(source: http://www.elan-bearnais.fr/)Tau Vitoria : la bonne affaire !
Dans un championnat d’Espagne marqué ce week-end par la chute de trois des quatre leaders, le Tau Vitoria, le seul à être sorti indemne, a apprécié à sa juste valeur le succès obtenu face au Pamesa de Valencia (71-65) devant ses 9800 spectateurs.
C’est ainsi que Natcho Lezkano, l’assistant qui supplée actuellement à l’absence de Vladimir Pérasovic, lequel se remet progressivement d’une angine de poitrine, déclarait qu’au « retour de Tel Aviv, la performance n’était pas négligeable… ».
Les béarnais se souviendront de l’avertissement eux qui au retour d’Israel, accueilleront l’Asvel et qui comme Vitoria doivent s’attendre à « un voyage très long et très fatiguant… » En attendant, le TAU réussit donc la bonne affaire de la Liga puisqu’il revient à 1 point du Réal battu à Malaga et se détache de ses poursuivants que ce soient la Joventud ou Gérone, ce dernier battu chez lui par Valladolid, la lanterne rouge…
C’est donc en dauphin désormais bien installé du Réal Madrid que les camarades de Luis Scola viendront à Pau ce jeudi en … avion privé ! Une décision prise en fonction du match de championnat programmé dès le samedi à Grenade….
Donc pour battre Valence ce dimanche le Tau a du puiser dans ses ressources et surtout s’appuyer sur son tandem star Scola- Rakocevic (36 points à eux deux) puisque menés au repos (31-32), encore menés à la demi-heure (51-53) les basques n’étaient toujours pas à l’abri lors du money-time (60-60, 36ème). C’est alors que Tiago Splitter sur la ligne des lancers scora trois fois (65-62) et obligera Valence à se découvrir…
Mais l’homme du match reste Luis Scola qui devrait comme Ian Mahinmi se retrouver sous le maillot des Spurs la saison prochaine… Meilleur marqueur du match il en est aussi le meilleur rebondeur (7) et comme il est allé 13 fois sur la ligne en provoquant 12 fautes, il compile, 5 assists en prime, une évaluation à 35… Ce qui en fait, une fois de plus le MVP de la journée espagnole…
C’est dire que l’Elan connaît son ennemi numéro 1 mais il n’est pas le premier et l’on compte sur les doigts ceux qui ont réussi à stopper l’argentin… Il est vrai qu’il évolue dans un ensemble d’une richesse d’effectif à faire peur… C’est simple dimanche face à Valence
Lezkano s’est volontairement privé de Telétovic et n’a pas non plus fait appel à deux des trois seuls « nationaux » du roster!
Les marqueurs du Tau :
Scola 22, Rakocevic 14, House 1, Peker 8, Erdogan 11, Splitter 10, Vidal 5, Arslan.
XXX
Le Maccabi de Tel Aviv s’est vengé au dépens de Iron Ashklon de son échec face à Vitoria. Le dixième succès du Maccabi (sur 10 matches de championnat) est aussi le plus large : 107-73 !
La Virtus Rome a par contre eu du mal à digérer le voyage à Udine ou si Chatman-Hawkins ont fait aussi bien que le tandem Williams –Allen (28 points) la différence s’est faite dans les pourcentages…. Et comme Rome à shooté à 22% (7 sur 31) derrière l’arc contre 49% à son adversaire (12 sur 25) Udine a fini par l’emporter (78-74)l
le 19 / 2 / 2007
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Profitez-en bien, tous autant que vous êtes !!!KINDER64 a écrit :Je te conseille de réserver par téléphone à l'avance car je sens que ça va être pleinChristophe 31 a écrit :Est ce que vous savez ou en est la location pour ce match ?
J'hésite a les reserver par telephone en cas de guichets fermés
Après le CSKA, vous allez voir une des plus belles équipes européeennes de cette année

Bon, évidemment, c'est pas une raison pour que l'Elan regarde jouer Scola en lui demandant des autographes. J'espère que Ricardo se souviendra qu'il a battu Vitoria l'an passé.
