[EL -J3] EB Pau-Orthez 73-67 CSKA Moscou ENNOOORRRMMME!!!!!
Modérateurs : Joruus, Modérateurs
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re
Les manceaux ont suivi le chemin que l'on a tracé hier en gagnant à EP Istambul 63/52!!
Que d'exploits français cette semaine!!
Les français vont devenir les bêtes noires des turcs!!
Pour les grincheux, il manquait Granger (blessé pour la saison) et Jenkins qui vient d'être coupé!
Qui se plaignait que les français faisaient de la figuration en EL? C'est quand même pas trop mal pour un début!!
Que d'exploits français cette semaine!!
Les français vont devenir les bêtes noires des turcs!!
Pour les grincheux, il manquait Granger (blessé pour la saison) et Jenkins qui vient d'être coupé!
Qui se plaignait que les français faisaient de la figuration en EL? C'est quand même pas trop mal pour un début!!
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- Joueur parti s'aguerrir en Pro B
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heu...dans ce concert de louanges et de joie collective, peu de joueurs français ont apporté leur pierre à l'édifice lors de ces 2 succès européens. Donc de là à parler d'un renouveau du basket français...oui et non. Oui car on place nos gars et nos filles dans le top 5 mondial. Mais au niveau des clubs, peu de Français ont les moyens de s'exprimer
chef d'étage à la COGIP
http://manssarthebasket.skyrock.com/
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- Joueur parti s'aguerrir en Pro B
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oui y a de ça aussi...mais il y a aussi le fait de faire confiance à de sjeunes français également. D'où l'urgence de mettre la proB à seulement 2 ricains et un bosman, histoire de libérer des places et du temps de jeu à de jeunes français.
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Bon sang, même pas le temps de réagir au premier exploit francais qu'il y a en déjà un deuxième qui tombe !!!
Faites gaffe, j'en finis pas me dire que le site de l'Euroleague est détraqué !
Non, plus sérieusement, cela fait extrêmement plaisir. Alors, oui, Nix a raison de supposer que les 4 ricains sont une partie de l'explication, mais c'était déjà le cas l'an passé. Peut-être une prise de conscience est-elle en cours, avec moins de complexes ?
En tout cas, BRAVO !!
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Faites gaffe, j'en finis pas me dire que le site de l'Euroleague est détraqué !
Non, plus sérieusement, cela fait extrêmement plaisir. Alors, oui, Nix a raison de supposer que les 4 ricains sont une partie de l'explication, mais c'était déjà le cas l'an passé. Peut-être une prise de conscience est-elle en cours, avec moins de complexes ?
En tout cas, BRAVO !!
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- Prési du forum
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Et que les Français se disent que c'est plus beau et mieux payé à côté.Nix a écrit :tout simplement parce qu'un français avec le niveau supérieur ou égal à un ricain coute l'équivalent de 2 ricains ...
peut être pas vrai mais je pense qu'on se rapproche de la vérité là ...
Avec des équipes Françaises qui marchent en Euroligue (on en est qu'au début mais nous pouvons suppoter cela), les joueurs Français auront peut-être une certaine fierté à rester au pays, en sachant qu'ils ne sont pas smicards non plus.
En tout cas, ça fait plaisir de voir un basket national en plein essor et pas forcément les meilleurs du monde mais des gars qui ont envie et se donnent à fond.
Au fait, la preuve que cette victoire a fait du bien, même l'équipe en a parlé en première page. Une petite phrase au-dessus de la grosse photo de Domenech qui fait sa 150ème interview. Ce qui est vraiment bien avec ce quotidien, c'est que l'on sait que les grands événements de tous les sports (foot, football, soccer, sans oublier le foot) seront toujours présents et mis en évidence. Les "peoples" ont "Voici", le foot à l'équipe

- didier labrit-badie
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grosse grosse perf des manceaux hier soir, le résumé tient dans l'écart et le score:11 points d'écart sur un score de 64-53 c'est énorme. Il va maintenant falloir aux 2 clubs à cibler les équipes à battre absolument en confrontation directe en empochant le goal-average pour atteindre le top16.
Le plus dur reste à venir mais ce qui a été fait restera à jamais dans leurs parcours.
