tatayet a écrit :On sort un peu du cadre basket, mais je suis entièrement d'accord avec Didier, Toulouse est plus proche culturellement de Pau que Bordeaux. Toulouse est une ville bien plus chaleureuse, haute en couleur et qui respire le sud-ouest bien plus que Bordeaux.
Je suis pas d'accord. Je ne fais pas de "classement" ou de jugement de valeur, mais pour avoir vécu dans les deux villes, elles ont des attraits différents.
Bordeaux (que tu dis ne pas connaître, faudra donc que tu m'expliques en quoi elle est moins chaleureuse que Toulouse), est une ville plus tranquille, plus familliale, quand Toulouse est plus "urbaine", et plus branchée. Mais sinon, niveau chaleur, et "sud ouest", ça se vaut, je trouve. Il est loin (environ en 2000, quand j'y ai fini mes études), le temps où Bordeaux était "la belle endormie".
Et depuis 2000, pour avoir vécu dans les 2 (de 2000 à 2004 à Toulouse, et depuis fin 2004 à Bordeaux), Bordeaux a beaucoup plus changé que Toulouse : 3 lignes de Tram, nouveau plan de circulation, etc..., qui font qu'aujourd'hui, Bordeaux est plus agréable à vivre au quotidien pour une famille que Toulouse : plus aérée, moins polluée (mais ça, c'est la situation géographique, pas la ville).
En gros, quand j'étais célibataire, et que je sortais beaucoup, Toulouse était nickel. Maintenant que j'ai un bébé, et plus envie de tranquilité et de ballades du week end, Bordeaux me convient mieux.
tatayet a écrit :
A Pau, le club peut continuer à exister en ProA. Après, si on veut continuer à faire l'euroligue tous les ans, il faut partir.
Ca dépent ce que l'on veut: un club de première moitié de tableau qui reste dans ses terres ou un club champion et jouant l'euroligue mais qui doit partir? C'est un choix
[..]
Moi ça, ça me suffit. On a été habitué à de grandes choses mais je préfère que le club reste ici à un niveau moindre.
oui, effectivement, c'est un choix. Personnellement, celui de rester à Pau ne me gênerait pas....Sauf que je pourraisplus voir l'Elan à la télé!

L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui - P. Desproges