[center]LA REPUBLIQUE DES PYRENEES[/center]
" L'Elan risque un coup de froid "
Vainqueurs à l'aller, les Palois vont s'exposer aux foudres des champions d'Europe, revanchards et déjà qualifiés.
Il ne s'agit pas de la destination rêvée afin d'attaquer 2007 d'un pied léger.
Mais, pour Pau-Orthez, l'essentiel de cette semaine de reprise se situe plus sûrement du côté de la Meilleraie ou, samedi prochain, les Palois tenteront de redresser un peu leurs affaires nationales contre Cholet.
En attendant, l'Elan n'en a pas moins l'obligation d'affronter demain les rigueurs de l'hiver moscovite dans l'antre du CSKA, déjà qualifié pour le TOP 16 grâce à ses huit succès sans avoir pour autant digéré son seul échec de la saison européenne. C'était le mercredi 8 novembre dernier, date marquée à jamais par le rententissant exploit (73-67) des hommes de Gordon Herbert.
" Copieux mois de janvier "
Pour cet avant-dernier voyage de la première phase, que les Béarnais boucleront dans cinq semaines au terme d'un copieux mois de janvier (neuf matches toutes compétitions confondues), Pau-Orthez ne compte toujours pas sur l'ensemble de ses forces vives. Ian Mahinmi et Fred Fauthoux sont certes sortis de l'infirmerie.
Mais l'Elan, qui ne s'est accordé que de très courtes vacances, laisse encore Thierry Rupert (cuisse) à Pau.
Demain à Moscou, pour le 11e duel de son histoire avec le CSKA au cours de la décennie écoulée, il retrouvera une formation russe bien en ligne.
Quasi-intouchable à l'intérieur de ses frontières - seul Kasan l'a fait chuter - elle s'est toujours imposée sur un écart minimum de 20 points lors des trois précédentes venues du club palois.
Le scénario ne devrait être guère différent mercredi même si la précédente journée d'Euroligue a vu Moscou, en panne totale d'adresse extérieure, courir pendant 37 minutes derrière le score, à Salonique, avant de s'imposer dans la douleur (65-62) grâce au grand Savrasenko.
(Source : La République des Pyrénées)
[10e J d'Euroligue] CSKA MOSCOU / EB PAU-ORTHEZ
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philip_pau
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didier labrit-badie
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voilà the funny orchestra dans les steppes russes mais là, attention, en face c'est les choeurs de l'armée rouge: c'est fort, c'est puissant, c'est sauvage.
Et c'est pas 3 trompettes et 2 clarinettes qui vont les arrêter. Va falloir sortir la grosse caisse et tambouriner comme des malades pour essayer de tenir la comparaison. Et en grosse caisse le retour de Ian fait du bien ainsi que le chef d'orchestre Fauthoux.
Et c'est pas 3 trompettes et 2 clarinettes qui vont les arrêter. Va falloir sortir la grosse caisse et tambouriner comme des malades pour essayer de tenir la comparaison. Et en grosse caisse le retour de Ian fait du bien ainsi que le chef d'orchestre Fauthoux.
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Karim
Moi je dis qu'on y va pas pour se "tirer les flutes" ! (dédicace a celui qui saura...)
On a rien a perdre! (sauf des joueurs sur blessure donc calmos quand meme)
il faut jouer, tenter, mettre un peu de folie tout en essayer de rendre une feuille propore a l'arrivée, si possible avec un average honnete.
Aprés, ce serait franchement un gros coup de massue sur la casquette moscovite de faire mieux.
Mais bon, pourquoi pas?
on est des pros comme eux, dans la meme competition et on les a deja battus donc...
JOUONS !
On a rien a perdre! (sauf des joueurs sur blessure donc calmos quand meme)
il faut jouer, tenter, mettre un peu de folie tout en essayer de rendre une feuille propore a l'arrivée, si possible avec un average honnete.
Aprés, ce serait franchement un gros coup de massue sur la casquette moscovite de faire mieux.
Mais bon, pourquoi pas?
on est des pros comme eux, dans la meme competition et on les a deja battus donc...
