[Euroleague : 13e Journée ] Pana: 94 / Pau-Orthez: 62
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[Euroleague : 13e Journée ] Pana: 94 / Pau-Orthez: 62
" Preview Panathinaikos / Pau-Orthez "
http://www.euroleague.net/noticia.jsp?t ... =13&id=698
(Source : http://www.euroleague.net)
" Sortir le grand jeu "
En visite au Panathinaïkos, Pau-Orthez devra réaliser un match plein pour continuer de rêver au Top 16. Les Béarnais peuvent prendre exemple sur les Espagnols de Malaga, seule équipe à avoir décroché une victoire en terre hellène cette saison.
«Toujours en vie»
10 victoires pour 2 défaites. Le bilan des Grecs du Panathinaïkos sur la scène européenne a de l’allure. Ce ne sont pas les Palois, avec leurs 4 petits succès pour 8 défaites qui diront le contraire. Pourtant, l’Elan Béarnais devra créer l’exploit en Grèce pour entretenir la flamme de l’espoir dans l’optique du Top 16 de cette Euroligue. Car la belle victoire acquise au Palais des Sports face à Sienne la semaine dernière a prolongé le rêve dans les Pyrénées. Les coéquipiers de Thierry Gadou, forfait mercredi car blessé au dos, veulent jouer leur chance à fond. «Pau est toujours en vie ! Nous avons fait preuve de solidarité en défense comme en attaque contre Sienne. C’est ce que nous devons continuer à faire si nous voulons réaliser quelque chose en Euroligue en championnat», confiait Brooks Sales la semaine dernière après le succès contre le leader de la Lega.
L’exemple espagnol
Solidaires et efficaces contre Sienne, les joueurs de Didier Gadou devront faire preuve de ces mêmes vertus en Grèce, face à un adversaire dont l’impressionnante série de 40 victoires consécutives toutes compétitions confondues sur son parquet a pris fin la semaine dernière face aux Espagnols de l’Unicaja Malaga. Leaders du groupe C en compagnie des Grecs, les coéquipiers de Florent Pietrus sont les seuls à avoir fait chuter les joueurs de Zeljko Obradovic à deux reprises en Euroligue. Aux Palois de prendre exemple sur la formation de leur ancien coéquipier. Pour finir cinquième de son groupe, l’Elan devra gagner au moins un des deux matches restants face au Pana puis Malaga (les deux leaders) en espérant que l’Ulker Istanbul perde ses deux dernières rencontres et que Sienne morde la poussière au moins une fois. Car en cas d’égalité avec les Turcs, ce sont les Stambouliotes qui accèderaient au Top 16 à la faveur de leurs confrontations directes avec l’équipe française.
Drozdov l’artilleur
Privé de C.C Harrison et de son frère cadet Thierry pour cette rencontre cruciale, Didier Gadou pourra compter sur le retour de Laurent Foirest, qui a refoulé le parquet du Palais des Sports lors de la victoire contre Cholet, samedi après huit mois d’absence due à une blessure à un genou. Mais l’ailier international est encore trop juste pour participer à plein à la bataille d’Athènes. «En attaque on peut toujours compenser mais en défense on ne peut pas tricher et je n’ai pas assez d’heures de travail derrière moi pour défendre comme l’exige le plus haut niveau», reconnaissait d’ailleurs l’intéressé sur le site du club. Gadou a tout de même des raisons d’espérer voir ses joueurs donner du fil à retordre aux Lakovic, Scepanovic ou Batiste. Car face aux joueurs des Mauges, les Béarnais ont offert un véritable récital offensif avec notamment un 12 sur 21 à trois points pour une réussite moyenne de 62 %. Principale arme offensive de l’Elan samedi, Artur Drozdov (25 points à 7/8 à trois points) devra encore arroser avec efficacité au Stade Olympique pour permettre à Pau de rester dans la course au Top 16.
(Source : http://www.sport24.com)
" Basket - Euroligue (H) : Pau vise la victoire "
Pau-Orthez est «en croisade» selon son entraîneur Didier Gadou, avant son déplacement au Panathinaïkos Athènes lors de la 13e journée de l'Euroligue mercredi. L'objectif, à deux journées de la fin de la première phase, est toujours d'accrocher le Top 16 en terminant cinquième du groupe C, voire meilleur sixième sur l'ensemble des trois poules.
