Entièrement d'accord!tatayet a écrit :Que de posts constructifs et développés!!! T'essayes de battre un record, le plus grand nombre de post dans une journée? Chelseaman est de retour?SIGBASKET a écrit :Je confirme !Nix a écrit :
ouai ça fait 23 points marqués, 27 loupés si je compte bien ... fin perso je trouve ça bien, certes, mais pas extra ... m'enfin je pense que je suis en colère au vu du match, et du coup j'suis ptête un peu trop exigeant ...
Greg
Je suis assez d'accord!ludo a écrit :Mouais ça fait toujours bien de dire dans une interview qu'on s'est vu proposer d'entrainer Vitoria aussi je pense..
Par contre ce que Bergeaud ne dit pas, c'est combien de coaches ont été contactés en meme temps que lui..à mon avis un certain nombre...
Greg
Facile de casser du sucre sur Bergeaud mais je crois que c'est pas le bon endroit, surtout quand ce n'est pas du tout argumenté et gratuit.
Seillant : une réaction (enfin!) pour Le Havre
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Re: Seillant : une réaction (enfin!) pour Le Havre
Du bon son!! http://www.myspace.com/jmfjemenfoutiste
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ProA - Pau-Orthez: repli confirmé, repli historique ?
AFP - 07.05.2007, 16h23
PAU, 7 mai 2007 (AFP) - Pau-Orthez, auquel seul un miracle peut désormais éviter la première saison sans play-off depuis 20 ans, confirme un recul amorcé depuis deux trois ans, et que le virage anglo-saxon pris cette année n'aura su enrayer.
Face à Nanterre (ProB) le 13 mai en finale de Coupe de France, l'Elan peut remporter son premier trophée depuis trois ans: impossible pourtant de parler de consolation, même si un autre des trois objectifs du club, atteindre le Top 16 d'Euroligue, a été atteint cette saison.
Car Pau-Orthez, s'il finit comme c'est vraisemblable hors play-off, aura fait un bond en arrière par rapport à la saison dernière (1er de phase régulière, éliminé en demies) qui avait coûté sa place au coach Didier Gadou.
Il aura reculé aussi par rapport à 2004-05 (6e, éliminé en quarts) et bouclera sa pire campagne depuis 1975-76, quand il concéda 15 défaites (16 cette saison) et finit 8e. Surtout, pour la première fois en 12 ans, le club aux neuf titres nationaux ne sera plus présent en Euroligue en 2007-08, l'année de son centenaire.
Sur les parquets, l'Elan a payé des performances imprévisibles, à l'image d'un investissement irrégulier, alternatif: grief récurrent envers un collectif au fort accent nord-américain -sept étrangers, un record en ProA !-, que le coach Gordon Herbert s'est vu reprocher de sur-solliciter, négligeant son banc.
"Examen de conscience"
"Ce ne sont pas des robots, j'en ai vu certains fatigués rester trop longtemps sur le terrain", pestait récemment le directeur exécutif Pierre Seillant après la 6e défaite à domicile de l'Elan cette saison, contre Cholet (75-77), qui mit l'Elan hors rails.
"On n'a pas joué un bon basket avant et après l'Euroligue", reconnaissait l'entraîneur canadien, arrivé en Béarn avec une réputation d'excellence défensive (à Francfort et Paris), mais qui finit la saison avec une défense quelconque.
"Fatigue mentale, manque d'énergie", invoquait récemment Herbert. Question d'investissement, de culture ? se demande aussi un public qui a senti la +culture club+, l'identité héritée des +guerriers de la Moutète+ (salle historique du club à Orthez jusqu'en 1991-92) s'évanouir chaque année un peu plus. Avec les derniers matches des "régionaux" Frédéric Fauthoux, venant après l'été dernier la retraite de Thierry Gadou, le limogeage de son frère Didier.
"Ce n'est pas encore l'heure des règlements de compte, mais plutôt de l'examen de conscience", pose Fauthoux. "Pour tout le monde, pas que le coach. Tous les joueurs doivent se regarder en face".
Désaffection
Même si aucune annonce n'interviendra avant Bercy, on peut s'inquiéter pour l'avenir de l'Elan, plus gros budget de ProA (6,2 millions d'euros) mais chaque année plus distancé par les grands d'Europe, et qui justement avait assumé le pari du tout +étranger+ pour se relancer.
