Dallas 2 / Miami 1 , Wade revient en force !!!!!
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Dallas 2 / Miami 1 , Wade revient en force !!!!!
DALLAS (Etats-Unis), 12 juin 2006 (AFP) - L'Allemand Dirk Nowitzki a révélé le secret des progrès qui font de lui l'atout N.1 de Dallas, qui domine actuellement Miami en finale du Championnat nord-américain de basket-ball: David Hasselhoff, la vedette de "K-2000" et "Alerte à Malibu".
Interrogé sur ses 90 % de réussite au lancer-franc sur l'ensemble de la saison, statistique confirmée par ses 94,1 % sur les deux premiers matches de la finale (16 sur 17), Nowitzki a expliqué que pour maîtriser son adresse solitaire face au panier, il se chantait "Looking for freedom", le tube international de l'acteur américain, sorti en 1989.
C'est simple mais fallait y penser! Evidemment, la réponse a fait le délice des Américains qui ont tendance à classer David Hasselhoff parmi les "ringards d'Hollywood". D'autant que ce dernier s'affiche volontiers depuis quelques temps dans les tribunes texanes.
Mais cela ne fait pas vraiment rire les Floridiens, menés deux victoires à 0. Surtout quand on connaît l'importance de cet exercice dans les fins de match tendues.
Pas un leader vocal
D'autant que cette réussite s'est propagée à l'ensemble du jeu de Nowitzki. Lors des trois tours de la phase finale, qui ont conduit Dallas à participer à la première finale NBA de son histoire, celui qui a été All Star lors des cinq dernières saisons a été tout simplement énorme.
Capable de tirer de partout et dans toutes les positions, Nowitzki (2,13 m et 111 kg) a achevé les trois premiers tours de ces play-offs, en étant le quatrième marqueur (28,4 pts/match), avec une pointe à 50 points lors du match N.5 contre Phoenix en finale de la conférence Ouest.
"Il est l'un des plus grands joueurs de l'histoire de ce sport. Il mérite ce statut. Et il est même l'un des joueurs qui pourrait servir d'exemple à mon fils", a expliqué Shaquille O'Neal, le pivot de Miami, qui devrait peut être chanter "Looking for freedom", pour améliorer ses statistiques au lancer-franc (2 sur 16 sur cette finale).
Après huit saisons NBA, toutes au Texas, Nowitzki, 27 ans, a effectivement dû être à son apogée pour éliminer San Antonio, tenant du titre, puis Phoenix, qui avait éliminé Dallas l'an passé.
"J'ai l'impression d'avoir appris tous les étés comment être un leader. J'ai fait des erreurs incroyables en tant que leader. Et cette année, j'ai voulu jouer en étant plus relax, prendre du plaisir avec l'équipe et être plus régulier", a expliqué Nowitzki, repéré lors d'un tournoi juniors.
Il reconnaît aussi "ne pas être un leader vocal".
Et pourtant il chante !
AFP.
Interrogé sur ses 90 % de réussite au lancer-franc sur l'ensemble de la saison, statistique confirmée par ses 94,1 % sur les deux premiers matches de la finale (16 sur 17), Nowitzki a expliqué que pour maîtriser son adresse solitaire face au panier, il se chantait "Looking for freedom", le tube international de l'acteur américain, sorti en 1989.
C'est simple mais fallait y penser! Evidemment, la réponse a fait le délice des Américains qui ont tendance à classer David Hasselhoff parmi les "ringards d'Hollywood". D'autant que ce dernier s'affiche volontiers depuis quelques temps dans les tribunes texanes.
Mais cela ne fait pas vraiment rire les Floridiens, menés deux victoires à 0. Surtout quand on connaît l'importance de cet exercice dans les fins de match tendues.
Pas un leader vocal
D'autant que cette réussite s'est propagée à l'ensemble du jeu de Nowitzki. Lors des trois tours de la phase finale, qui ont conduit Dallas à participer à la première finale NBA de son histoire, celui qui a été All Star lors des cinq dernières saisons a été tout simplement énorme.
Capable de tirer de partout et dans toutes les positions, Nowitzki (2,13 m et 111 kg) a achevé les trois premiers tours de ces play-offs, en étant le quatrième marqueur (28,4 pts/match), avec une pointe à 50 points lors du match N.5 contre Phoenix en finale de la conférence Ouest.
"Il est l'un des plus grands joueurs de l'histoire de ce sport. Il mérite ce statut. Et il est même l'un des joueurs qui pourrait servir d'exemple à mon fils", a expliqué Shaquille O'Neal, le pivot de Miami, qui devrait peut être chanter "Looking for freedom", pour améliorer ses statistiques au lancer-franc (2 sur 16 sur cette finale).