Pour cela, les Palois doivent remporter au moins un de leurs deux derniers matches, à Athènes mercredi, ou contre Malaga à Pau la semaine prochaine. Deux équipes qui jouent actuellement le meilleur basket en Europe. Le Panathinaïkos, champion d'Europe en 1996, 2000 et 2002, leader de son championnat et large vainqueur à Pau (82-67) à l'aller, reste d'ailleurs de l'avis de Gadou le «favori pour le titre européen».
«Et cela même si les Grecs ont des blessés actuellement à l'intérieur (Femerling, Tomasevic), ce qui peut expliquer leur défaite contre Malaga» à Athènes la semaine dernière (95-93), leur première à domicile depuis 40 matches.
«On va à Athènes dans l'esprit de mener une véritable croisade, se persuade néanmoins Didier Gadou. Le premier objectif, sera de tenter une perf' là-bas comme à Madrid. A défaut, concéder une défaite avec un écart minimal, pour protéger notre panier average général.» Celui-ci pourrait en effet s'avérer déterminant en cas d'égalité à trois après la dernière journée. Pour la place de meilleur sixième, le Cibona Zagreb et Olympiakos le Pirée ont cependant encore une longueur d'avance, avec cinq victoires dans le Groupe B, contre seulement quatre à Pau.
Les Palois auront également un oeil sur l'Ulker Istanbul, cinquième comme eux dans le groupe C mais possédant un point-average particulier positif face au club béarnais. Les Turcs se rendent à Moscou avant de recevoir Sienne. Face au Panathinaïkos, l'Elan continuera d'intégrer progressivement Laurent Foirest, qui n'a joué que cinq minutes samedi contre Cholet, pour sa rentrée après huit mois d'absence. Le retour de CC Harrison (fracture de la malléole) n'est attendu en principe que pour début mars.
(Source: http://www.lequipe.fr)
" « Je n'ai pas trop à me plaindre » "
http://www.sudouest.com/010206/sport.as ... 110340.xml
(Source : http://www.sudouest.com)
" Peut-on rêver au Pana? "
Athènes – « Le meilleur moyen de faire un résultat au Pana est de ne pas y penser. En revanche, ce à quoi il faut penser c’est à faire un bon match, sinon… » Fred Fauthoux n’est pas dupe, en arrivant ce mardi après midi au pied de l’Olympe, le capitaine de l’Elan résumait parfaitement la nature du challenge proposé à ses troupes.
Dans cette salle, immense vaisseau qui sonnera creux dès lors qu’elle peut accueillir 18000 personnes, cette salle qui vient de se voir attribuer l’organisation du final four 2007, les vert du mythique Pao ont plus souvent ravi leur s chauds supporters que déchaîner leur colère.
C’est simple en s’y imposant la semaine dernière, à la dernière seconde, Malaga est venu mettre fin à une série de 40 victoires consécutives dont 16 européens…
Alors si le Pana ronronnait, les Andalous se sont chargés de le réveiller ce qui n’est pas la meilleure des nouvelles pour des béarnais qui de surcroît ont laissé Thierry Gadou à Pau pour y soigner son dos. Même si, la colère piquée par Obradovic en fait foi, le Pana ne traverse pas la meilleure période de sa saison. La pieuvre défensive du premier acte de l’Euroligue (70 points tolérés à l’adversaire lors des huit premières sorties) s’étant détendue au point de concéder 93 points à Belgrade lors de son succès sur le fil, puis 95 aux Espagnols…
Face à un retour de bâtons prévisible et attendu, Fred Fauthoux a sans doute raison, la première des missions imposée à l’Elan consiste à livrer un match dense, « dans la lignée de ceux de Sienne et de Cholet » ajoute Freddy Fauthoux.
Car si dans l’optique d’une qualification au top 16, l’Elan doit se jeter sur toutes les opportunités, pour accrocher cette fameuse cinquième place, il doit aussi penser à ne pas alourdir son point avérage général au cas où cinq victoires le mettrait également en lice pour la place du meilleur sixième, dès lors que Ljubljana et le Cibona de Zagreb ne feraient pas mieux.
