Après une pause repas, (rapide, il n'y avait plus beaucoup de sandwiches dans les travées de Bercy) me revoici pour la finale des seniors filles
USVO
GODIN
HARROWER
GRUDA
HERMOUET
GRGIN FONSECA
DIGBEU (jennifer)
GOMIS (Emilie)
BADE
TUVIC
MICHEL (la MVP Cadette)
BOURGES
SALVI
MALTSI
MELAIN
MIYEM
HALL
DUMERC
PAUL
KIRETA
LEPRON
N'DONGUE
Après 5min 15 Valenciennes vient de faire un premier break 6-12 temps mort pour Bourges
[CdF] Elan 92-83 Nanterre, Audios et Photos page 18!
Modérateurs : Joruus, Modérateurs
Du coté de valenciennes, Gomis est la meilleure marqueuse : 6 points,
à l'évaluation c'est Harrower qui a la meilleure : 8 grace à 5 points, 4 rebonds et 2 passes
Du côté de Bourges, c'est MIYEM qui surnage : 4 points (à 100%) et 3 rebonds pour une évaluation de 7.
à l'évaluation c'est Harrower qui a la meilleure : 8 grace à 5 points, 4 rebonds et 2 passes
Du côté de Bourges, c'est MIYEM qui surnage : 4 points (à 100%) et 3 rebonds pour une évaluation de 7.
Ceci était un message du "prof, ami des stars du basket"
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nounours
- Joueur de banc de l'Elan
- Messages : 1695
- Enregistré le : 18 janv. 2006 13:39
- Localisation : Bordes
Je regarde la finale des filles sur c+ sport, il faudrait que les supporters de Pau mettent la banderolle sur freddy, "coté table de marque" et non "coté tribune" Car a l'image on n'arrive pas a la voir en entier, alors que s il la change de coté, on la verra comme il faut a la tv! 
voilà, c'était juste pour ça !!! et allez l'élan
voilà, c'était juste pour ça !!! et allez l'élan
Ne t'inquiète pas gaétan, je suis en face et je l'ai filmée, elle sera très bientot visible sur le forum...gpolin a écrit :On voudré bien ms c plu notre domaine derriere la table de marq...dsl mé jvs écri de bercy sr mn port...
Je ne suis pas intervenu durant le 3ème quart temps, je suivais la conférence de presse de la LNB sur les play-offs, où l'on a évoqué entre autre une possibilité de passer à un final four d'ici quelques temps pour désigner le champion de France... Mais aussi le futur départ des instances de la LNB de Pierre Seillant, je vais essayer d'ici demain au plus tard de vous mettre en ligne aussi cette vidéo là...
38-51 pour Valenciennes
Ceci était un message du "prof, ami des stars du basket"
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philip_pau
- Joueur de banc de l'Elan
- Messages : 1902
- Enregistré le : 08 août 2004 20:32
- Localisation : Pau
C'est donc en cet fin d'après-midi, sur les coups de 17h que l'Elan débutera la finale de la Coupe de France afin de réaliser le doublé historique , à savoir remporter pour deux clubs d'une même ville dans deux catégories différentes (Cadet et Pro A) la finale de la Coupe Nationale.
Au-delà d'un titre supplémentaire, ce qui ferait la 3eme Coupe de France en plus des 3 Trophée des AS, ce sera surtout l'occasion d'offrir à notre Freddy une fin un peu moins malheureuse et indigne du joueur qu'il a été.
Alors, tous les mercenaires " US ou assimilés " du club auront bien intérêt à se rappeler du maillot qu'ils portent et à ne pas le souiller et faire honneur à l'Histoire de ce club et de Freddy avant de partir loin du Béarn sans jamais y revenir !!!!
Alors pour toi
Freddy, en espérant qu'un de tes shoots longue distance qui a fait ta réputation et qui faisait trembler l'ensemble des parquets de Pro A et d'Europe 
déchire les cercles du POPB afin de te voir lever les 
et remporter ce qui sera ton dernier titre sous la tunique paloise et ramener le Trophée sur les bords du Cami-Salié !!!!
Tu aurais mérité le trophée en bronze mais celui de Bercy, pour la finale de la Coupe de France sera un beau lot de consolation !!!!
[center]LA REPUBLIQUE DES PYRENEES[/center]
" La sortie en Seine du Capitaine "
Fred Fauthoux tire sa révérence ce soir à Paris-Bercy après plus de 800 matches au service de l'Elan. Séquence émotion pour une carrière hors normes.
Le rideau va tomber. A 34 ans, dont la moitié au sein de l'Elan, Fred Fauthoux, future recrue d'Horsarrieu, en terminera aujourd'hui avec sa carrière de joueur professionnel.