JOUONS !
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awaremann
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pas de pression ca c sur, et l'occasion pour les joueurs de se mesurer encore au plus haut niveau européen
j'espere un beau match, tout en craignant un match comme celui qu'on a eu à Barcelone
enfin on va bien voir, l'absence de pression des 2 cotés devrait permettre d'avoir un beau match quand meme
j'espere un beau match, tout en craignant un match comme celui qu'on a eu à Barcelone
enfin on va bien voir, l'absence de pression des 2 cotés devrait permettre d'avoir un beau match quand meme
[img]http://img484.imageshack.us/img484/3199/signdraganmg0.jpg[/img]
[url]http://s3.metaldamage.fr/c.php?uid=122326[/url]
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philip_pau
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" Moscou, pour bien lancer l'année "
Bien sûr, comme le dit si joliment Fred Fauthoux, « tant qu’un match reste à jouer vous avez toujours une chance de le gagner, aussi maigre soit-elle… »! Et puis il y a le souvenir du 8 novembre 2006, date désormais passée à la postérité de l’Elan et ayant intégrée le DVD de fin d’année de l’hebdomadaire « Basket news ». Ce jour là déjà les chances de l’Elan de tomber les champions d’Europe en exercice étaient aussi épaisses que le chat d’une aiguille de couturière… On sait ce qu’il en advint, sur la lancée d’un premier exploit en terre stanbouliote, l’Elan comblait d’aise un palais des sports qui allait le rappeler, comme au théâtre, et qui était alors loin de se douter qu’il serait immédiatement après, soumis au régime de la douche écossaise, contraint de souffler le chaud et le froid.
Malgré un gros coup de bambou, à cheval sur les second et troisième quart temps, qui le vit passer de plus 6 (43-37) à moins 8 (43-51) sous l’effet d’un 0-14, fruit de la puissance russe (Andersen) autant que des coups de patte de Papaloukas, l’Elan trouva des ressources insoupçonnées pour clouer Moscou au pilori de sa défense… Le 19-8 des dix dernières minutes scella la mise à feu des pétards qui s’allumèrent ce soir là dans le ciel du Béarn et qui se chargèrent d’annoncer la nouvelle…
Le CSKA Moscou roi de Russie et d’Europe venait de subir le premier échec de sa saison (73-67) !
Donc le capitaine de l’Elan, dont c’est le retour à la compétition n’a pas tort, tant que rien n’est joué tout est effectivement possible. Reste qu’il connaît trop cette salle du CSKA et ses illustrations à forte coloration militaire pour ignorer que le visiteur a ici, perdu beaucoup plus de bataille qu’il n’en n’a gagné, beaucoup plus même… Et que pour surprendre une deuxième fois, le CSKA il va falloir se lever de très bonne heure… Quand bien même peut-on raisonnablement penser que le challenge des moscovites va au delà d’une simple revanche au dépens de l’Elan Béarnais, le standing ses richissimes héritiers du club de l’armée s’accommode toujours très mal de l’ échec… Aucun des précédents visiteurs des lieux n’a donc réussi ce tour de force, qu’il soit européen ou plus simplement russe, et s’en sortir avec les honneurs constitue déjà un exercice périlleux, n’est-ce pas les Napolitains qui avaient payé la note (0-17) dès la dixième minute de jeu…
Pour l’Elan, de surcroît, la situation européenne est en ce début d’année si bien engagée qu’il peut même s’offrir le luxe de choisir ses échéances et sa date d’accession au top 16… Contre Salonique ou Naples à Pau, ce sera, on en prend les paris, tout de même plus aisé que dans l’antre du CSKA. Il ne jouerait donc que pour son honneur chez le champion russe, s’il n’était un compétiteur dans l’âme, « on ne joue pas avec l’intention de perdre, et jamais je ne me dis que quelqu’un est plus fort que moi avant de l‘avoir défié » renchérit Ricardo Greer en écho à son capitaine, et s’il n’avait en ce début d’année de grosses responsabilités à assumer…