On touche là à des considérations dont, Fauthoux en tête, les joueurs de l’Elan et leur staff ne veulent pas entendre parler. Ils leur reste deux matches à jouer, non des moindres face aux deux leaders du groupe, et s’ils n’ont plus tout à fait leur destin entre leurs mains, ces 80 minutes sont tout de même les leurs. Et ils entendent bien les mettre à profit pour rester dans le coup jusqu’au bout, ce qui ne serait pas une mince performance si l’on se rappelle comment ils entrèrent pieds nus dans la compétition…
Et s’ils ont laissé passer des occasions apparemment plus à portée que celle de défier le Pana dans son antre olympique, l’heure n’est plus aux regrets. Elle est à la mobilisation hisoire de montrer qu’en cette fin de parcours l’Elan a accumulé suffisamment d’expérience, regagné la semaine dernière suffisamment de confiance pour venir défier les yeux dans les yeux une armada qui s’est encore enrichie, depuis le match aller, d’une unité en la personne de Lamar Hunter, un bien beau bébé pioché en CBA.
L’Elan qui vient juste de récupérer Foirest, intègre encore Sims, n’est pas dans sa meilleure configuration, puisque privé de CC Harrison et de Thierry Gadou, mais en 96, il y a dix ans déjà, il n’était guère plus fringant en débarquant au pays des dieux.
C’est pourtant avec cette « french team », insouciante et généreuse qu’il avait signé l’une des performances les plus retentissantes de son histoire européenne…
« Même si l’on se doit de ne pas trop rêver, on a quand même encore le droit d’y croire un peu », estime Fred Fauthoux.
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
" Pas un héros "
Dimitris Diamantidis, meneur du Pana et bourreau de la France à l'Euro, est un talent discret.
To, humble, anglais fébrile, Dimitris Diamantidis ( 1,96, 25 ans, 10,2pts, 2,9 p.d en 30 min), le meneur du Panathinaikos, n'z rien d'une star. Bourreau des Français en demi-finale de l'Euro (67-66), pièce maitresse du système d'Obradovic, il parle toujours au nom du collectif. Ce soir, face à Pau, c'est d'abord à la victoire qu'il pense.
L'Equipe : " Le Pana est l'un des favoris pour le titre de l'Euroligue. Que pensez-vous de cette cuvée ?
D.Diamantidis : On a une bonne équipe, complète, avec de nombreux joueurs. C'est une bonne chose pour nous. Mais on ne s'emballe pas, on prend les matches comme ils viennent et on verra à la fin.
L'Equipe : Le dernier titre du Pana et Euroligue remonte à 2002. Est-ce le but de votre saison ?
D.Diamantidis : On veut d'abord etre champions de Grèce et gagner la Coupe nationale. L'Euroligue , bien sur qu'on aimerait la gagner, mais on ne s'est pas focalisés dessus. Ce soir, on a un match difficile contre Pau et c'est à celui-là que l'on pense.
L'Equipe : Avec Lakovic, Spanoulis et vous, le Pana possède une ligne de meneurs-arrières sans égale en Europe. C'est vraiment l'une des forces de cette équipe ?
D.Diamantidis : Oui, peut-etre ( géné). Le secret de cette équipe, c'est qu'elle a douze bons joueurs. Chacun apporte quelque chose dans son registre. le but est de faire avancer l'équipe, pas de faire briller un joueur.
L'Equipe : Meilleur défenseur d'Euroligue l'an passé, vous avez étoffé votre registre offensif cette saison....
D.Diamantidis : J'ai plus de tirs, mais je ne les cherche pas. Mon job, c'est défendre, créer, aider l'équipe. Et si ça passe par des shoots, je les prends. Mais je dois travailler mon tir extérieur et ma rélexion sur le jeu.
L'Equipe : Parlons de l'Euro 2005. Pensiez-vous le remporter ?
D.Diamantidis : Pas vraiment. On voulait passer l'obstacle du quart sur lequel la sélection butait depuis quelques années. Le match contre la Russie était donc très important pour nous. Après, il y a eu la France ( il sourit)....
L'Equipe : Et votre shoot à la dernière seconde qui a envoyé la Grèce en finale. Que s'est-il passé dans votre tete à cet instant ?
D.Diamantidis : D'abord, à cinquante secondes de la fin, avec sept points de retard, on y croit toujours. Les fans étaient là pour nous rappeler que l'on était vivants ! Bien sur, on a eu de la chance. Après, pour mon shoot, à ce moment-là, on n'a pas le temps de penser. Vous avez le ballon et vous shootez, c'est tout. Après, vous le marquez, tout le monde est content, mais l'objectif , il est déjà ailleurs, sur la finale.
L'Equipe : N'empèche, vous etes désormais le héros du peuple grec !