Le capitaine aurait bien sûr aimé une autre sortie, début juin, en play-off. Mais, comblé, fort d'un copieux palmarès, il ne boudera surtout pas son plaisir dans l'écrin de Bercy, pour son 807e et dernier match, à l'occasion de la finale de la Coupe de France.
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : "Ca y est, l'heure de la retraite a sonné ?
Fred Fauthoux : Oui, c'est la dernière ligne droite. Je vis tout cela très bien car ma décision est prise depuis longtemps. Je suis fier, soulagé aussi, vu la façon dont ma carrière s'est passée. Elle a été remplie de trophées, de victoires, alors que au départ je n'étais pas le joueur le plus talentueux du monde. Mais, à la sortie, tout en restant disponible, je suis devenu l'un des plus titrés et j'ai toujours réussi à gagner ma place. J'ai répondu présent et ne me suis jamais échappé quand il fallait prendre ses responsabilités dans de fins de matches.
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : Quelles images garderas-tu pour tes vieux jours ?
Fred Fauthoux : Celle de superbes années. J'ai rencontré des tas de gens formidables, vécu des histoires humaines fortes. Tout cela fait remonter beaucoup d'émotion et a, pour moi, autant de valeur que les trophées.
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : Ta carrière au Palais des sports s'est arrêtée face au Havre, sur une élimination....
Fred Fauthoux : Cela aussi, je l'ai bien vécu. Je savais qu'il s'agissait de mon dernier match ici car il n'était plus question de rêver par rapport au play-off. Mercredi, le public m'a montré ce que je lui avais apporté toutes ces années et il était déçu que l'Elan ne me rende pas un petit hommage. Moi, j'étais déçu pour les supporters....
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES :Cet épilogue n'est-il pas à l'image d'une année pour le moins étrange ?
Fred Fauthoux : Normalement, au fil d'une saison, on voit des progrès. Au bout d'un moment, tu sais ou tu vas alors que là, encore mercredi soir, je ne savais pas si nous étions capables de battre Le Havre. Cela laisse un goût d'inachevé et nous avons eu le résultat qu'on méritait. Le coach ? Il est resté fidèle à sa méthode de travail. Ce n'est pas lui qui joue et, à son arrivée au club, pas mal de joueurs étaient déjà en place.
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : Un succès cet après-midi sauverait au moins les apparences ?
Fred Fauthoux : Je rêvais d'une autre finale. Elle n'a pas le même goût que celle du play-off mais j'espère vraiment gagner ce titre pour le club. Il ne faut surtout pas se relâcher. Nanterre n'a pas éliminé Chalon par hasard et, cette saison, on n'a pas toujours assez respecté nos adversaires. A nous de faire le métier. Pour moi, ce serait une très belle sortie, un joli clin d'oeil, si je peux finir sur un trophée.
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : Et demain, de quoi sera fait ton quotidien ?
Fred Fauthoux : J'ai autant envie de jouer et il me faut de toute façon une activité physique. Horsarrieu, c'est le choix de toujours mais il y aura quand même un vide à combler. Que faire ? Pour l'instant, l'Elan réfléchit et ne m'a rien proposé de concret. Je dis cela sans amertume.
(Source : LA REPUBLIQUE DES PYRENEES)
[center]L'EQUIPE[/center]
" FAUTHOUX , le dernier fidèle "
Le meneur de Pau Frédéric Fauthoux mettra fin ce soir à une carrière pro exemplaire et à une page de l'histoire de l'Elan.
SI TOUT VA BIEN pour les siens, ce soir à Bercy, il rendra son brassard de capitaine après avoir soulevé le quatorzième trophée de sa longue croisade avec l'Elan Béarnais. Ce sera le bout de la route pour Freddy Fauthoux (34 ans, 1,80m), après dix-sept ans de voyage sous le maillot palois, sans jamais une tromperie, ni un accroc au contrat de mariage. Fidèle parmi les fidèles, il aura alors disputé dimanche son 807e match avec l'Elan, empaquettera sept titres nationaux, quatre trophées des As et deux -peut-être trois- Coupes de France dans sa valise. Ce Landais pur et sévère s'en retournera alors boire aux ruisseaux d'Horsarrieu, son repaire des Landes " 700 habitants mais dix-sept équipes de basket ! ", ponctue-t-il avec fierté. Ainsi se tournera aussi une page prestigieuse de l'histoire du club, un adieu à une tradition de basket qui lançait au feu des enfants du pays, formés à la maison. A l'heure de quitter le basket pro sur le terrain, Freddy d'Horsarrieu, le " Petitou "de l'Elan, a pris le temps de balayer l'actualité du jour et de se retourner vers ses grandes heures.
