La coupe de
Grèce verra sa finale opposer les habituels rivaux, Olympiacos et Panathinaicos, mais le 22 mars. Normal ? En fait, curieusement, c'est la première finale opposant ces deux équipes dans toute l'histoire de la coupe de Grèce. Giannakis a failli rater ses débuts de coach en ne s'imposant que d'un panier miraculeux au buzzer face à l'Aris de Gordon Herbert. Le Pana aussi a souffert contre Panellionos et dut son salut à un grand Jasikevicius.