D.Diamantidis : Non, non, je ne suis pas un héros ! J'ai fait mon travail pour mon pays c'est tout.
L'Equipe : Ce shoot est le plus grand moment de votre carrière ?
D.Diamantidis : A ce jour, oui. Mais le plus important reste le titre de Champion d'Europe. Evidemment, ce tir restera dans ma mémoire. Parfois, quand je revois les images à la télé, ça me fait sourire..... "
" Au pied de l'Olympe "
A Athènes, Pau se voit offrir un challenge de taille olympique. Face au Pana, à ce jour la plus redoutable armada d'Euroligue, leader ex aequo du groupe C avec Malaga ( 10 v - 2 d), l'Elan déboule sans Thierry Gadou (dos) mais avec son reve sous le mouchoir. " C'est la beauté du sport. On ne part pas favoris, mais on se dit qu'il y a un coup à faire, sourit Thierry Rupert. Ici, on a tout à gagner ! "
Un peu à perdre aussi... Car , à deux journées de la fin, Pau, cinquième ex eaquo avec Ulker Istanbul, n'est plus maitre de son destin. Le Top 16 lui fait encore de l'oeil, mais une défaite en Grèce ce soir, conjuguée à un succès soit des Stambouliotes ( déplacement à Moscou) soit de Sienne ( réception du Real Madrid) en embuscade à une longueur des Palois, éliminerait Pau de la course à la cinquième place directement qualificative. En effet, Ulker et Sienne s'affronteront lors de la dernière journée et Pau possède un point-average défavorable sur l'un comme sur l'autre ! Un scénario malheureux et pas si tortueux que ça, d'autant qu'Istanbul se rend chez un CSKA Moscou abimé, privé de David Andersen (cheville cassée) et peut-etre Matjaz Smodis et David Vanterpool ! Pourtant, meme cette issue-là n'empècherait pas l'Elan d'y croire encore. Car pourrait toujours subsister la possibilté d'accrocher l'ultime strapontin accordé au meilleur sixième des trois poules.
(Source : Le Journal L'Equipe)
Ce soir, au OAKA Olympic Hall d'Athènes, le Panathinaikos d'Athènes reçoit l'Elan Béarnais Pau-Orthez , à 19h45 ( en direct sur Sport+, sur le live http://www.euroleague.net et à la radio sur France Bleu Béarn, fréquence 102.5)
Panathinaikos : 4. Alvertis (GRE, 2,05m), 5. Kalaitzis (GRE, 1,95m), 6. Papanikolaou (GRE, 2,02m), 7. lakovic (SLV, 1,86m), 8. Baptiste (US, 2,03m), 10. Hatzivrettas (GRE, 1,97m), 11. Spanoulis (GRE, 1,92m), 12. Tsartsaris (GRE, 2,09m), 13. Dimantidis (GRE, 1,96m), 14. Scepanovic (SEM, 1,98m), 16. Sakota (GRE, 2,09m), 17. Hunter (US, 2,01m).
Entraineur : Z. Obradovic (SEM) .
Pau-Orthez : 4. F.Fauthoux (FR, 1,80m), 6. X.D'Almeida (FR, 1,83m), 7. L.Foirest (FR, 1,97m), 8. A.Drozdov (UKR, 1,98m), 9. S.Cissé (FR, 1,94m), 11. L.Cooper (US, 1,93m), 12. T.Rupert (FR, 2,04m), 14. B.Sales (US, 2,08m), 15. TJ Lux (US, 2,04m), 16. J.Varem ( NIG, 1,93m), 17. A.Sims (US, 1,93m).
Entraineur : D.Gadou (FR).
http://www.euroleague.net/noticia.jsp?t ... =13&id=698
(Source : http://www.euroleague.net)
" Sortir le grand jeu "
En visite au Panathinaïkos, Pau-Orthez devra réaliser un match plein pour continuer de rêver au Top 16. Les Béarnais peuvent prendre exemple sur les Espagnols de Malaga, seule équipe à avoir décroché une victoire en terre hellène cette saison.