[center]LA DERNIERE FINALE[/center]
C'est aujourd'hui à Bercy la dernière chance de Pau et de son capitaine de ne pas se quitter sur une saison vierge.
" J'aurais préféré aller à Bercy pour jouer la finale du Championnat. C'est la fin de ma carrière, j'ai marqué mon dernier panier d'Euroligue (contre Vitoria, à Vitoria), j'ai gagné mon dernier match de Championnat (contre Le Havre), ce serait fantastique de terminer par un trophée. Avoir cette Coupe de France, ça ne serait pas de trop. Qu'on ait au moins la fierté de ramener quelque chose. (Son portable vibre. Amusé...) Tiens, ça, c'est mon adversaire de dimanche, Thomas Darnauzan. Je pense qu'on va s'appeler soivent d'ici la finale...On a quelques souvenirs en commun. Lui aussi a été formé à l'Elan..... "
[center]UNE SAISON RATEE[/center]
Non qualifié en play-offs pour la première fois de sa riche histoire, Pau a aussi mis en dangern d'après son capitaine, les veleurs du club.
" Cette année, a été difficile. La non-qualification, c'est un coup d'arrêt pour le club. Mais je pense que c'est aussi parce que le club n'est pas dans une bonne orientation. On a la chance d'avoir une histoire, un vécu, des valeurs, et personnellement je trouve qu'on s'en éloigne un peu. Alors, s'arrêter comme ça..... C'est un peu difficile. Mais cette saison n'est qu'une toute petite partie de ma carrière quand je fais le bilan, je ne m'arrête pas là. Quant à cette américanisation des effectifs, je ne crois pas que ce soit incontournable, je pense qu'on peut faire différement. Nous, on a la chance d'avoir un patrimoine, il y a d'anciens joueurs, il y a eu des titres, de la formation....On arrivait à se différencier de certains, même dans l'identité de jeu, par un jeu de passes. Tout ça, on est train de le perdre ".
[center]FIDELITE[/center]
Homme d'un seul club dans sa carrière, il ne regrette pas cette fidélité hors norme dans le sport pro moderne.
" Le rêve d'enfant un peu irréel que j'avais, c'était de jouer à l'Elan béarnais. Alors, le jour ou j'ai eu l'opportunité d'y être, je me suis vite rendu compte de la chance que c'était. On était européens, on jouait des titres, il y avait des grands joueurs que je côtoyais, et moi, j'ai eu tout ce que voulais ici. Mes amis, ma famille, donc je n'avais aucune raison d'aller chercher plus loin. Ici, chaque année était un challenge. Vu les qualités naturelles (sourires) que j'ai, beaucoup de forts joueurs sont arrivés à mon poste, et mon challenge était de rester au niveau. Ca suffisait amplement ".
[center]DEUX SAISONS BENIES[/center]
Des titres, oui, mais aussi des hommes ont marqué deux saisons qui font aujourd'hui référence pour le capiraine.
" Il y a eu deux saisons qui m'ont marqué énormément : 1995-1996 et 1998-1999. Attention, quand je dis qu'on avait une culture, ça ne vaut pas dire qu'on avait pas d'Américains. En 1999, on avait Ronnie Smith, Cwayne Scholten, Juan Aisa, Emmannuel Davis, mais c'étaient des mecs qui transpiraient quelque chose, qui savaient nos valeurs et ils étaient entourés par les Gadou, Foirest, moi-même....On savait ou on allait. Donc ce n'était pas un problème d'avoir une équipe française ou pas....Il y avait des résultats et, sur le terrain, une camaraderie extraordinaire, une envie, une osmose entre les dirigeants, les entraîneurs, l'équipe. Ca fait partie des souvenirs que je garderai à vie ".
[center]FREDDY HUFNAGEL : MAGIQUE[/center]
Ils ont marqué le club et le cheminement humain du " Petitou ".
" C'était un rêve d'enfant , le poster de ma chambre : Freddy Hufnagel. Un personnage si fantastique que j'ai " mangé " la saison qu'on a jouée ensemble en 1996; il y avait aussi cette année-là Abtoine Rigaudeau. J'ai d'abord connu le joueur, car c'était quelqu'un de réservé, avant de connaître l'homme dix ans après, avec les Bleus. Je ne peux pas oublier non plus Laurent Foirest, un super ami, Didier et Thierry (Gadou).....A l'étranger, mes amis ce sont Juan (Aisa, l'homme d'Estudiantes) et Roger (Esteller, le " tigre " de Barcelone). Dans l'effectif, l'affectif et le festif, c'était juste ce qu'il fallait ici. Enfin sur le festif, toutes proportions gardées bien sûr, on ne faisait pas n'importe quoi non plus....Et puis il y avait Dragan (Lukovski), qui avait lui aussi la bonne mentalité pour s'intégrer. Avec eux, il y avait de vraies relations derrière. Après, des grands joueurs américains, on en a eu : des Darren Daye, Conrad McRae, Mike Jones, mais il y avait moins de contatcs. Je me rends compte de la chance que j'ai eue de joueur avec tous ces gars-là "
[center]OVATION EN 2004[/center]
Lui qui évolua si souvent au relais d'un meneur étranger fut le leader des play-offs 2004.