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- Joueur de banc de l'Elan
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" Le retour du printemps ? "
Franchement, on ne l'avait pas vu venir. En plein marasme depuis trois saisons (au moins), les clubs français vivent un début d'Euroligue incroyable productif avec déjà quatre victoires en six matches, soit pratiquement autant que pour toute la saison 2004-2005, la pire de l'histoire.
L'identité des adversaires interpelle aussi : Bologne et Efes Istanbul pour Le Mans, Fenerbahçe et surtout le CSKA Moscou pour Pau. On ne va pas tirer de conclusions définitives après trois matches, mais ces résultats tombient bien pour relancer une mécanique qui commençait à tourner à vide.
" Tout le monde avait besoin de ça, explique Frédéric Fauthoux, capitaine de l'Elan qui a terrassé le champion d'Europe (73-67). Tout le monde se cherchait, le public, nous. Ces dernières saisons, il n'y avait pas de fatalisme chez les joueurs, mais quand même, à force de ne rien faire, tu perds le moral ".
Palois depuis 1989, le meneur béarnais espère qu'un succès comme celui sur le CSKA va décomplexer tout le monde. " On a prouvé aux autres et à nous-mêmes, qu'on pouvait battre les meilleures équipe européennes. Depuis un moment, on était en dedans, on ne se lâchait pas comme on a pu le faire mercredi soir. Il faut croire en nous ".
Le recours aux qualités mentales n'est pas la seule explication. Le règlementation sur les joueurs américains qui permet par exemple à l'Elan d'aligner quatre US et un Dominicain a permis aussi de combler le déficit créé par le départ des internationaux français en NBA et ailleurs. " A partir du moment ou on ne peut plus retenir les Français, ce sont eux qui nous permettent de tenir la dragée haute, analyse Fauthoux. Il faut un équilibre et ne pas faire n'importe quoi, mais les clubs français progressent ".
(Source : L'EQUIPE)
" L'Elan d'un sommet à l'autre "
Après avoir escaladé le mur de Moscou, c'est à un autre leader, celui du Championnat, que Pau s'attaque demain.
Quelle délicieuse soirée. Les images d ela chute du mur de Moscou défileront encore longtemps devant les yeux des quelque 7500 privilégiés présents mercredi soir dans un Palais des Sports totalement retourné par l'état d'esprit exemplaire de ses protégés.
A chaud, certains n'hésitèrent pas à parler du plus retentissant exploit accompli par le club depuis son son déménagement dans la Cité royale au début des années 90. C'est peut-être oublier un peu vite la première manche gagnée contre le Bologne de Rigaudeau en quart de finale de l'Euroligue en 1999, l'Elan n'ayant depuis jamais flirté d'aussi près avec un Final Four.
Ou encore faire peu de cas du quart européen de 1996 dont le match numéro 1 avait souri à la French Team (78-65) face .....au CSKA Moscou.
Mais après tout, peu importe ! Ce résultat a au moins le mérite de rappeler que, au moment ou il ne maîtrise plus tout à fait son avenir européen à long terme, le club palois, encore capable de spectaculaire montées d'adrénaline et désormais nanti d'un vrai bonus avant deux déplacements, a peut-être toujours une place dans le haut du panier. " C'est en tout cas une grande victoire obtenue grâce à un groupe solidaire car, à moins huit (47-55, 25e), nous aurions pu paniquer. Mais on a repris le contrôle ", commente sobrement Gordon Herbert, vainqueur pour la deuxième fois face à son modèle Ettore Messina.
[center]" Comme à Madrid "[/center]
Le très classieux coach italien a eu sa part l'honnêteté de ne pas se réfugier derrière les forfaits handicapant son équipe, surtout à l'intérieur et, à l'heure de l'analyse, il rejoignait dans les grandes lignes son homologue canadien.
" Dans pareil cas, les responsabilités sont toujours partagées. 50% sont pour nous mais l'autre moitié revient entièrement au mérite de l'adversaire ", estime l'entraîneur européen de l'année qui redoutait sincèrement le piège palois.
Histoire de rendre la soirée définitivement inoubliable, l'affaire a aussi pris une petite tournure dramatique quand CC Harrison, pour cause de cheville blessée, n'a pas pu rester avec ses camarades. L'arrière américain avait déjà connu pareille mésaventure, en janvier dernier, avant de voir dans la soirée l'Elan décrocher un autre résultat d'importance sur le parquet du Real (83-79). " J'ai tout de suite revu les images de Madrid ", assure Thierry Rupert. " On a su gagner dans les mêmes conditions en se reconcentrant aussitôt après ce pépin ".