«Toujours en vie»
10 victoires pour 2 défaites. Le bilan des Grecs du Panathinaïkos sur la scène européenne a de l’allure. Ce ne sont pas les Palois, avec leurs 4 petits succès pour 8 défaites qui diront le contraire. Pourtant, l’Elan Béarnais devra créer l’exploit en Grèce pour entretenir la flamme de l’espoir dans l’optique du Top 16 de cette Euroligue. Car la belle victoire acquise au Palais des Sports face à Sienne la semaine dernière a prolongé le rêve dans les Pyrénées. Les coéquipiers de Thierry Gadou, forfait mercredi car blessé au dos, veulent jouer leur chance à fond. «Pau est toujours en vie ! Nous avons fait preuve de solidarité en défense comme en attaque contre Sienne. C’est ce que nous devons continuer à faire si nous voulons réaliser quelque chose en Euroligue en championnat», confiait Brooks Sales la semaine dernière après le succès contre le leader de la Lega.
L’exemple espagnol
Solidaires et efficaces contre Sienne, les joueurs de Didier Gadou devront faire preuve de ces mêmes vertus en Grèce, face à un adversaire dont l’impressionnante série de 40 victoires consécutives toutes compétitions confondues sur son parquet a pris fin la semaine dernière face aux Espagnols de l’Unicaja Malaga. Leaders du groupe C en compagnie des Grecs, les coéquipiers de Florent Pietrus sont les seuls à avoir fait chuter les joueurs de Zeljko Obradovic à deux reprises en Euroligue. Aux Palois de prendre exemple sur la formation de leur ancien coéquipier. Pour finir cinquième de son groupe, l’Elan devra gagner au moins un des deux matches restants face au Pana puis Malaga (les deux leaders) en espérant que l’Ulker Istanbul perde ses deux dernières rencontres et que Sienne morde la poussière au moins une fois. Car en cas d’égalité avec les Turcs, ce sont les Stambouliotes qui accèderaient au Top 16 à la faveur de leurs confrontations directes avec l’équipe française.
Drozdov l’artilleur
Privé de C.C Harrison et de son frère cadet Thierry pour cette rencontre cruciale, Didier Gadou pourra compter sur le retour de Laurent Foirest, qui a refoulé le parquet du Palais des Sports lors de la victoire contre Cholet, samedi après huit mois d’absence due à une blessure à un genou. Mais l’ailier international est encore trop juste pour participer à plein à la bataille d’Athènes. «En attaque on peut toujours compenser mais en défense on ne peut pas tricher et je n’ai pas assez d’heures de travail derrière moi pour défendre comme l’exige le plus haut niveau», reconnaissait d’ailleurs l’intéressé sur le site du club. Gadou a tout de même des raisons d’espérer voir ses joueurs donner du fil à retordre aux Lakovic, Scepanovic ou Batiste. Car face aux joueurs des Mauges, les Béarnais ont offert un véritable récital offensif avec notamment un 12 sur 21 à trois points pour une réussite moyenne de 62 %. Principale arme offensive de l’Elan samedi, Artur Drozdov (25 points à 7/8 à trois points) devra encore arroser avec efficacité au Stade Olympique pour permettre à Pau de rester dans la course au Top 16.
(Source : http://www.sport24.com)
" Basket - Euroligue (H) : Pau vise la victoire "
Pau-Orthez est «en croisade» selon son entraîneur Didier Gadou, avant son déplacement au Panathinaïkos Athènes lors de la 13e journée de l'Euroligue mercredi. L'objectif, à deux journées de la fin de la première phase, est toujours d'accrocher le Top 16 en terminant cinquième du groupe C, voire meilleur sixième sur l'ensemble des trois poules.
Pour cela, les Palois doivent remporter au moins un de leurs deux derniers matches, à Athènes mercredi, ou contre Malaga à Pau la semaine prochaine. Deux équipes qui jouent actuellement le meilleur basket en Europe. Le Panathinaïkos, champion d'Europe en 1996, 2000 et 2002, leader de son championnat et large vainqueur à Pau (82-67) à l'aller, reste d'ailleurs de l'avis de Gadou le «favori pour le titre européen».
«Et cela même si les Grecs ont des blessés actuellement à l'intérieur (Femerling, Tomasevic), ce qui peut expliquer leur défaite contre Malaga» à Athènes la semaine dernière (95-93), leur première à domicile depuis 40 matches.
«On va à Athènes dans l'esprit de mener une véritable croisade, se persuade néanmoins Didier Gadou. Le premier objectif, sera de tenter une perf' là-bas comme à Madrid. A défaut, concéder une défaite avec un écart minimal, pour protéger notre panier average général.» Celui-ci pourrait en effet s'avérer déterminant en cas d'égalité à trois après la dernière journée. Pour la place de meilleur sixième, le Cibona Zagreb et Olympiakos le Pirée ont cependant encore une longueur d'avance, avec cinq victoires dans le Groupe B, contre seulement quatre à Pau.