" A titre personnel, allez, je vais être égoîste, le dernier titre qu'on gagne en 2004, contre Gravelines chez nous. C'est l'année ou Dragan se blesse pendant les play-offs, son remplaçant Vladimir Krstic se blesse aussi et, là, le club dit : " On va finir ensemble ". C'était mon dernier challenge, montrer qu'à trente-deux ans on peut encore jouer au basket et gagner un titre. Et, là, le public m'a fait une énorme ovation qui m'a touché pronfondément ".
[center]LES PIETRUS, DIAW ET LE JEU MODERNE[/center]
Cette jeune génération qui incarnait un basket moderne, plus athlétique, plus vite, plus haut....annonçait un tournant dans l'évolution d'un jeu moins porté par les joueurs " vieille école " comme lui.
" Eux, je les ai dans mon coeur. Ce n'est pas ma génération de joueurs, mais je pense qu'on a contribué un peu à leur réussite. Ils nous ont apporté cette toncité, mais ils étaient encadrés par des garçons comme Esteller, Didier Gadou, Laurent Foirest, moi-même. On a su faire l'amalgame. Moi, j'ai plutôt pris ça comme devant être le grand frère qui accompagnerait leur évolution. Je les ai vu arriver, leur premier jour en espoirs, gamins. Ils étaient très respectueux de tout ça. Je n'ai pas voulu y voir la fin d'une époque. Et je pense que des joueurs de ma trempe, de mon style, ont encore leur utilité ".
[center]RECONVERSION[/center]
Freddy Fauthoux va revenir aux sources, à Horsarrieu, ou il prendra une licence. Mais il se verrait bien encore au service de l'Elan.
" Pour couper un peu avec ce basket pro qui ne me correspond plus tellement actuellement, j'ai voulu repartir dans mon pays, à Horsarrieu, boucler la boucle. Le club, pour l'instant, ne m'a rien proposé de concret. Donc je ne sais pas. Je ne vais pas cacher que ça m'intéresserait, mais pas n'importe quoi, quelque chose qui me correspondrait bien.... "
(Source : L'EQUIPE)
Allez Freddy, cet après-midi, elle est pour toi !!!!!!
Au-delà d'un titre supplémentaire, ce qui ferait la 3eme Coupe de France en plus des 3 Trophée des AS, ce sera surtout l'occasion d'offrir à notre Freddy une fin un peu moins malheureuse et indigne du joueur qu'il a été.
Alors, tous les mercenaires " US ou assimilés " du club auront bien intérêt à se rappeler du maillot qu'ils portent et à ne pas le souiller et faire honneur à l'Histoire de ce club et de Freddy avant de partir loin du Béarn sans jamais y revenir !!!!
Alors pour toi
Freddy, en espérant qu'un de tes shoots longue distance qui a fait ta réputation et qui faisait trembler l'ensemble des parquets de Pro A et d'Europe déchire les cercles du POPB afin de te voir lever les et remporter ce qui sera ton dernier titre sous la tunique paloise et ramener le Trophée sur les bords du Cami-Salié !!!!Tu aurais mérité le trophée en bronze mais celui de Bercy, pour la finale de la Coupe de France sera un beau lot de consolation !!!!
[center]LA REPUBLIQUE DES PYRENEES[/center]
" La sortie en Seine du Capitaine "
Fred Fauthoux tire sa révérence ce soir à Paris-Bercy après plus de 800 matches au service de l'Elan. Séquence émotion pour une carrière hors normes.
Le rideau va tomber. A 34 ans, dont la moitié au sein de l'Elan, Fred Fauthoux, future recrue d'Horsarrieu, en terminera aujourd'hui avec sa carrière de joueur professionnel.
Le capitaine aurait bien sûr aimé une autre sortie, début juin, en play-off. Mais, comblé, fort d'un copieux palmarès, il ne boudera surtout pas son plaisir dans l'écrin de Bercy, pour son 807e et dernier match, à l'occasion de la finale de la Coupe de France.
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : "Ca y est, l'heure de la retraite a sonné ?
