Revue d'effectif de l'Elan sur
L'EQUIPE de ce jour :
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Pau-Orthez : Avec une bonne douzaine de joueurs sous contrat et une équipe à construire, l'Elan doit faire des choix ! Olivier Cousin (coach), Antoine Mendy et Curtis Withers vont rejoindre le Béarn.
Miles, Wright et CC Harrison sont partis. Mahinmi devrait s'envoler vers les Spurs et Ricardo Greer, malgrè un contrat en cours, pourrait quitter Pau pour Strasbourg. Thierry Rupert doit rencontrer le coach prochainement pour évoquer son avenir, et le jeune Ajinça pourrait être prêté.
" Elan : le temps de la réflexion "
Le directeur du club et l'entraîneur ont convenu de se revoir la semaine prochaine. " Pour l'instant , Herbert entraîne toujours l'Elan " selon Seillant.
Ils se sont vus. Et se sont même parlé. Pendant une heure. Après trois semaines de flottement depuis la finale de coupe gagnée à Bercy, Pierre Seillant avait convoqué Gordon Herbert hier après-midi dans son bureau.
Objet officiel de la réunion : "
Débriefer et évoquer l'avenir ". Le directeur exécutif raconte la suite : "
Je lui ai exposé mes griefs, lui ai expliqué que nous n'étions pas contents au niveau du club. Gordon en a pris acte et on s'accorde maintenant un temps de réflexion. Nous avons convenu de nous revoir au milieu de la semaine prochaine ".
Mais encore ? " Rien de plus ", poursuit Seillant. "
Nous ne dirons rien et tout le monde en reste là pour l'instant. Gordon Herbert est toujours l'entraîneur de l'Elan Béarnais ".
A l'évidence, le problème de cohabitation entre les deux hommes, ponctué par les dérapages verbaux de l'entraîneur à Bercy, reste quand même entier. Et, au milieu, trône toujours une année de contrat valable pour la saison prochaine.
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Un contact ? Alain Weisz "
Dans une précédente édition, Pierre Seillant évoquait plusieurs scénarios possible (séparation, maintien du coach, négociation...).
Hier, dans l'intimité du Palais des Sports, ces pistes ont nécessairement été évoquées. Mais, pour l'instant, il semble urgent d'attendre....
Certes, rien ne presse. Pourtant, le recrutement de la prochaine équipe paloise est forcément soumis au nom du technicien en place même si le patron du club semble avoir repris la main sur ce dossier.
Ainsi, c'est Pierre Seillant qui confirme les contacts avec le dénommé Curtis Withers et annonce aussi "
l'arrivée imminente d'un arrière d'origine communautaire ".
Pour le poste d'entraîneur, au cas vraisemblable ou Gordon Herbert, injoignable hier, ferait ses bagages, il n'exclut évidemment pas la piste du Quimpérois Olivier Cousin.
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On ne peut pas empêcher les rumeurs....Moi, le seul véritable contact que j'ai eu, sur 17 candidatures, c'est Alain Weisz. Mais il s'est engagé à Hyères-Toulon ", soupire le directeur de l'Elan.
En attendant, Olivier Cousin (36 ans), qui a vu hier François Péronnet (ex-Bourg en Bresse) prendre sa place en Bretagne, reste le candidat le plus sérieux.
Au moins juqu'à la semaine prochaine....
Uleb Cup : pourquoi pas ?
Comme annoncé, l'Elan vient de faire connaître auprès des organisateurs de l'Euroligie son souhait de bénéficier d'une invitation en Coupe ULEB, la seconde épreuve européenne derrière l'Euroligue.
Au titre de l'ancienneté du club béarnais, Pierre Seillant a très bon espoir d'être entendu dans le cadre de l'élargissement de cette compétition.