Les Palois auront également un oeil sur l'Ulker Istanbul, cinquième comme eux dans le groupe C mais possédant un point-average particulier positif face au club béarnais. Les Turcs se rendent à Moscou avant de recevoir Sienne. Face au Panathinaïkos, l'Elan continuera d'intégrer progressivement Laurent Foirest, qui n'a joué que cinq minutes samedi contre Cholet, pour sa rentrée après huit mois d'absence. Le retour de CC Harrison (fracture de la malléole) n'est attendu en principe que pour début mars.
(Source: http://www.lequipe.fr)
" « Je n'ai pas trop à me plaindre » "
http://www.sudouest.com/010206/sport.as ... 110340.xml
(Source : http://www.sudouest.com)
" Peut-on rêver au Pana? "
Athènes – « Le meilleur moyen de faire un résultat au Pana est de ne pas y penser. En revanche, ce à quoi il faut penser c’est à faire un bon match, sinon… » Fred Fauthoux n’est pas dupe, en arrivant ce mardi après midi au pied de l’Olympe, le capitaine de l’Elan résumait parfaitement la nature du challenge proposé à ses troupes.
Dans cette salle, immense vaisseau qui sonnera creux dès lors qu’elle peut accueillir 18000 personnes, cette salle qui vient de se voir attribuer l’organisation du final four 2007, les vert du mythique Pao ont plus souvent ravi leur s chauds supporters que déchaîner leur colère.
C’est simple en s’y imposant la semaine dernière, à la dernière seconde, Malaga est venu mettre fin à une série de 40 victoires consécutives dont 16 européens…
Alors si le Pana ronronnait, les Andalous se sont chargés de le réveiller ce qui n’est pas la meilleure des nouvelles pour des béarnais qui de surcroît ont laissé Thierry Gadou à Pau pour y soigner son dos. Même si, la colère piquée par Obradovic en fait foi, le Pana ne traverse pas la meilleure période de sa saison. La pieuvre défensive du premier acte de l’Euroligue (70 points tolérés à l’adversaire lors des huit premières sorties) s’étant détendue au point de concéder 93 points à Belgrade lors de son succès sur le fil, puis 95 aux Espagnols…
Face à un retour de bâtons prévisible et attendu, Fred Fauthoux a sans doute raison, la première des missions imposée à l’Elan consiste à livrer un match dense, « dans la lignée de ceux de Sienne et de Cholet » ajoute Freddy Fauthoux.
Car si dans l’optique d’une qualification au top 16, l’Elan doit se jeter sur toutes les opportunités, pour accrocher cette fameuse cinquième place, il doit aussi penser à ne pas alourdir son point avérage général au cas où cinq victoires le mettrait également en lice pour la place du meilleur sixième, dès lors que Ljubljana et le Cibona de Zagreb ne feraient pas mieux.
On touche là à des considérations dont, Fauthoux en tête, les joueurs de l’Elan et leur staff ne veulent pas entendre parler. Ils leur reste deux matches à jouer, non des moindres face aux deux leaders du groupe, et s’ils n’ont plus tout à fait leur destin entre leurs mains, ces 80 minutes sont tout de même les leurs. Et ils entendent bien les mettre à profit pour rester dans le coup jusqu’au bout, ce qui ne serait pas une mince performance si l’on se rappelle comment ils entrèrent pieds nus dans la compétition…
Et s’ils ont laissé passer des occasions apparemment plus à portée que celle de défier le Pana dans son antre olympique, l’heure n’est plus aux regrets. Elle est à la mobilisation hisoire de montrer qu’en cette fin de parcours l’Elan a accumulé suffisamment d’expérience, regagné la semaine dernière suffisamment de confiance pour venir défier les yeux dans les yeux une armada qui s’est encore enrichie, depuis le match aller, d’une unité en la personne de Lamar Hunter, un bien beau bébé pioché en CBA.
L’Elan qui vient juste de récupérer Foirest, intègre encore Sims, n’est pas dans sa meilleure configuration, puisque privé de CC Harrison et de Thierry Gadou, mais en 96, il y a dix ans déjà, il n’était guère plus fringant en débarquant au pays des dieux.