Fred Fauthoux : Oui, c'est la dernière ligne droite. Je vis tout cela très bien car ma décision est prise depuis longtemps. Je suis fier, soulagé aussi, vu la façon dont ma carrière s'est passée. Elle a été remplie de trophées, de victoires, alors que au départ je n'étais pas le joueur le plus talentueux du monde. Mais, à la sortie, tout en restant disponible, je suis devenu l'un des plus titrés et j'ai toujours réussi à gagner ma place. J'ai répondu présent et ne me suis jamais échappé quand il fallait prendre ses responsabilités dans de fins de matches.
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : Quelles images garderas-tu pour tes vieux jours ?
Fred Fauthoux : Celle de superbes années. J'ai rencontré des tas de gens formidables, vécu des histoires humaines fortes. Tout cela fait remonter beaucoup d'émotion et a, pour moi, autant de valeur que les trophées.
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : Ta carrière au Palais des sports s'est arrêtée face au Havre, sur une élimination....
Fred Fauthoux : Cela aussi, je l'ai bien vécu. Je savais qu'il s'agissait de mon dernier match ici car il n'était plus question de rêver par rapport au play-off. Mercredi, le public m'a montré ce que je lui avais apporté toutes ces années et il était déçu que l'Elan ne me rende pas un petit hommage. Moi, j'étais déçu pour les supporters....
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES :Cet épilogue n'est-il pas à l'image d'une année pour le moins étrange ?
Fred Fauthoux : Normalement, au fil d'une saison, on voit des progrès. Au bout d'un moment, tu sais ou tu vas alors que là, encore mercredi soir, je ne savais pas si nous étions capables de battre Le Havre. Cela laisse un goût d'inachevé et nous avons eu le résultat qu'on méritait. Le coach ? Il est resté fidèle à sa méthode de travail. Ce n'est pas lui qui joue et, à son arrivée au club, pas mal de joueurs étaient déjà en place.
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : Un succès cet après-midi sauverait au moins les apparences ?
Fred Fauthoux : Je rêvais d'une autre finale. Elle n'a pas le même goût que celle du play-off mais j'espère vraiment gagner ce titre pour le club. Il ne faut surtout pas se relâcher. Nanterre n'a pas éliminé Chalon par hasard et, cette saison, on n'a pas toujours assez respecté nos adversaires. A nous de faire le métier. Pour moi, ce serait une très belle sortie, un joli clin d'oeil, si je peux finir sur un trophée.
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES : Et demain, de quoi sera fait ton quotidien ?
Fred Fauthoux : J'ai autant envie de jouer et il me faut de toute façon une activité physique. Horsarrieu, c'est le choix de toujours mais il y aura quand même un vide à combler. Que faire ? Pour l'instant, l'Elan réfléchit et ne m'a rien proposé de concret. Je dis cela sans amertume.
(Source : LA REPUBLIQUE DES PYRENEES)
[center]L'EQUIPE[/center]
" FAUTHOUX , le dernier fidèle "
Le meneur de Pau Frédéric Fauthoux mettra fin ce soir à une carrière pro exemplaire et à une page de l'histoire de l'Elan.
SI TOUT VA BIEN pour les siens, ce soir à Bercy, il rendra son brassard de capitaine après avoir soulevé le quatorzième trophée de sa longue croisade avec l'Elan Béarnais. Ce sera le bout de la route pour Freddy Fauthoux (34 ans, 1,80m), après dix-sept ans de voyage sous le maillot palois, sans jamais une tromperie, ni un accroc au contrat de mariage. Fidèle parmi les fidèles, il aura alors disputé dimanche son 807e match avec l'Elan, empaquettera sept titres nationaux, quatre trophées des As et deux -peut-être trois- Coupes de France dans sa valise. Ce Landais pur et sévère s'en retournera alors boire aux ruisseaux d'Horsarrieu, son repaire des Landes " 700 habitants mais dix-sept équipes de basket ! ", ponctue-t-il avec fierté. Ainsi se tournera aussi une page prestigieuse de l'histoire du club, un adieu à une tradition de basket qui lançait au feu des enfants du pays, formés à la maison. A l'heure de quitter le basket pro sur le terrain, Freddy d'Horsarrieu, le " Petitou "de l'Elan, a pris le temps de balayer l'actualité du jour et de se retourner vers ses grandes heures.
[center]LA DERNIERE FINALE[/center]
C'est aujourd'hui à Bercy la dernière chance de Pau et de son capitaine de ne pas se quitter sur une saison vierge.