[center]" Une Chorale en voix "[/center]
En attendant de goûter aux charmes grecs de Salonqiue, l'Elan ne va guère pouvoir se reposer sur ses lauriers fraîchement coupés.
Le retour au championnat lui propose d'accueillir, dès demain soir, une Chorale de Roanne actuellement très en voix. Coleader avec Nancy, défaite à une seule reprise, la formation de Jean-Denys Choulet est indéniablement l'attraction des premières semaines de compétition. " C'est vrai que nous ne sommes pas mal ", consent le coach roannais. " Mais je dois constamment veiller au grain, ménager les gars car notre effectif est très restreint. Roanne est leader sans être du tout à l'abri d'un pépin compte-tenu de nos moyens. Et puis, on risque aussi de s'essoufler .... ".
Le jeu pratiqué par l'adversaire des Palois n'est effectivement pas très économe. Adpete du " run and gun " (courir et tirer), les Roannais, également très présents aux contres et à l'interception, alignent l'attaque la plus prolfique de France, au-delà des 90 points de moyenne. Fait rarissime : l'arrière Spencer (22,8 points par match) et son équipier l'ailier Aaron Harper (19,3 de moyenne) sont d'ailleurs les deux meilleurs marqueurs de la compétition. Cette étonnante doublette est devenue un trio infernal en recevant le renfort d'un certain Marc Salyers (6e meilleur scoreur), ailier fort body-buildé déjà sacré champion de France avec l'Elan.
Tournant à près de 6 passes à chaque sortie, le jeune meneur Marc-Antoine Pellin (19 ans) est l'autre bonne surprise de Roanne. Le secteur intérieur est en revanche beaucoup moins fringant et c'est sûrement dans la peinture que l'Elan, autour d'un Michael Wright encore très solide face à Moscou, trouvera son salut.
(Source : La République des Pyrénées)
Franchement, on ne l'avait pas vu venir. En plein marasme depuis trois saisons (au moins), les clubs français vivent un début d'Euroligue incroyable productif avec déjà quatre victoires en six matches, soit pratiquement autant que pour toute la saison 2004-2005, la pire de l'histoire.
L'identité des adversaires interpelle aussi : Bologne et Efes Istanbul pour Le Mans, Fenerbahçe et surtout le CSKA Moscou pour Pau. On ne va pas tirer de conclusions définitives après trois matches, mais ces résultats tombient bien pour relancer une mécanique qui commençait à tourner à vide.
" Tout le monde avait besoin de ça, explique Frédéric Fauthoux, capitaine de l'Elan qui a terrassé le champion d'Europe (73-67). Tout le monde se cherchait, le public, nous. Ces dernières saisons, il n'y avait pas de fatalisme chez les joueurs, mais quand même, à force de ne rien faire, tu perds le moral ".
Palois depuis 1989, le meneur béarnais espère qu'un succès comme celui sur le CSKA va décomplexer tout le monde. " On a prouvé aux autres et à nous-mêmes, qu'on pouvait battre les meilleures équipe européennes. Depuis un moment, on était en dedans, on ne se lâchait pas comme on a pu le faire mercredi soir. Il faut croire en nous ".
Le recours aux qualités mentales n'est pas la seule explication. Le règlementation sur les joueurs américains qui permet par exemple à l'Elan d'aligner quatre US et un Dominicain a permis aussi de combler le déficit créé par le départ des internationaux français en NBA et ailleurs. " A partir du moment ou on ne peut plus retenir les Français, ce sont eux qui nous permettent de tenir la dragée haute, analyse Fauthoux. Il faut un équilibre et ne pas faire n'importe quoi, mais les clubs français progressent ".
(Source : L'EQUIPE)
" L'Elan d'un sommet à l'autre "
Après avoir escaladé le mur de Moscou, c'est à un autre leader, celui du Championnat, que Pau s'attaque demain.
Quelle délicieuse soirée. Les images d ela chute du mur de Moscou défileront encore longtemps devant les yeux des quelque 7500 privilégiés présents mercredi soir dans un Palais des Sports totalement retourné par l'état d'esprit exemplaire de ses protégés.