" Withers, intérieur physique "
Après l'ailier rémois Antoine Mendy, Pau-Orthez va peut-être conclure avec une deuxième recrue pour la saison prochaine. Il s'agit du jeune intérieur américain Curtis Withers, âgé de 23 ans depuis février dernier. Aperçu en Turquie lors de la saison écoulée, dans le modeste club stambouliote d'Alpella, il a notamment confirmé de réelles dispositions pour le rebond du haut de ses 2,04m.
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J'ai effectivement parlé avec son agent. C'est un vrai bon joueur mais rien n'est encore signé ", commente Pierre Seillant à propos de Withers qui disputera le championnat de Porto-Rico ses prochaines semaines.
Ce garçon, doté de grosses qualités physiques, sort de l'Université de Charlotte avec de solides références (16 points et 11,3 rebonds en moyenne lors de son année senior).
Nommé dans le cinq idéal de sa conférence universitaire, il était le second scoreur et le meilleur rebondeur de son équipe.
Withers a aussi connu les joies de la sélection en disputant les Mondiaux juniors et - de 21 ans, 2004 et 2005, pour le compte des USA.
Restent à venir au moins deux joueurs communautaires , à la mène et sur les ailes, ainsi qu'un pivot américain.
Un arrière européen sera engagé dans les heures à venir.
(Source :
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES)
A noter que Stanic et Withers ont officiellement signés avec l'Elan.
Et que Pierre Seillant reprend les commandes du club (comme annoncé par ma très bonne source

)
Et ce qui confirme également comme je l'ai répété en début de saison et en fin de saison dernière, que Seillant " n'était plus le seul boss "......mais ça a changé de nouveau.
Ces deux premières recrues sont donc Withers et Stanic.
La suite, à suivre.....
" L'Elan jouera l'ULEB cup avec Stanic et Withers "
Maximiliano Stanic qui jouait cette saison à Pavie, club de A2 italienne où il avait succédé à Lonnie Cooper, parti pour le Béarn, et qui possède la double nationalité Italo-Argentine mènera le jeu de l’Elan pour les deux prochaines saisons. C’est tard dans la nuit de jeudi à vendredi et suite à une visite éclair du joueur et de son agent que les deux parties sont tombées d’accord.
Finaliste du championnat, Stanic en fut également le meilleur passeur. La signature de Stanic aura également permis à l'Elan de replonger dans son glorieux passé... Son agent Vitorio Gallarini, est en effet un ancien joueur du Tracer Milan celui qui avec Mc Adoo, Meneghin, Pittis, Premier, Barlow avait disputé (et perdu) le premier match de la coupe des champions de l'histoire de l'Elan de Paul Henderson. C'était le 3 décembre 1986, Maximiliano Stanic avait 8 ans.(Notre photo: Stanic entre Gallarini et Henderson qui croisèrent le fer il y a 21 ans...)
De même, ce vendredi en fin de matinée, l’Elan a finalisé avec succès ses discussions avec les représentants de l’américain Curtis Withers, joueur intérieur qui évoluait cette saison sous les couleurs d’Alpella Istanbul en Turquie et dont les qualités de rebondeur ont fait meveille puisqu’à 11,2 rebonds de moyenne il a partagé avec l’un de ses équipiers le titre de meilleur rebondeur du championnat Turc.
L’ELAN EN ULEB CUP
Quant à la participation européenne de l’Elan elle se situera au niveau de la coupe ULEB. Lors de l’assemblée générale tenue jeudi en Slovénie, l’Uleb a en effet décidé une extension de la seconde coupe dont elle a la responsabilité. C’est à ce titre que l’Elan, considéré comme la Benetton de Trévise, La Fortitudo Bologne ou Alba Berlin, sera invité à disputer la Coupe ULEB dont chacun s’accorde à reconnaître que son prestige s’approche chaque année un peu plus de celui de l’Euroligue…
" Stanic, même lignée que Cooper "
Maximiliano Stanic, sera le nouveau meneur de l’Elan Béarnais. Il sera également, comme son nom ne l’indique pas le premier italo-argentin à porter le maillot « vert et blanc ».