" J'aurais préféré aller à Bercy pour jouer la finale du Championnat. C'est la fin de ma carrière, j'ai marqué mon dernier panier d'Euroligue (contre Vitoria, à Vitoria), j'ai gagné mon dernier match de Championnat (contre Le Havre), ce serait fantastique de terminer par un trophée. Avoir cette Coupe de France, ça ne serait pas de trop. Qu'on ait au moins la fierté de ramener quelque chose. (Son portable vibre. Amusé...) Tiens, ça, c'est mon adversaire de dimanche, Thomas Darnauzan. Je pense qu'on va s'appeler soivent d'ici la finale...On a quelques souvenirs en commun. Lui aussi a été formé à l'Elan..... "
[center]UNE SAISON RATEE[/center]
Non qualifié en play-offs pour la première fois de sa riche histoire, Pau a aussi mis en dangern d'après son capitaine, les veleurs du club.
" Cette année, a été difficile. La non-qualification, c'est un coup d'arrêt pour le club. Mais je pense que c'est aussi parce que le club n'est pas dans une bonne orientation. On a la chance d'avoir une histoire, un vécu, des valeurs, et personnellement je trouve qu'on s'en éloigne un peu. Alors, s'arrêter comme ça..... C'est un peu difficile. Mais cette saison n'est qu'une toute petite partie de ma carrière quand je fais le bilan, je ne m'arrête pas là. Quant à cette américanisation des effectifs, je ne crois pas que ce soit incontournable, je pense qu'on peut faire différement. Nous, on a la chance d'avoir un patrimoine, il y a d'anciens joueurs, il y a eu des titres, de la formation....On arrivait à se différencier de certains, même dans l'identité de jeu, par un jeu de passes. Tout ça, on est train de le perdre ".
[center]FIDELITE[/center]
Homme d'un seul club dans sa carrière, il ne regrette pas cette fidélité hors norme dans le sport pro moderne.
" Le rêve d'enfant un peu irréel que j'avais, c'était de jouer à l'Elan béarnais. Alors, le jour ou j'ai eu l'opportunité d'y être, je me suis vite rendu compte de la chance que c'était. On était européens, on jouait des titres, il y avait des grands joueurs que je côtoyais, et moi, j'ai eu tout ce que voulais ici. Mes amis, ma famille, donc je n'avais aucune raison d'aller chercher plus loin. Ici, chaque année était un challenge. Vu les qualités naturelles (sourires) que j'ai, beaucoup de forts joueurs sont arrivés à mon poste, et mon challenge était de rester au niveau. Ca suffisait amplement ".
[center]DEUX SAISONS BENIES[/center]
Des titres, oui, mais aussi des hommes ont marqué deux saisons qui font aujourd'hui référence pour le capiraine.
" Il y a eu deux saisons qui m'ont marqué énormément : 1995-1996 et 1998-1999. Attention, quand je dis qu'on avait une culture, ça ne vaut pas dire qu'on avait pas d'Américains. En 1999, on avait Ronnie Smith, Cwayne Scholten, Juan Aisa, Emmannuel Davis, mais c'étaient des mecs qui transpiraient quelque chose, qui savaient nos valeurs et ils étaient entourés par les Gadou, Foirest, moi-même....On savait ou on allait. Donc ce n'était pas un problème d'avoir une équipe française ou pas....Il y avait des résultats et, sur le terrain, une camaraderie extraordinaire, une envie, une osmose entre les dirigeants, les entraîneurs, l'équipe. Ca fait partie des souvenirs que je garderai à vie ".
[center]FREDDY HUFNAGEL : MAGIQUE[/center]
Ils ont marqué le club et le cheminement humain du " Petitou ".
" C'était un rêve d'enfant , le poster de ma chambre : Freddy Hufnagel. Un personnage si fantastique que j'ai " mangé " la saison qu'on a jouée ensemble en 1996; il y avait aussi cette année-là Abtoine Rigaudeau. J'ai d'abord connu le joueur, car c'était quelqu'un de réservé, avant de connaître l'homme dix ans après, avec les Bleus. Je ne peux pas oublier non plus Laurent Foirest, un super ami, Didier et Thierry (Gadou).....A l'étranger, mes amis ce sont Juan (Aisa, l'homme d'Estudiantes) et Roger (Esteller, le " tigre " de Barcelone). Dans l'effectif, l'affectif et le festif, c'était juste ce qu'il fallait ici. Enfin sur le festif, toutes proportions gardées bien sûr, on ne faisait pas n'importe quoi non plus....Et puis il y avait Dragan (Lukovski), qui avait lui aussi la bonne mentalité pour s'intégrer. Avec eux, il y avait de vraies relations derrière. Après, des grands joueurs américains, on en a eu : des Darren Daye, Conrad McRae, Mike Jones, mais il y avait moins de contatcs. Je me rends compte de la chance que j'ai eue de joueur avec tous ces gars-là "
[center]OVATION EN 2004[/center]
Lui qui évolua si souvent au relais d'un meneur étranger fut le leader des play-offs 2004.