Après huit saisons NBA, toutes au Texas, Nowitzki, 27 ans, a effectivement dû être à son apogée pour éliminer San Antonio, tenant du titre, puis Phoenix, qui avait éliminé Dallas l'an passé.
"J'ai l'impression d'avoir appris tous les étés comment être un leader. J'ai fait des erreurs incroyables en tant que leader. Et cette année, j'ai voulu jouer en étant plus relax, prendre du plaisir avec l'équipe et être plus régulier", a expliqué Nowitzki, repéré lors d'un tournoi juniors.
Il reconnaît aussi "ne pas être un leader vocal".
Et pourtant il chante !
AFP.
Modifié en dernier par Invité le 14 juin 2006 8:17, modifié 1 fois.
DALLAS (Etats-Unis), 11 juin 2006 (AFP) - Miami, à l'image de son pivot vedette Shaquille O'Neal (5 points), a totalement sombré face à Dallas perdant 99 à 85 son deuxième match en autant de rencontres en finale NBA, le championnat nord-américain de basket-ball, dimanche à Dallas.
La seule bonne nouvelle pour les Miami Heat est qu'ils retrouvent leur salle mardi pour le match N.3, et les deux suivants de cette série au meilleur des sept rencontres. Mais après leur prestation du match N.2, il est loin d'être évident que l'appui du public soit suffisant.
L'exemple le plus flagrant de cette débâcle a été O'Neal. Le seul joueur sur le parquet à avoir gagné le titre, et à trois reprises, a été transparent (2 sur 5 au tir et 6 rebonds en 27 minutes). Comme au match N.1 (1 sur 9), il a encore été pathétique dans l'exercice du lancer-franc (1 sur 7).
Le début de match s'ouvrait pourtant sur un rythme élevé mais avec un tableau d'affichage qui avait bien du mal à s'emballer.
A l'issue du premier quart-temps, le score était de 18 à 17 pour Dallas.
Indéniablement, la volonté était présente des deux côtés mais l'adresse faisait défaut (33 % pour Dallas et 28 % pour Miami). Et comme en plus aucune des deux équipes ne prenait de rebonds offensifs (2 pour Miami et 4 pour Dallas après 19 minutes), les points se faisaient rares.
Stackhouse tue le match à la mi-temps
Rapidement supérieurs, les Texans creusaient un premier écart (36-28 à la 20e), alors que O'Neal était muet pendant près de 23 minutes, après son tir réussi à la 1re minute.
Et la situation des Floridiens, qui inscrivaient dans le 2e quart-temps autant de points qu'au 1er (17) et presque deux fois moins que leurs adversaires (32) sur cette même période, empirait.
Jerry Stackhouse, l'ailier des Mavericks, lançait l'offensive qui allait s'avérer décisive dans les 72 dernières secondes en réussissant 3 tirs à 3 points et un lancer franc pour donner 16 points d'avance à la pause aux siens (50-34).
Miami n'allait jamais s'en remettre. Le retour des vestiaires ne changeait pas la physionomie. Au contraire ! Sans réaction, les joueurs de Miami étaient toujours aussi maladroits (41% au total) et de plus en plus frustrés, commettant fautes sur fautes.
Ils perdaient en plus l'un de leurs hommes forts, Udonis Haslem touché à l'épaule gauche (28e).
Si bien que l'écart prenait des proportions énormes, atteignant 27 points puis 24 points à l'attaque du dernier quart-temps (82-58).
Dallas, avec un Nowitzki encore omniprésent (26 pts, 16 rebonds), jouait ces 12 dernières minutes en roue libre laissant Miami revenir à 12 points. Pour rien.
AFP.
La seule bonne nouvelle pour les Miami Heat est qu'ils retrouvent leur salle mardi pour le match N.3, et les deux suivants de cette série au meilleur des sept rencontres. Mais après leur prestation du match N.2, il est loin d'être évident que l'appui du public soit suffisant.
L'exemple le plus flagrant de cette débâcle a été O'Neal. Le seul joueur sur le parquet à avoir gagné le titre, et à trois reprises, a été transparent (2 sur 5 au tir et 6 rebonds en 27 minutes). Comme au match N.1 (1 sur 9), il a encore été pathétique dans l'exercice du lancer-franc (1 sur 7).
Le début de match s'ouvrait pourtant sur un rythme élevé mais avec un tableau d'affichage qui avait bien du mal à s'emballer.
A l'issue du premier quart-temps, le score était de 18 à 17 pour Dallas.