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Au match aller, le MSB échoue à 3 points, 76-79. Il me semble que Bokolo avait la balle pour remporter ce match. La gestion de fin de match fut certes douteuse de la part du MSB, mais nous sommes venus tomber à une possession de ce grand club.visiteur a écrit :J'ai eu une vision très différente du match aller...vito a écrit :Le MSB avait hyper bien tenu tete à Vitoria à Antares, la victoire espagnole s'étant jouée ds la derniere minute. Par contre en Espagne...
Le match retour, on n'en parle pas hein

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Sans parler du match retour (...vito a écrit : Au match aller, le MSB échoue à 3 points, 76-79. Il me semble que Bokolo avait la balle pour remporter ce match. La gestion de fin de match fut certes douteuse de la part du MSB, mais nous sommes venus tomber à une possession de ce grand club.
Le match retour, on n'en parle pas hein


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(source: http://www.elan-bearnais.fr/)L'Elan balle... au pied
C’est par une partie de… foot en salle que les joueurs de l’Elan ont terminé ce mercredi midi leur cycle de préparation du match contre Vitoria… Le staff souhaitait ainsi dédramatiser l’évènement et faire retomber la pression qui monte logiquement, histoire aussi de récupérer après la dure journée de la veille où, par ateliers matinaux, puis collectivement le soir, les séances d’entraînement avaient été plutôt rondement menées.
La rencontre terminée, les joueurs et leur staff ont participé à un déjeuner en commun avant de se donner rendez-vous ce jeudi matin pour une dernière mise au point collective et une séance de shooting.
La délégation du Tau de Vitoria est elle aussi arrivée en fin de matinée en Béarn après un vol de 40 minutes, à bord d’un avion privé. Elle a pris ses quartiers dans un hôtel du centre ville et s’entraînait, à huis clos, en soirée. Ce jeudi matin, elle succèdera à l’Elan sur le plancher du Palais des sports pour une dernière séance de travail.
le 21 / 2 / 2007
Bref, de quoi faire plaisir à un certain philip, même si je sais, qu'il n'est plus là. Un bon petit foot. Allez gordon, faut leur faire faire du hockey, et là, c'est sur, que philip sera heureux comme tout !

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(source : http://www.elan-bearnais.fr/)Le challenge est énorme
Cédric Ferchaud n’est pas spécialement inquiet quant à la faculté des siens à hausser leur niveau de jeu dès lors que l’adversaire annoncé prend de la dimension… « Le plus souvent nous avons répondu au défi proposé et parfois aux plus difficiles » note ainsi le natif des Mauges très en vue au niveau de l’adresse samedi dernier contre Bourg.
La plus belle des références, venant corroborer les propos de Ferchaud, s’appelle bien évidemment Moscou et la perf de l’année qui s’y rattache…
Pour sa part, Gordon Herbert, le coach des béarnais, évoquant « le match le plus terrible joué à Rome » parle de la « volonté des siens de rebondir devant leur public » et de la « nécessité absolue de remettre en lumière les vertus d’une équipe.»
Le nom de l’adversaire n’a pas été prononcé mais l’ombre du Tau Vitoria se devine aisément…
Et il complique quelque peu les choses… Aussi bien dans la bouche de Ferchaud que de celle d’Herbert. « Le problème c’est que nous sommes dans un championnat à 4 et que tout va aller très vite, c’est aussi que dans la catégorie des poids lourd de la compétition, Vitoria figure parmi ce qui se fait de mieux », ajoute le joueur. « C’est une très grande équipe que nous recevons, et elle ne nous offre qu’une alternative, produire un très gros effort des deux côtés du terrain, » renchérit le coach.
Le décor est cette fois bien planté : ce jeudi soir (20h45) dans son palais, l’Elan se lance à l’assaut d’un énorme challenge !