C’est pourtant avec cette « french team », insouciante et généreuse qu’il avait signé l’une des performances les plus retentissantes de son histoire européenne…
« Même si l’on se doit de ne pas trop rêver, on a quand même encore le droit d’y croire un peu », estime Fred Fauthoux.
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
" Pas un héros "
Dimitris Diamantidis, meneur du Pana et bourreau de la France à l'Euro, est un talent discret.
To, humble, anglais fébrile, Dimitris Diamantidis ( 1,96, 25 ans, 10,2pts, 2,9 p.d en 30 min), le meneur du Panathinaikos, n'z rien d'une star. Bourreau des Français en demi-finale de l'Euro (67-66), pièce maitresse du système d'Obradovic, il parle toujours au nom du collectif. Ce soir, face à Pau, c'est d'abord à la victoire qu'il pense.
L'Equipe : " Le Pana est l'un des favoris pour le titre de l'Euroligue. Que pensez-vous de cette cuvée ?
D.Diamantidis : On a une bonne équipe, complète, avec de nombreux joueurs. C'est une bonne chose pour nous. Mais on ne s'emballe pas, on prend les matches comme ils viennent et on verra à la fin.
L'Equipe : Le dernier titre du Pana et Euroligue remonte à 2002. Est-ce le but de votre saison ?
D.Diamantidis : On veut d'abord etre champions de Grèce et gagner la Coupe nationale. L'Euroligue , bien sur qu'on aimerait la gagner, mais on ne s'est pas focalisés dessus. Ce soir, on a un match difficile contre Pau et c'est à celui-là que l'on pense.
L'Equipe : Avec Lakovic, Spanoulis et vous, le Pana possède une ligne de meneurs-arrières sans égale en Europe. C'est vraiment l'une des forces de cette équipe ?
D.Diamantidis : Oui, peut-etre ( géné). Le secret de cette équipe, c'est qu'elle a douze bons joueurs. Chacun apporte quelque chose dans son registre. le but est de faire avancer l'équipe, pas de faire briller un joueur.
L'Equipe : Meilleur défenseur d'Euroligue l'an passé, vous avez étoffé votre registre offensif cette saison....
D.Diamantidis : J'ai plus de tirs, mais je ne les cherche pas. Mon job, c'est défendre, créer, aider l'équipe. Et si ça passe par des shoots, je les prends. Mais je dois travailler mon tir extérieur et ma rélexion sur le jeu.
L'Equipe : Parlons de l'Euro 2005. Pensiez-vous le remporter ?
D.Diamantidis : Pas vraiment. On voulait passer l'obstacle du quart sur lequel la sélection butait depuis quelques années. Le match contre la Russie était donc très important pour nous. Après, il y a eu la France ( il sourit)....
L'Equipe : Et votre shoot à la dernière seconde qui a envoyé la Grèce en finale. Que s'est-il passé dans votre tete à cet instant ?
D.Diamantidis : D'abord, à cinquante secondes de la fin, avec sept points de retard, on y croit toujours. Les fans étaient là pour nous rappeler que l'on était vivants ! Bien sur, on a eu de la chance. Après, pour mon shoot, à ce moment-là, on n'a pas le temps de penser. Vous avez le ballon et vous shootez, c'est tout. Après, vous le marquez, tout le monde est content, mais l'objectif , il est déjà ailleurs, sur la finale.
L'Equipe : N'empèche, vous etes désormais le héros du peuple grec !
D.Diamantidis : Non, non, je ne suis pas un héros ! J'ai fait mon travail pour mon pays c'est tout.
L'Equipe : Ce shoot est le plus grand moment de votre carrière ?