Indéniablement, la volonté était présente des deux côtés mais l'adresse faisait défaut (33 % pour Dallas et 28 % pour Miami). Et comme en plus aucune des deux équipes ne prenait de rebonds offensifs (2 pour Miami et 4 pour Dallas après 19 minutes), les points se faisaient rares.
Stackhouse tue le match à la mi-temps
Rapidement supérieurs, les Texans creusaient un premier écart (36-28 à la 20e), alors que O'Neal était muet pendant près de 23 minutes, après son tir réussi à la 1re minute.
Et la situation des Floridiens, qui inscrivaient dans le 2e quart-temps autant de points qu'au 1er (17) et presque deux fois moins que leurs adversaires (32) sur cette même période, empirait.
Jerry Stackhouse, l'ailier des Mavericks, lançait l'offensive qui allait s'avérer décisive dans les 72 dernières secondes en réussissant 3 tirs à 3 points et un lancer franc pour donner 16 points d'avance à la pause aux siens (50-34).
Miami n'allait jamais s'en remettre. Le retour des vestiaires ne changeait pas la physionomie. Au contraire ! Sans réaction, les joueurs de Miami étaient toujours aussi maladroits (41% au total) et de plus en plus frustrés, commettant fautes sur fautes.
Ils perdaient en plus l'un de leurs hommes forts, Udonis Haslem touché à l'épaule gauche (28e).
Si bien que l'écart prenait des proportions énormes, atteignant 27 points puis 24 points à l'attaque du dernier quart-temps (82-58).
Dallas, avec un Nowitzki encore omniprésent (26 pts, 16 rebonds), jouait ces 12 dernières minutes en roue libre laissant Miami revenir à 12 points. Pour rien.
AFP.
DALLAS (Etats-Unis), 11 juin 2006 (AFP) - Résultat du match N.2 de la finale NBA, le Championnat nord-américain de basket-ball, dimanche:
Dallas - Miami 99 - 85
(Dallas mène la série 2 à 0)
Déjà joué
Dallas - Miami 90 - 80
A jouer:
Mardi (match N.3): Miami - Dallas
Jeudi (match N.4): Miami - Dallas
Dimanche 18 juin (match N.5, si nécessaire): Miami - Dallas
Mardi 20 juin (match N.6, si nécessaire): Dallas - Miami
Jeudi 22 juin (match N.7, si nécessaire): Dallas - Miami
AFP.
Dallas - Miami 99 - 85
(Dallas mène la série 2 à 0)
Déjà joué
Dallas - Miami 90 - 80
A jouer:
Mardi (match N.3): Miami - Dallas
Jeudi (match N.4): Miami - Dallas
Dimanche 18 juin (match N.5, si nécessaire): Miami - Dallas
Mardi 20 juin (match N.6, si nécessaire): Dallas - Miami
Jeudi 22 juin (match N.7, si nécessaire): Dallas - Miami
AFP.
La stat du match
46, c’est le nombre de rebonds totalisés par l’équipe de Dallas, contre seulement 32 à Miami. Les Mavs ont une nouvelle fois construit leur succès en défense, principalement au rebond.
La nuit des leaders
Dirk Nowitzki (Dallas) : après un premier match raté, l’Allemand s’est bien repris et totalise 26 points (8/16 au tir) et surtout 16 rebonds. Impeccable au lancer franc (10/11), il cumule par ailleurs 4 passes et 2 contres.
Josh Howard (Dallas) : enfin adroit à trois points (2/3), Howard réalise un match dans le sillage de son capitaine avec 15 points (6/12 au tir) et 2 contres.
Jason Terry (Dallas) : avec 9 passes décisives, Terry assume pleinement son rôle de meneur et vient compenser sa relative maladresse au tir (6/15). Il ramène tout de même 16 points et 2 interceptions.
Shaquille O’Neal (Miami) : le pivot du Heat est une nouvelle fois passé au travers. En 27 minutes de jeu, il ne totalise que 5 points (2/5 au tir) et 6 rebonds. C’est le plus mauvais match de sa carrière.
Dwyane Wade (Miami) : l’arrière floridien n’a pas fait un grand match mais il a surnagé dans le naufrage de son équipe. Avec 23 points (6/19 au tir), 8 rebonds, 3 passes mais 4 pertes de balle, il n’a pourtant pas autant pesé que prévu.
L’homme du match
En bon capitaine, Dirk Nowitzki a montré l’exemple. Impeccable au shoot alors qu’Haslem et Posey l’ont bien pris en attaque, il a été en plus impérial en défense. Premier joueur à atteindre la barre des 500 points en Play-offs cette année, il fait partie des cinq joueurs de l’histoire de la NBA à cumuler 25 points et 10 rebonds en moyenne en Play-off (Elgin Baylor, Shaquille O’Neal, Hakeem Olajuwon et Bob Petit complètent ce quinté).