Il défie un voisin, avec lequel les relations ont toujours été au beau fixe, il défie un ami avec lequel il croise régulièrement le fer lors des pré-saisons (3 matches amicaux encore cette année et 2-1 pour Vitoria) mais en l’occurrence, il défie surtout un grand d’Espagne, une formation construite pour atteindre son troisième Final Four consécutif, après ceux de Moscou et de Prague, ce qui est un gage d’installation durable au plus haut niveau de la pyramide internationale.
Et c’est un Tau déjà bien lancé vers la prochaine étape des quarts de finale qui arrive en Béarn pour confirmer son premier exploit sur le terrain du Maccabi de Tel Aviv, il y a huit jours… Un Tau si bien huilé qu’il n’a pas semblé le moins du monde perturbé par la perte de son coach la veille du voyage, le malheureux Velimir Pérasovic, hospitalisé suite à une angine de poitrine et aujourd’hui encore en convalescence. Un Tau si soucieux de mener à bien son double objectif national et européen qu’il effectue en ce milieu de journée le court déplacement à bord d’un avion privé…
Tout comme avec le CSKA de Moscou et le FC Barcelone, l’Elan, par la grâce de son accession au Top 16 cette fois, est invité, une fois encore, à tutoyer les étoiles. Les bousculer ? C’est là toute la question.
Royalement sécurisée par un axe Rakocevic- Scola, qui pèse depuis le début de la compétition 36,6 points par match, la machine basque ne compte pas les individualités qui peuvent, de l’extérieur (Prigioni, House, Erdogan) comme de l’intérieur (Splitter, Peker) ajouter au confort d’une formation sans véritable faiblesse…
Le danger est partout si permanent que l’Elan n’a pas trente six arguments sur sa palette. Celle qui consiste à très sérieusement élever son niveau de jeu selon la prédiction de Ferchaud est la première, celle qui consiste à ne faire qu’un, selon Herbert, est la seconde. Et si le cocktail des deux parvient à introduire un grain de sable dans la machine basque, alors le match pourrait atteindre le sommet tant attendu par un palais des Sports plus que copieusement garni…
Ils ne sont pas nombreux ceux qui ont touché au Graal, deux tout juste, mais il faut se souvenir que le Climamio Bologne qui n’était pas spécialement l’un de ceux pré-disposés à la perf, la signa, se souvenir que le Mans n’en fut pas si loin à Antarès (76-79).
Se souvenir surtout que le CSKA Moscou, roi d’Europe en titre, n’a trouvé qu’un seul maître sur sa route depuis le 25 octobre dernier et que ce maître reste l’Elan…
Et rien que ce souvenir là , il permet d’y croire…
le 22 / 2 / 2007
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J'en parlais avec un collègue de travail. L'élan est capable de tout. Du pire comme du meilleur. On peut aussi bien battre le champion d'Europe que perdre contre une nationale 1 (j'exagère). Alors pourquoi battre Vitoria. Ca va être dur, encore plus dur que Moscou je pense. A l'intérieur, Scola, Peker et Splitter, c'est puissant.
- Karamasof
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Surtout que les équipes ne viennent plus pour "faire le métier", mais pour gagner. Elles n'ont plus de pitier dans le top 16. C'est une compétition courte, ou tout peut arriver. C'est pour ça que les Moscou, Tau et autres ne prennent plus les matchs à la légère.KINDER64 a écrit :J'en parlais avec un collègue de travail. L'élan est capable de tout. Du pire comme du meilleur. On peut aussi bien battre le champion d'Europe que perdre contre une nationale 1 (j'exagère). Alors pourquoi battre Vitoria. Ca va être dur, encore plus dur que Moscou je pense. A l'intérieur, Scola, Peker et Splitter, c'est puissant.
Il est clair que ça va être dur, mais si l'élan oblige le Tau à aller se chercher la victoire, et dans la douleur, j'en serais que fier. ALLER L'ELAN !!!