Le joueur s’est engagé officiellement , ce jeudi, pour deux saisons..
Natif de Buenos Aires , Stanic possède, de par sa mère, la double nationalité depuis sa naissance. Il aurait même pu opter pour un passeport Slovène dès lors que sa maman possédait elle-même la nationalité Slovène pour être née à Gorizia, ville que à la frontière Italo-Slovène coupe en deux.
Mais il est aujourd’hui citoyen italien à part entière et c’est d’ailleurs dans la péninsule qu’il a construit l’essentiel de sa carrière Pro.
Même si, repéré, très rapidement pour ses qualités de vitesse et de manieur de balles il est amené à quitter à 17 ans le domicile familial pour intégrer la première division argentine. C’est au FC Pico qu’il forge ainsi, durant 3 ans, sa première expérience. Il en sort plus fort et monte d’un cran en portant successivement les maillots des Regatas puis de Boca Junior. Ce dernier club pourrait même lui offrir une belle opportunité de carrière, mais la crise économique qui frappe l’Argentine, le pousse à rejoindre sa seconde patrie. Il arrive à Jesi (A2) au cœur de l’été 2002 et ne quittera plus ni l’Italie, ni la Liga Due. Il est vrai qu’il y prend ses habitudes et de bonnes habitudes. Il y jouera deux finales et trois demi-finales en cinq ans……
C’est sous les couleurs de Scafati, dans le Sud du pays qu’il va devenir l’un des plus fiables meneurs de la division, partageant sa première saison avec Fred Forte l’actuel président –entraîneur du CSP Limoges. Ainsi en 2005 dispute-t-il la finale de la coupe et la demi-finale du play-off. De quoi donner quelques ambitions qui la saison suivante (2005-2006) remporte effectivement le titre et gagne le droit de monter en Liga.
Mais, jeune marié, il avoue quelques lassitudes pour l’ambiance du sud et c’est le projet de Pavie, qui vient de perdre Lonnie Cooper, en partance pour le Béarn, qui retient toute son attention.
La saison est là encore couronnée de succès puisque, la semaine dernière Edimes Pavie et Stanic (meilleur passeur de la A2) disputaient la montée en Liga face à Pesaro : « Nous avions pris une option en revenant chez nous à 1-1 pour deux matches… Mais la blessure d’une de nos rotations, lors du second match nous a fait très mal ? Nous avons manqué de jambes pour finir le travail et en perdant le 3ème match, après deux prolongations, nous avons laissé passé notre chance », commente Maxi Stanic, sans trop de regrets tant il a terminé sur les rotules ce play off de titans (13 matches en 29 jours et 37 minutes de temps de jeu ne moyenne)…
Reste que la fête a été grandiose et qu’il restera dans l’histoire du club comme l’un des héros ! Songez que depuis 16 ans, du temps d’Oscar Schmitt, la légende brésilienne, le club n’avait jamais franchi un premier tour de play-off et que depuis six saisons il restait dans l’attente d’un succès à domicile à l’occasion des phases finales….
Vice champion d’Italie au terme d’un saison bougrement accomplie, Maximiliano Stanic s’est bien entendu vu proposer une prolongation de contrat, il a aussi été approché par différents clubs de l’étage supérieure. Mais à 28 ans, il a choisi de donner une nouvelle orientation à sa carrière et, parfait hispanisant, de se rapprocher de l’Espagne… Là où l’un des ses amis et voisin de quartier dans le grand Buenos Aires évolue, Luis Scola.
Pour le reste le jeune homme n’avoue qu’une seule envie « celle de gagner » en relevant le défi de la langue.
" Stanic en bref "
Maximiliano Ariel Stanic
Né le 2 décembre 1978 à Buenos Aires.
Marié à Carina.
1m 77 – 77 kilos- meneur de jeu.
Il signe à 17 ans son premier contrat en première division argentine.