Malgré l'année de contrat qui lui reste, le sort de Herbert est incertain. Des moyens revus à la baisse empêcheront en outre le club de conserver la bonne pioche de l'année, le pivot Michael Wright, ou le meneur Aaron Miles à la bonne fin de saison, tandis que Ian Mahinmi est en partance pour San Antonio. Seuls l'arrière Ricardo Greer, l'ailier Cédric Ferchaud et le meneur Xane d'Almeida, sous contrat, devraient rester, avec le prometteur intérieur Ludovic Vaty.
La FIBA Cup, enfin, sera loin de permettre à Pau-Orthez la reconquête d'un public dont Pierre Seillant s'inquiétait cette année de la désaffection, se demandant si la tendance ne conduirait pas un jour à "quitter le haut niveau". Propos prémonitoires ?
AFP.
Source LNB.

AFP - 07.05.2007, 16h23
PAU, 7 mai 2007 (AFP) - Pau-Orthez, auquel seul un miracle peut désormais éviter la première saison sans play-off depuis 20 ans, confirme un recul amorcé depuis deux trois ans, et que le virage anglo-saxon pris cette année n'aura su enrayer.
Face à Nanterre (ProB) le 13 mai en finale de Coupe de France, l'Elan peut remporter son premier trophée depuis trois ans: impossible pourtant de parler de consolation, même si un autre des trois objectifs du club, atteindre le Top 16 d'Euroligue, a été atteint cette saison.
Car Pau-Orthez, s'il finit comme c'est vraisemblable hors play-off, aura fait un bond en arrière par rapport à la saison dernière (1er de phase régulière, éliminé en demies) qui avait coûté sa place au coach Didier Gadou.
Il aura reculé aussi par rapport à 2004-05 (6e, éliminé en quarts) et bouclera sa pire campagne depuis 1975-76, quand il concéda 15 défaites (16 cette saison) et finit 8e. Surtout, pour la première fois en 12 ans, le club aux neuf titres nationaux ne sera plus présent en Euroligue en 2007-08, l'année de son centenaire.
Sur les parquets, l'Elan a payé des performances imprévisibles, à l'image d'un investissement irrégulier, alternatif: grief récurrent envers un collectif au fort accent nord-américain -sept étrangers, un record en ProA !-, que le coach Gordon Herbert s'est vu reprocher de sur-solliciter, négligeant son banc.
"Examen de conscience"
"Ce ne sont pas des robots, j'en ai vu certains fatigués rester trop longtemps sur le terrain", pestait récemment le directeur exécutif Pierre Seillant après la 6e défaite à domicile de l'Elan cette saison, contre Cholet (75-77), qui mit l'Elan hors rails.
"On n'a pas joué un bon basket avant et après l'Euroligue", reconnaissait l'entraîneur canadien, arrivé en Béarn avec une réputation d'excellence défensive (à Francfort et Paris), mais qui finit la saison avec une défense quelconque.
"Fatigue mentale, manque d'énergie", invoquait récemment Herbert. Question d'investissement, de culture ? se demande aussi un public qui a senti la +culture club+, l'identité héritée des +guerriers de la Moutète+ (salle historique du club à Orthez jusqu'en 1991-92) s'évanouir chaque année un peu plus. Avec les derniers matches des "régionaux" Frédéric Fauthoux, venant après l'été dernier la retraite de Thierry Gadou, le limogeage de son frère Didier.
"Ce n'est pas encore l'heure des règlements de compte, mais plutôt de l'examen de conscience", pose Fauthoux. "Pour tout le monde, pas que le coach. Tous les joueurs doivent se regarder en face".
Désaffection
Même si aucune annonce n'interviendra avant Bercy, on peut s'inquiéter pour l'avenir de l'Elan, plus gros budget de ProA (6,2 millions d'euros) mais chaque année plus distancé par les grands d'Europe, et qui justement avait assumé le pari du tout +étranger+ pour se relancer.
Malgré l'année de contrat qui lui reste, le sort de Herbert est incertain. Des moyens revus à la baisse empêcheront en outre le club de conserver la bonne pioche de l'année, le pivot Michael Wright, ou le meneur Aaron Miles à la bonne fin de saison, tandis que Ian Mahinmi est en partance pour San Antonio. Seuls l'arrière Ricardo Greer, l'ailier Cédric Ferchaud et le meneur Xane d'Almeida, sous contrat, devraient rester, avec le prometteur intérieur Ludovic Vaty.
La FIBA Cup, enfin, sera loin de permettre à Pau-Orthez la reconquête d'un public dont Pierre Seillant s'inquiétait cette année de la désaffection, se demandant si la tendance ne conduirait pas un jour à "quitter le haut niveau". Propos prémonitoires ?
AFP.
Source LNB.