A chaud, certains n'hésitèrent pas à parler du plus retentissant exploit accompli par le club depuis son son déménagement dans la Cité royale au début des années 90. C'est peut-être oublier un peu vite la première manche gagnée contre le Bologne de Rigaudeau en quart de finale de l'Euroligue en 1999, l'Elan n'ayant depuis jamais flirté d'aussi près avec un Final Four.
Ou encore faire peu de cas du quart européen de 1996 dont le match numéro 1 avait souri à la French Team (78-65) face .....au CSKA Moscou.
Mais après tout, peu importe ! Ce résultat a au moins le mérite de rappeler que, au moment ou il ne maîtrise plus tout à fait son avenir européen à long terme, le club palois, encore capable de spectaculaire montées d'adrénaline et désormais nanti d'un vrai bonus avant deux déplacements, a peut-être toujours une place dans le haut du panier. " C'est en tout cas une grande victoire obtenue grâce à un groupe solidaire car, à moins huit (47-55, 25e), nous aurions pu paniquer. Mais on a repris le contrôle ", commente sobrement Gordon Herbert, vainqueur pour la deuxième fois face à son modèle Ettore Messina.
[center]" Comme à Madrid "[/center]
Le très classieux coach italien a eu sa part l'honnêteté de ne pas se réfugier derrière les forfaits handicapant son équipe, surtout à l'intérieur et, à l'heure de l'analyse, il rejoignait dans les grandes lignes son homologue canadien.
" Dans pareil cas, les responsabilités sont toujours partagées. 50% sont pour nous mais l'autre moitié revient entièrement au mérite de l'adversaire ", estime l'entraîneur européen de l'année qui redoutait sincèrement le piège palois.
Histoire de rendre la soirée définitivement inoubliable, l'affaire a aussi pris une petite tournure dramatique quand CC Harrison, pour cause de cheville blessée, n'a pas pu rester avec ses camarades. L'arrière américain avait déjà connu pareille mésaventure, en janvier dernier, avant de voir dans la soirée l'Elan décrocher un autre résultat d'importance sur le parquet du Real (83-79). " J'ai tout de suite revu les images de Madrid ", assure Thierry Rupert. " On a su gagner dans les mêmes conditions en se reconcentrant aussitôt après ce pépin ".
[center]" Une Chorale en voix "[/center]
En attendant de goûter aux charmes grecs de Salonqiue, l'Elan ne va guère pouvoir se reposer sur ses lauriers fraîchement coupés.
Le retour au championnat lui propose d'accueillir, dès demain soir, une Chorale de Roanne actuellement très en voix. Coleader avec Nancy, défaite à une seule reprise, la formation de Jean-Denys Choulet est indéniablement l'attraction des premières semaines de compétition. " C'est vrai que nous ne sommes pas mal ", consent le coach roannais. " Mais je dois constamment veiller au grain, ménager les gars car notre effectif est très restreint. Roanne est leader sans être du tout à l'abri d'un pépin compte-tenu de nos moyens. Et puis, on risque aussi de s'essoufler .... ".
Le jeu pratiqué par l'adversaire des Palois n'est effectivement pas très économe. Adpete du " run and gun " (courir et tirer), les Roannais, également très présents aux contres et à l'interception, alignent l'attaque la plus prolfique de France, au-delà des 90 points de moyenne. Fait rarissime : l'arrière Spencer (22,8 points par match) et son équipier l'ailier Aaron Harper (19,3 de moyenne) sont d'ailleurs les deux meilleurs marqueurs de la compétition. Cette étonnante doublette est devenue un trio infernal en recevant le renfort d'un certain Marc Salyers (6e meilleur scoreur), ailier fort body-buildé déjà sacré champion de France avec l'Elan.
Tournant à près de 6 passes à chaque sortie, le jeune meneur Marc-Antoine Pellin (19 ans) est l'autre bonne surprise de Roanne. Le secteur intérieur est en revanche beaucoup moins fringant et c'est sûrement dans la peinture que l'Elan, autour d'un Michael Wright encore très solide face à Moscou, trouvera son salut.
(Source : La République des Pyrénées)
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re
Vous avez embarqué le chat noir qui rodait autour du Palais lors de votre dernier voyage en Béarn?
Un des forumers avait promis de vous le mettre dans le bus si vous nous sortiez des PO!!!
Tâchez de ne pas le ramener en décembre!!
Un des forumers avait promis de vous le mettre dans le bus si vous nous sortiez des PO!!!

Tâchez de ne pas le ramener en décembre!!