1996-00 : Pico FC (D1- Argentine) – 9,4pts, 4,5 passes (3ème passeur) la dernière année.
2000-01 : Regatas (D1- Argentine) 6, 4 points, 5,2 passes (2ème passeur).
2001-2002 : Boca Junior (D1- Argentine) – 7,2 points, 3,7 passes.
2002-2003: Jesi (A2 –Italie) – Demi-finaliste du play-off; 8,6 points, 2,6 passes (8ème passeur).
2003-04 : Scafati (A2 – Italie) – 9 ;2 points, 4,2 rebonds, 3,6 passes.
2004-05 : Scafati (A2 – Italie) - 8,1 points, 3,7 passes, 3,5 interceptions (2ème intercepteur).
Finaliste de la coupe, demi-finaliste du play-off
2005-06 : Scafati (A2 – Italie) – 7 points, 3,3 passes., 3 rebonds.
Champion de Lega Due.
2006-07 : Pavie (A2- Italie) – Finaliste du play-off face à Pésaro.
Saison régulière : 30 matches (32’), 10,6 points à 49,4% à deux points et 36,4 à trois points, 7 passes, 4,3 rebonds.
Play-off : 13 matches (37’), 12 ,8 points à 42% à deux points et 36,4 à 3 points, 6 passes, 4,2 rebonds.
18ème joueur à l’évaluation ; 20ème à la rentabilité par minutes ; 7ème tireur de lancers franc ; 8ème intercepteur ; Meilleur passeur (6,97 passes de moyenne) .
Tourne sur l’ensemble de sa carrière à 82% de réussite aux lancers franc.
" Withers, le sens du rebond "
C’est de la ligue turque, tout comme Michael Wright, que vient le nouveau pivot de l’Elan : Curtis Withers (23 ans, 2m 04). Et tout comme Wright, c’est dans le domaine du rebond que le gaillard s’est fait remarquer pour sa première apparition en Europe.
Autre point commun entre les deux hommes : leur sélection dans l’équipe des Etas-Unis à l’occasion d’un championnat du monde. Curtis Withers appartenait en effet en 2005 à l’équipe US qui termina 5ème des mondiaux moins de 21 ans disputés en Argentine.
A 10,3 points et 6,3 rebonds de moyenne, il confirma d’ailleurs lors du tournoi, en compagnie de Traj Gray, vu cette saison sous les couleurs choletaises, ses dispositions pour le combat dans la peinture. « Un classique monstre musculaire de NCAA » précise les guides de l’époque tout en soulignant que son « manque de taille serait son principal obstacle pour viser le ligue majeure… »
Au sortir d’un solide cursus à Charlotte (14,9 points, 9 rebonds) et notamment d’une dernière année senior remarquable (16,1 pts, 11,3 rbds), en Europe qu’il prolonge sa carrière, non sans avoir participé, sans succès, à la summer ligue d’Orlando sous les couleurs des Bobcats de Charlotte.
Candidat au titre de MVP universitaire de l’année, ce diplômé en justice criminel signe donc à Istanbul au sein de la toute nouvelle équipe d’Alpella reconstruite sur les cendres d’Ulker puisque le géant de la chocolaterie turque a choisi d’investir aux côtés de Fenerbahce.
30 matches plus loin, Curtis Withers, père d’un petit Jae’lin de sept ans, partage en compagnie de… son coéquipier Omer Asik, le titre de meilleur rebondeur du championnat avec 11,2 prises moyennes!
Il s’est aussi fendu de 16,1 points de moyenne, ce qui en fait le 11ème réalisateur, et il apparaît encore dans deux classements annexes, celui des interceptions (2,5, 4ème) et des balles perdues (3,7, 5ème)… Il est vrai que le jeune homme bénéficiait d’un énorme temps de jeu dans une équipe qui fit une saison honnête (11ème) et qui reposait sur un quatuor majeur formé des deux US (Marshall Strickland et lui) et de deux joueurs locaux , Omer Asik et le très prometteur Caner Oner (19 ans)…
Reste que c’est contre les cadors, peu nombreux, du championnat turc que Withers s’est particulièrement distingué : 17 (5 et 12) rebonds contre Efes Pilsen, 30 (12 et 18.) contre Besiktas, 18 (9 et 9) contre Ankara où Michael Wright évoluera la saison prochaine, 25 (13 et 12 contre Galatasaray, et enfin 19 (13 et 6) contre Fenerbahce, le tout récent nouveau champion.