Une fois de plus en Euroligue, c’est un Elan séduisant qui a quitté la scène de l’an 2006 face à Fenerbahce Ulker, mais c’est le même Elan qui, trois jours plutôt, avait compliqué un peu plus encore sa situation nationale…D’ou ce vœu, appelé de toutes ses forces et plus encore par Pierre Seillant, à l’aube d’un nouvel exercice, de voir l’Elan un peu plus cohérent, un peu plus constant…
Et si ça ne passe pas forcément par un succès à Moscou, ça passe assurément par la mise en place d’un système qui ne soit pas balayé tous les quatre matins… Le dernier quart face aux champions d’Europe, restant le modèle défensif dont les béarnais auront bon goût de s’inspirer… Car si ce voyage à Moscou leur garantit de ne rien hypothéquer, s’il se présente comme une répétition de luxe, c’est bien le dernier qu’ils effectueront de la sorte…
Pas plus tard que samedi à Cholet, il en ira d’une toute autre musique…
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
Bien sûr, comme le dit si joliment Fred Fauthoux, « tant qu’un match reste à jouer vous avez toujours une chance de le gagner, aussi maigre soit-elle… »! Et puis il y a le souvenir du 8 novembre 2006, date désormais passée à la postérité de l’Elan et ayant intégrée le DVD de fin d’année de l’hebdomadaire « Basket news ». Ce jour là déjà les chances de l’Elan de tomber les champions d’Europe en exercice étaient aussi épaisses que le chat d’une aiguille de couturière… On sait ce qu’il en advint, sur la lancée d’un premier exploit en terre stanbouliote, l’Elan comblait d’aise un palais des sports qui allait le rappeler, comme au théâtre, et qui était alors loin de se douter qu’il serait immédiatement après, soumis au régime de la douche écossaise, contraint de souffler le chaud et le froid.
Malgré un gros coup de bambou, à cheval sur les second et troisième quart temps, qui le vit passer de plus 6 (43-37) à moins 8 (43-51) sous l’effet d’un 0-14, fruit de la puissance russe (Andersen) autant que des coups de patte de Papaloukas, l’Elan trouva des ressources insoupçonnées pour clouer Moscou au pilori de sa défense… Le 19-8 des dix dernières minutes scella la mise à feu des pétards qui s’allumèrent ce soir là dans le ciel du Béarn et qui se chargèrent d’annoncer la nouvelle…
Le CSKA Moscou roi de Russie et d’Europe venait de subir le premier échec de sa saison (73-67) !
Donc le capitaine de l’Elan, dont c’est le retour à la compétition n’a pas tort, tant que rien n’est joué tout est effectivement possible. Reste qu’il connaît trop cette salle du CSKA et ses illustrations à forte coloration militaire pour ignorer que le visiteur a ici, perdu beaucoup plus de bataille qu’il n’en n’a gagné, beaucoup plus même… Et que pour surprendre une deuxième fois, le CSKA il va falloir se lever de très bonne heure… Quand bien même peut-on raisonnablement penser que le challenge des moscovites va au delà d’une simple revanche au dépens de l’Elan Béarnais, le standing ses richissimes héritiers du club de l’armée s’accommode toujours très mal de l’ échec… Aucun des précédents visiteurs des lieux n’a donc réussi ce tour de force, qu’il soit européen ou plus simplement russe, et s’en sortir avec les honneurs constitue déjà un exercice périlleux, n’est-ce pas les Napolitains qui avaient payé la note (0-17) dès la dixième minute de jeu…
Pour l’Elan, de surcroît, la situation européenne est en ce début d’année si bien engagée qu’il peut même s’offrir le luxe de choisir ses échéances et sa date d’accession au top 16… Contre Salonique ou Naples à Pau, ce sera, on en prend les paris, tout de même plus aisé que dans l’antre du CSKA. Il ne jouerait donc que pour son honneur chez le champion russe, s’il n’était un compétiteur dans l’âme, « on ne joue pas avec l’intention de perdre, et jamais je ne me dis que quelqu’un est plus fort que moi avant de l‘avoir défié » renchérit Ricardo Greer en écho à son capitaine, et s’il n’avait en ce début d’année de grosses responsabilités à assumer…