" A titre personnel, allez, je vais être égoîste, le dernier titre qu'on gagne en 2004, contre Gravelines chez nous. C'est l'année ou Dragan se blesse pendant les play-offs, son remplaçant Vladimir Krstic se blesse aussi et, là, le club dit : " On va finir ensemble ". C'était mon dernier challenge, montrer qu'à trente-deux ans on peut encore jouer au basket et gagner un titre. Et, là, le public m'a fait une énorme ovation qui m'a touché pronfondément ".
[center]LES PIETRUS, DIAW ET LE JEU MODERNE[/center]
Cette jeune génération qui incarnait un basket moderne, plus athlétique, plus vite, plus haut....annonçait un tournant dans l'évolution d'un jeu moins porté par les joueurs " vieille école " comme lui.
" Eux, je les ai dans mon coeur. Ce n'est pas ma génération de joueurs, mais je pense qu'on a contribué un peu à leur réussite. Ils nous ont apporté cette toncité, mais ils étaient encadrés par des garçons comme Esteller, Didier Gadou, Laurent Foirest, moi-même. On a su faire l'amalgame. Moi, j'ai plutôt pris ça comme devant être le grand frère qui accompagnerait leur évolution. Je les ai vu arriver, leur premier jour en espoirs, gamins. Ils étaient très respectueux de tout ça. Je n'ai pas voulu y voir la fin d'une époque. Et je pense que des joueurs de ma trempe, de mon style, ont encore leur utilité ".
[center]RECONVERSION[/center]
Freddy Fauthoux va revenir aux sources, à Horsarrieu, ou il prendra une licence. Mais il se verrait bien encore au service de l'Elan.
" Pour couper un peu avec ce basket pro qui ne me correspond plus tellement actuellement, j'ai voulu repartir dans mon pays, à Horsarrieu, boucler la boucle. Le club, pour l'instant, ne m'a rien proposé de concret. Donc je ne sais pas. Je ne vais pas cacher que ça m'intéresserait, mais pas n'importe quoi, quelque chose qui me correspondrait bien.... "
(Source : L'EQUIPE)
Allez Freddy, cet après-midi, elle est pour toi !!!!!!
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philip_pau
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- Localisation : Pau
" Les cadets béarnais enlèvent la coupe "
Comme en 99, la coupe de France des cadets prendra ses quartiers, pour un an, en Béarn…Les cadets de l’Union Elan Béarnais–Pau NE ont en effet remporté l’épreuve en dominant l’Hermine de Nantes ce dimanche en tout début d’après midi dans un Bercy où près de 4000 spectateurs avaient déjà pris place.
C’est dans la deuxième moitié du troisième quart temps que les jeunes palois ont commencé à y croire sérieusement. Accrochée jusque là (23-23 au premier quart, 37-35 au repos) la finale pris un tournant lorsque le rebond béarnais se fit souverain sous la houlette de Fernando Raposo et lorsque Thomas Heurtel retrouva son punch offensif. Les jeunes protégés de Mettay creusaient un écart sensible (58-43) et si les jeunes nantais ne lâchaient rien revenant trois fois à huit points, ils s’épuisaient dans cette course poursuite et laissaient les joueurs de l’Union finir les plus forts à l’image de ce superbe halley-hoop entre Heurtel Raposo… 88-74 les cadets béarnais avaient montré la voie à leurs aînés et pouvaient toujours rêvé du double puisque la semaine prochaine, à Aubenas, c’est au titre national qu’ils s’attaqueront.
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
A noter que Fernando Raposo termine MVP de la Finale et voici les images des Cadets avec le trophée du vainqueur de la Coupe de France : http://www.elan-bearnais.fr/cal/0607/ma ... sCoupe.htm
Comme en 99, la coupe de France des cadets prendra ses quartiers, pour un an, en Béarn…Les cadets de l’Union Elan Béarnais–Pau NE ont en effet remporté l’épreuve en dominant l’Hermine de Nantes ce dimanche en tout début d’après midi dans un Bercy où près de 4000 spectateurs avaient déjà pris place.