D.Diamantidis : A ce jour, oui. Mais le plus important reste le titre de Champion d'Europe. Evidemment, ce tir restera dans ma mémoire. Parfois, quand je revois les images à la télé, ça me fait sourire..... "
" Au pied de l'Olympe "
A Athènes, Pau se voit offrir un challenge de taille olympique. Face au Pana, à ce jour la plus redoutable armada d'Euroligue, leader ex aequo du groupe C avec Malaga ( 10 v - 2 d), l'Elan déboule sans Thierry Gadou (dos) mais avec son reve sous le mouchoir. " C'est la beauté du sport. On ne part pas favoris, mais on se dit qu'il y a un coup à faire, sourit Thierry Rupert. Ici, on a tout à gagner ! "
Un peu à perdre aussi... Car , à deux journées de la fin, Pau, cinquième ex eaquo avec Ulker Istanbul, n'est plus maitre de son destin. Le Top 16 lui fait encore de l'oeil, mais une défaite en Grèce ce soir, conjuguée à un succès soit des Stambouliotes ( déplacement à Moscou) soit de Sienne ( réception du Real Madrid) en embuscade à une longueur des Palois, éliminerait Pau de la course à la cinquième place directement qualificative. En effet, Ulker et Sienne s'affronteront lors de la dernière journée et Pau possède un point-average défavorable sur l'un comme sur l'autre ! Un scénario malheureux et pas si tortueux que ça, d'autant qu'Istanbul se rend chez un CSKA Moscou abimé, privé de David Andersen (cheville cassée) et peut-etre Matjaz Smodis et David Vanterpool ! Pourtant, meme cette issue-là n'empècherait pas l'Elan d'y croire encore. Car pourrait toujours subsister la possibilté d'accrocher l'ultime strapontin accordé au meilleur sixième des trois poules.
(Source : Le Journal L'Equipe)
Ce soir, au OAKA Olympic Hall d'Athènes, le Panathinaikos d'Athènes reçoit l'Elan Béarnais Pau-Orthez , à 19h45 ( en direct sur Sport+, sur le live http://www.euroleague.net et à la radio sur France Bleu Béarn, fréquence 102.5)
Panathinaikos : 4. Alvertis (GRE, 2,05m), 5. Kalaitzis (GRE, 1,95m), 6. Papanikolaou (GRE, 2,02m), 7. lakovic (SLV, 1,86m), 8. Baptiste (US, 2,03m), 10. Hatzivrettas (GRE, 1,97m), 11. Spanoulis (GRE, 1,92m), 12. Tsartsaris (GRE, 2,09m), 13. Dimantidis (GRE, 1,96m), 14. Scepanovic (SEM, 1,98m), 16. Sakota (GRE, 2,09m), 17. Hunter (US, 2,01m).
Entraineur : Z. Obradovic (SEM) .
Pau-Orthez : 4. F.Fauthoux (FR, 1,80m), 6. X.D'Almeida (FR, 1,83m), 7. L.Foirest (FR, 1,97m), 8. A.Drozdov (UKR, 1,98m), 9. S.Cissé (FR, 1,94m), 11. L.Cooper (US, 1,93m), 12. T.Rupert (FR, 2,04m), 14. B.Sales (US, 2,08m), 15. TJ Lux (US, 2,04m), 16. J.Varem ( NIG, 1,93m), 17. A.Sims (US, 1,93m).
Entraineur : D.Gadou (FR).
Modifié en dernier par philip_pau le 01 févr. 2006 21:25, modifié 4 fois.
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Avec la victoire du CSKA face à l'Ulker sur le score de 74 à 51, l'Elan doit impérativement s'imposer au Pana pour encore espérer.
Surtout que dans l'hypothèse la plus probable d'une victoire du Pana sur Pau et si dans le meme temps Sienne bat le Real Madrid, il ne reste plus qu'à l'Elan a obtenir la place de meilleur 6e car la qualification direct pour le TOP 16 sera terminé.
Surtout que dans l'hypothèse la plus probable d'une victoire du Pana sur Pau et si dans le meme temps Sienne bat le Real Madrid, il ne reste plus qu'à l'Elan a obtenir la place de meilleur 6e car la qualification direct pour le TOP 16 sera terminé.
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Tout a fait, c'est ce que j'allais dire. Mais c'est pas impossible.nounours a écrit :le scénario idéale avec la défaite de ce soir (je crois pas du tout a la victoire) serait la defaite de sienne face au real ce soir,puis la semaine prochaine la victoire indispensable de Pau et la victoire de Sienne a l'ulker, et dans ce cas là, la 5e place serait pour nous ....................
Le fait d'avoir perdu le point avérage avec Sienne n'est pas une si mauvaise affaire que ça. Ca permet à Sienne de rester dans la course, et surtout de se donner à fond contre L'uker.

Mais si Sienne gagne ce soir, dans ce cas par contre, le point avérage ne serait plus du tout une bonne chose.

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Allons, allons...Nix a écrit :ah ben on s'en prend encore une belle là :/
fin de l'EL

Modifié en dernier par inthezone le 01 févr. 2006 22:03, modifié 1 fois.
Stu Jacksoniste de la première heure.
"L'essence du supporter est dans la défaite"
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