Une fois de plus en Euroligue, c’est un Elan séduisant qui a quitté la scène de l’an 2006 face à Fenerbahce Ulker, mais c’est le même Elan qui, trois jours plutôt, avait compliqué un peu plus encore sa situation nationale…D’ou ce vœu, appelé de toutes ses forces et plus encore par Pierre Seillant, à l’aube d’un nouvel exercice, de voir l’Elan un peu plus cohérent, un peu plus constant…
Et si ça ne passe pas forcément par un succès à Moscou, ça passe assurément par la mise en place d’un système qui ne soit pas balayé tous les quatre matins… Le dernier quart face aux champions d’Europe, restant le modèle défensif dont les béarnais auront bon goût de s’inspirer… Car si ce voyage à Moscou leur garantit de ne rien hypothéquer, s’il se présente comme une répétition de luxe, c’est bien le dernier qu’ils effectueront de la sorte…
Pas plus tard que samedi à Cholet, il en ira d’une toute autre musique…
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
« La réponse est en nous »
:Propos recueillis par Marc Duthu
EUROLIGUE (10e JOURNEE)
« Sud Ouest ». Vous avez disputé le All Star Game français durant les fêtes et deux jours après le Nouvel An, vous voilà déjà de retour sur les parquets. Comment vivez-vous cela ?
Ricardo Greer. C'est difficile, mais cela fait partie de notre métier et je n'ai pas envie de me plaindre car j'aime ce que je fais. C'est la vie des sportifs de haut niveau. Nous avons malgré tout profité de cinq jours de vacances. J'ai pu fêter Noël en famille, dans la maison que je possède à Orlando. J'étais entouré de ma grande soeur, mes tantes, mes neveux et nièces. Ca fait du bien de se retrouver parmi les siens. Pour moi, la famille est très importante. Passer ces quelques jours loin du basket, des entraînements, des voyages et des matchs qui emplissent habituellement notre quotidien m'a fait énormément de bien. Cela permet de recharger les accus.
Il manque une victoire à l'Elan pour valider quasiment de façon certaine son billet pour le Top 16. Etes-vous capables de la ramener de Moscou ?
Oui, même s'il est évident que ce sera très dur. On a battu Moscou une fois déjà (ndlr : 73-67 au match aller à Pau) et on peut le refaire si on montre la même intelligence dans le jeu. Bien sûr, le CSKA c'est le champion en titre, une grande équipe avec beaucoup de talents, mais on a tous envie de montrer que notre victoire contre eux, cet automne, n'était pas le fruit de la chance.
Le CSKA Moscou est toujours premier de son groupe, déjà qualifié, mais semble moins dominateur que ces dernières saisons. Pourquoi ?
Peut-être parce que les autres équipes ont progressé. Je pense que le CSKA est aussi fort qu'avant mais que l'opposition s'est renforcée. Le niveau général s'élève saison après saison. Et puis, contre le champion en titre, tout le monde joue le match de sa vie. On souffre du même phénomène en France où l'Elan est l'équipe à battre, une référence face à laquelle les autres équipes s'appliquent à montrer le meilleur de leur basket. En tous cas, je ne crois pas qu'ils aient moins faim depuis le sacre de Prague. Ettore Messina est un grand coach et il saura encore conduire cette équipe vers les sommets.
L'Elan n'est plus très loin du Top 16. Qu'est-ce que cela représenterait ? Un accomplissement ou le point de départ d'une nouvelle aventure ?
Beaucoup d'équipes rêvent de jouer le Top 16 de l'Euroligue, alors je pense qu'on serait en droit d'être heureux et fiers pour le club et pour la ville. Maintenant, si on joue le même basket que lors de notre dernier match contre Fenerbahce Istanbul (ndlr : victoire 89-67, le 21 décembre), je pense que peu d'équipes seront capables de venir gagner au Palais des sports. Si on conserve cet appétit, cette intensité, cette intelligence dans le jeu, tout peut arriver.