C’est dans la deuxième moitié du troisième quart temps que les jeunes palois ont commencé à y croire sérieusement. Accrochée jusque là (23-23 au premier quart, 37-35 au repos) la finale pris un tournant lorsque le rebond béarnais se fit souverain sous la houlette de Fernando Raposo et lorsque Thomas Heurtel retrouva son punch offensif. Les jeunes protégés de Mettay creusaient un écart sensible (58-43) et si les jeunes nantais ne lâchaient rien revenant trois fois à huit points, ils s’épuisaient dans cette course poursuite et laissaient les joueurs de l’Union finir les plus forts à l’image de ce superbe halley-hoop entre Heurtel Raposo… 88-74 les cadets béarnais avaient montré la voie à leurs aînés et pouvaient toujours rêvé du double puisque la semaine prochaine, à Aubenas, c’est au titre national qu’ils s’attaqueront.
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A noter que Fernando Raposo termine MVP de la Finale et voici les images des Cadets avec le trophée du vainqueur de la Coupe de France : http://www.elan-bearnais.fr/cal/0607/ma ... sCoupe.htm
et dans seulement quelques minutes, la vidéo réalisée sur ce match...philip_pau a écrit :" Les cadets béarnais enlèvent la coupe "
Comme en 99, la coupe de France des cadets prendra ses quartiers, pour un an, en Béarn…Les cadets de l’Union Elan Béarnais–Pau NE ont en effet remporté l’épreuve en dominant l’Hermine de Nantes ce dimanche en tout début d’après midi dans un Bercy où près de 4000 spectateurs avaient déjà pris place.
C’est dans la deuxième moitié du troisième quart temps que les jeunes palois ont commencé à y croire sérieusement. Accrochée jusque là (23-23 au premier quart, 37-35 au repos) la finale pris un tournant lorsque le rebond béarnais se fit souverain sous la houlette de Fernando Raposo et lorsque Thomas Heurtel retrouva son punch offensif. Les jeunes protégés de Mettay creusaient un écart sensible (58-43) et si les jeunes nantais ne lâchaient rien revenant trois fois à huit points, ils s’épuisaient dans cette course poursuite et laissaient les joueurs de l’Union finir les plus forts à l’image de ce superbe halley-hoop entre Heurtel Raposo… 88-74 les cadets béarnais avaient montré la voie à leurs aînés et pouvaient toujours rêvé du double puisque la semaine prochaine, à Aubenas, c’est au titre national qu’ils s’attaqueront.
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A noter que Fernando Raposo termine MVP de la Finale et voici les images des Cadets avec le trophée du vainqueur de la Coupe de France : http://www.elan-bearnais.fr/cal/0607/ma ... sCoupe.htm
Suivie de la conférence de presse donnée par le coach et le MVP : Fernando Raposo...
Ceci était un message du "prof, ami des stars du basket"
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Strasbourgeois !
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- Localisation : Entre Nice et Strasbourg
Allez, je me mets en route avec mes amis nanterriens.
Bonne chance à vous et que le meilleur gagne !
Si j'en trouve l'occasion (et si les Nanterriens me le permettent ! ), je passerai vous saluer.
Sinon, ça valait quoi, le match féminin ? Je regrette de n'avoir pu y aller. Les deux dernières années, c'était vraiment le plus beau match de la journée, devant la finale ProA. Mais là, le match semble avoir été à sens unique. Vos impressions ?
Bonne chance à vous et que le meilleur gagne !
Si j'en trouve l'occasion (et si les Nanterriens me le permettent !
), je passerai vous saluer.Sinon, ça valait quoi, le match féminin ? Je regrette de n'avoir pu y aller. Les deux dernières années, c'était vraiment le plus beau match de la journée, devant la finale ProA. Mais là, le match semble avoir été à sens unique. Vos impressions ?
A moins de 20 minutes du coup d'envoi voici les effectifs des deux équipes :
NANTERRE
4 SCHMIEDER
5 BADJI
6 DREVO
7 DARNAUZAN
8 LEMA
9 EKANGA EHAWA
11 NDAPTJE
12 BRADFORD
13 PATIEJUNAS
14 BEUNARD
15 TCHILOEMBA
PAU-ORTHEZ
4 FAUTHOUX
5 HARRISSON
6 D'ALMEIDA
7 GREER
9 FERCHAUD
11 MILES
12 RUPERT
13 AJINCA
14 MAHINMI
16 VATY
18 WRIGHT
19 SANDERS
NANTERRE
4 SCHMIEDER
5 BADJI
6 DREVO
7 DARNAUZAN
8 LEMA
9 EKANGA EHAWA
11 NDAPTJE
12 BRADFORD
13 PATIEJUNAS
14 BEUNARD
15 TCHILOEMBA
PAU-ORTHEZ
4 FAUTHOUX
5 HARRISSON
6 D'ALMEIDA
7 GREER
9 FERCHAUD
11 MILES
12 RUPERT
13 AJINCA
14 MAHINMI
16 VATY
18 WRIGHT
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