46, c’est le nombre de rebonds totalisés par l’équipe de Dallas, contre seulement 32 à Miami. Les Mavs ont une nouvelle fois construit leur succès en défense, principalement au rebond.
La nuit des leaders
Dirk Nowitzki (Dallas) : après un premier match raté, l’Allemand s’est bien repris et totalise 26 points (8/16 au tir) et surtout 16 rebonds. Impeccable au lancer franc (10/11), il cumule par ailleurs 4 passes et 2 contres.
Josh Howard (Dallas) : enfin adroit à trois points (2/3), Howard réalise un match dans le sillage de son capitaine avec 15 points (6/12 au tir) et 2 contres.
Jason Terry (Dallas) : avec 9 passes décisives, Terry assume pleinement son rôle de meneur et vient compenser sa relative maladresse au tir (6/15). Il ramène tout de même 16 points et 2 interceptions.
Shaquille O’Neal (Miami) : le pivot du Heat est une nouvelle fois passé au travers. En 27 minutes de jeu, il ne totalise que 5 points (2/5 au tir) et 6 rebonds. C’est le plus mauvais match de sa carrière.
Dwyane Wade (Miami) : l’arrière floridien n’a pas fait un grand match mais il a surnagé dans le naufrage de son équipe. Avec 23 points (6/19 au tir), 8 rebonds, 3 passes mais 4 pertes de balle, il n’a pourtant pas autant pesé que prévu.
L’homme du match
En bon capitaine, Dirk Nowitzki a montré l’exemple. Impeccable au shoot alors qu’Haslem et Posey l’ont bien pris en attaque, il a été en plus impérial en défense. Premier joueur à atteindre la barre des 500 points en Play-offs cette année, il fait partie des cinq joueurs de l’histoire de la NBA à cumuler 25 points et 10 rebonds en moyenne en Play-off (Elgin Baylor, Shaquille O’Neal, Hakeem Olajuwon et Bob Petit complètent ce quinté).
- Elan Forever
- Au Hall of Fame du Palais des Sports
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- Enregistré le : 03 déc. 2003 13:51
- Localisation : Paris
Miami s'impose in extremis
Dans ce qui a été pour l'instant le meilleur match de la série, le Heat de Miami a profité des derniers instants de la partie pour disposer des Mavericks de Dallas sur son parquet (98-96).
Grâce à un Dwyane Wade retrouvé (42 points et 12 rebonds), Miami a remonté un handicap de 11 points dans le dernier quart temps pour battre Dallas et revenir à un match des Texans. Le Game 4 aura lieu jeudi 15 juin à Miami.
Le résultat de la nuit
Miami - Dallas 98-96 (Dallas mène la série 2-1).
Quelle belle FInale , franchement , ca change des Spurs !!!!
Dans ce qui a été pour l'instant le meilleur match de la série, le Heat de Miami a profité des derniers instants de la partie pour disposer des Mavericks de Dallas sur son parquet (98-96).
Grâce à un Dwyane Wade retrouvé (42 points et 12 rebonds), Miami a remonté un handicap de 11 points dans le dernier quart temps pour battre Dallas et revenir à un match des Texans. Le Game 4 aura lieu jeudi 15 juin à Miami.
Le résultat de la nuit
Miami - Dallas 98-96 (Dallas mène la série 2-1).
Quelle belle FInale , franchement , ca change des Spurs !!!!
- bobbylaguepe
- Joueur majeur de l'Elan
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- Localisation : Un béarnais a Bordeaux
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- Joueur majeur de l'Elan
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- Localisation : Bordeaux
non, pas MDR : reprendre des dépêches AFP que tout le monde a déjà lues sur un forum, franchement, à part décevoir et faire pester les gens qui croient que qqchose de nouveau s'est dit, ça n'a AUCUN intérêt!chelseamen a écrit :
Mdr , pour ne rien dire !!!!!!
Pour le moment (et je crois avoir tout lu depuis l'invasion Chelseamen), la seule info intéressante, est celle concernant LA prochaine recrue béarnaise.
Tu remarqueras que dans la plupart des autres posts qui reprennent des infos extérieures, (en dehors des "revues de presse", qui permettent de synthétiser tout ça), les gens essaient d'ajouter un avis personnel, une réflexion, à l'info qu'ils donnent....
toi, tu te contentes de faire un copier/coller d'un autre site, sans même mettre un lien vers la source. C'est, très exactement, poster pour ne rien dire.
(en bref, et je pense pouvoir dire sans trop me tromper que j'exprime l'avis majoritaire, tu gonfles.)
L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui - P. Desproges