La question qui se pose pour 2007, c'est surtout de savoir si vous allez enfin parvenir à redresser la barre en championnat de France ?
Je persiste à penser qu'on a de grandes, grandes, grandes chances d'être champions de France. Il reste 19 matchs de saison régulière et c'est assez pour nous permettre de rattraper notre mauvaise entame. Il faut changer un peu notre jeu, mieux nous adapter à l'arbitrage français qui laisse faire moins de choses, faire preuve de davantage de finesse et de patience.
Quand on voit notre équipe sur le papier, quand on voit le basket que nous produisons en Euroligue, ce n'est pas possible que l'on tombe aussi bas en championnat. On est treizièmes au classement, mais je sais que nos adversaires continuent de nous craindre. Ils savent que l'on redeviendra difficiles à battre si nous réussissons à conserver cette intensité, cette envie que l'on affiche en Euroligue. On en a discuté dans le vestiaire ces derniers jours. On sait que c'est possible, mais il faut tous le vouloir ardemment. La réponse est en nous.
(Source :http://www.sudouest.com/030107/une.asp? ... a82183.xml)
Ben il est optimiste le Ricardo en ce début d'année (au fait bonne année a tous)
vivement le premier match de championnat de france qu'on voit si toutes ces bonnes intentions seront suivies d'effet.
:Propos recueillis par Marc Duthu
EUROLIGUE (10e JOURNEE)
« Sud Ouest ». Vous avez disputé le All Star Game français durant les fêtes et deux jours après le Nouvel An, vous voilà déjà de retour sur les parquets. Comment vivez-vous cela ?
Ricardo Greer. C'est difficile, mais cela fait partie de notre métier et je n'ai pas envie de me plaindre car j'aime ce que je fais. C'est la vie des sportifs de haut niveau. Nous avons malgré tout profité de cinq jours de vacances. J'ai pu fêter Noël en famille, dans la maison que je possède à Orlando. J'étais entouré de ma grande soeur, mes tantes, mes neveux et nièces. Ca fait du bien de se retrouver parmi les siens. Pour moi, la famille est très importante. Passer ces quelques jours loin du basket, des entraînements, des voyages et des matchs qui emplissent habituellement notre quotidien m'a fait énormément de bien. Cela permet de recharger les accus.
Il manque une victoire à l'Elan pour valider quasiment de façon certaine son billet pour le Top 16. Etes-vous capables de la ramener de Moscou ?
Oui, même s'il est évident que ce sera très dur. On a battu Moscou une fois déjà (ndlr : 73-67 au match aller à Pau) et on peut le refaire si on montre la même intelligence dans le jeu. Bien sûr, le CSKA c'est le champion en titre, une grande équipe avec beaucoup de talents, mais on a tous envie de montrer que notre victoire contre eux, cet automne, n'était pas le fruit de la chance.
Le CSKA Moscou est toujours premier de son groupe, déjà qualifié, mais semble moins dominateur que ces dernières saisons. Pourquoi ?
Peut-être parce que les autres équipes ont progressé. Je pense que le CSKA est aussi fort qu'avant mais que l'opposition s'est renforcée. Le niveau général s'élève saison après saison. Et puis, contre le champion en titre, tout le monde joue le match de sa vie. On souffre du même phénomène en France où l'Elan est l'équipe à battre, une référence face à laquelle les autres équipes s'appliquent à montrer le meilleur de leur basket. En tous cas, je ne crois pas qu'ils aient moins faim depuis le sacre de Prague. Ettore Messina est un grand coach et il saura encore conduire cette équipe vers les sommets.
L'Elan n'est plus très loin du Top 16. Qu'est-ce que cela représenterait ? Un accomplissement ou le point de départ d'une nouvelle aventure ?
Beaucoup d'équipes rêvent de jouer le Top 16 de l'Euroligue, alors je pense qu'on serait en droit d'être heureux et fiers pour le club et pour la ville. Maintenant, si on joue le même basket que lors de notre dernier match contre Fenerbahce Istanbul (ndlr : victoire 89-67, le 21 décembre), je pense que peu d'équipes seront capables de venir gagner au Palais des sports. Si on conserve cet appétit, cette intensité, cette intelligence dans le jeu, tout peut arriver.