Offensivement très présent, il n’a disputé que 4 matches à moins de 11 points, Curtis Withers est aussi un gros consommateur de lancers (6 par match) mais ce n’est pas vraiment le domaine dans lequel il est le plus à l’aise (57%).
Son équipe ne s’étant pas qualifié pour les play-off, Curtis Withers est allé terminé sa saison à Porto Rico chez les Indios de Mayaguez. Il y a retrouvé un certain Ian Lockhart et y a confirmé ses qualités de gros rebondeur : il était à 10 prises moyennes après 6 matches…
(Source : ww.elan-bearnais.fr)
" Seillant-Herbert : on négocie "
PAU-ORTHEZ.
La rencontre entre le directeur exécutif palois et le coach canadien a eu lieu hier après-midi. Le divorce semble consommé mais les deux parties se sont donnés un délai de réflexion.
Il aura donc fallu plus de trois semaines et une convocation très officielle pour que Gordon Herbert vienne à la rencontre de Pierre Seillant. C'était hier apès-midi, au Palais des sports de Pau, où le coach canadien était attendu dans le bureau du directeur exécutif. L'entretien, qui a duré un peu plus d'une heure, a permis aux deux hommes de s'expliquer.
«
On a débriefé sur ce qui s'était passé cette saison, on s'est dit des choses », relate Pierre Seillant. D'un côté comme de l'autre, les griefs ont été exposés. «
Les reproches concernant Gordon, tout le monde les connaît, avance Seillant.
Il ne parle pas bien français, ce qui limite la communication et il travaille en solitaire. Et puis il ne nous a plus donné signe de vie pendant trois semaines après la victoire en coupe de France. C'est une façon de fonctionner qui ne nous convient pas et on lui a dit qu'on ne repartirait pas comme cela la saison prochaine. De son côté, il nous a assuré qu'il s'était investi à fond dans son travail, qu'il avait tout donné pour que les résultats soient les meilleurs possibles et que depuis Bercy, il pensait toujours à l'équipe ».
Quel scénario? Le coach canadien aurait également ciblé des dysfonctionnements ou des carences, critiques qui ont été entendues par le directeur exécutif. Au terme de cette discussion, les deux hommes sont convenus de se revoir, en milieu de semaine prochaine. «
On a chacun pris note de ce qui s'est dit et on s'est laissé un délai de réflexion », annonce Seillant.
Que peut-il se passer dès lors ? «
Cela peut déboucher sur un départ volontaire, une transaction ou un licenciement, mais on doit réfléchir car on ne peut pas faire n'importe quoi ».
Puisque depuis Bercy le coach canadien n'a jamais clairement exprimé son désir d'accomplir sa dernière année de contrat et que le directeur exécutif palois ne semble pas l'envisager non plus, il semble qu'une séparation négociée soit l'issue privilégiée.
«
Gordon ne m'a pas donné le sentiment d'être ennuyé. Il doit avoir une idée en tête », glisse Seillant. Le coach canadien pourrait ainsi retourner à Paris, où la fusion entre le PRB et Levallois préfigure un projet ambitieux dans la capitale.
Pour le remplacer, la piste d'Olivier Cousin est toujours la plus chaude. Mais le coach de Quimper _ club qui a annoncé hier son remplacement par François Péronnet _ et de l'année en Pro B devra encore patienter quelques jours avant de poser très officiellement ses valises à Pau.
(Source :
http://www.sudouest.com)