La question qui se pose pour 2007, c'est surtout de savoir si vous allez enfin parvenir à redresser la barre en championnat de France ?
Je persiste à penser qu'on a de grandes, grandes, grandes chances d'être champions de France. Il reste 19 matchs de saison régulière et c'est assez pour nous permettre de rattraper notre mauvaise entame. Il faut changer un peu notre jeu, mieux nous adapter à l'arbitrage français qui laisse faire moins de choses, faire preuve de davantage de finesse et de patience.
Quand on voit notre équipe sur le papier, quand on voit le basket que nous produisons en Euroligue, ce n'est pas possible que l'on tombe aussi bas en championnat. On est treizièmes au classement, mais je sais que nos adversaires continuent de nous craindre. Ils savent que l'on redeviendra difficiles à battre si nous réussissons à conserver cette intensité, cette envie que l'on affiche en Euroligue. On en a discuté dans le vestiaire ces derniers jours. On sait que c'est possible, mais il faut tous le vouloir ardemment. La réponse est en nous.
(Source :http://www.sudouest.com/030107/une.asp? ... a82183.xml)
Ben il est optimiste le Ricardo en ce début d'année (au fait bonne année a tous)
vivement le premier match de championnat de france qu'on voit si toutes ces bonnes intentions seront suivies d'effet.
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the answer64
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Comment ne pas y croire en voyant le parcours de Pau en EL et je vais me repeter mais c'est a la fin de la saison ou il va falloir que l'équipe soit au maximum de ses possibilitées.KINDER64 a écrit :Ferchaud m'a dit aussi qu'il la sentait bien cette fin de saison
Moi aussi j'y crois. On a tout pour gagner.
[img]http://img207.imageshack.us/img207/294/raposoev9.jpg[/img]
J'aimerais bien que tu dises vrai mais hélas il va falloir fournir un énorme effort en championnat avant la fin de saison pour se placer dans les huit!the answer64 a écrit :Comment ne pas y croire en voyant le parcours de Pau en EL et je vais me repeter mais c'est a la fin de la saison ou il va falloir que l'équipe soit au maximum de ses possibilitées.KINDER64 a écrit :Ferchaud m'a dit aussi qu'il la sentait bien cette fin de saison
Moi aussi j'y crois. On a tout pour gagner.
Bon après si on est huitième, tant pis pour le premier, parce que là
fera pas bon les hommes du prési! Mais je m'emballe, j'anticipe...-
gom jabbar
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On en saura plus à la fin du mois (cholet,chalon,clermont,starsbourg).Ce mois de janvier est crucial, espérons que tout le monde a récupéré des festivités car dès samedi se profile un déplacement à Cholet autrement important que celui de ce soir.bitouet a écrit :J'aimerais bien que tu dises vrai mais hélas il va falloir fournir un énorme effort en championnat avant la fin de saison pour se placer dans les huit!the answer64 a écrit :Comment ne pas y croire en voyant le parcours de Pau en EL et je vais me repeter mais c'est a la fin de la saison ou il va falloir que l'équipe soit au maximum de ses possibilitées.KINDER64 a écrit :Ferchaud m'a dit aussi qu'il la sentait bien cette fin de saison
Moi aussi j'y crois. On a tout pour gagner.
Bon après si on est huitième, tant pis pour le premier, parce que là
A Moscou, je crois qu'il faut compter sur l'intoxication alimentaire de la dinde du Cska
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philip_pau
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tant mieux car d'après Eurosport, la blessure de Rupert serait plus grave que prévu.philip_pau a écrit :Plus de peur que de mal pour Xane. Après avoir passé une IRM, son indisponibilité devrait être de 15 jours !!!!
http://www.eurosport.fr/basketball/euro ... 4904.shtml
Y a-t-il du nouveau ou est ce une vieille info qu'ils font remonter?
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philip_pau
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