[12ème j. pro-a] EBPO Vs SP Rouen
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[12ème j. pro-a] EBPO Vs SP Rouen
C'est le matchs des extrêmes :
- le premier contre le dernier.
- un club d'euroligue contre un promu.
- le plus gros budget contre le plus petit.
- un palmarès bien garni face à un club encore en NM3 il ya moins de 10 ans
-...
En résumé, ce match c'est David contre Goliath.
On imagine difficilement comment ce petit poucet, promu et vierge de victoires en 11 matchs (un triste record), pourrait faire plier une ogre Palois qui caracole aux sommets de la pro-a depuis des lustres, surtout au Palais des sports de Pau.
Mais un match est un match et rien n'est joué d'avance, d'autant plus que l'élan sera encore à Sienne à peine 48h plus tôt, ce qui laisse vraiment très peu de temps à Didier Gadou pour préparer ses troupes.
Par ailleurs, les Rouennais sont passés tout près de l'exploit samedi, échouant de 2 petits points face aux Burgiens, manquant ainsi l'occasion d'ouvrir leur compteur. Il faudra donc rester humble et vigilant si on ne veut pas être leur 1ère victime.
- le premier contre le dernier.
- un club d'euroligue contre un promu.
- le plus gros budget contre le plus petit.
- un palmarès bien garni face à un club encore en NM3 il ya moins de 10 ans
-...
En résumé, ce match c'est David contre Goliath.
On imagine difficilement comment ce petit poucet, promu et vierge de victoires en 11 matchs (un triste record), pourrait faire plier une ogre Palois qui caracole aux sommets de la pro-a depuis des lustres, surtout au Palais des sports de Pau.
Mais un match est un match et rien n'est joué d'avance, d'autant plus que l'élan sera encore à Sienne à peine 48h plus tôt, ce qui laisse vraiment très peu de temps à Didier Gadou pour préparer ses troupes.
Par ailleurs, les Rouennais sont passés tout près de l'exploit samedi, échouant de 2 petits points face aux Burgiens, manquant ainsi l'occasion d'ouvrir leur compteur. Il faudra donc rester humble et vigilant si on ne veut pas être leur 1ère victime.
Si tu connais un peu la fac de Pau, saches que j'ai passé 2 ans de mon cursus post bac à l'IUT STID (Statistique et Traitement Informatique des Données).KINDER64 a écrit : Il me semble que tu es un fana des sondages toi ...![]()
Pareil, j'irai à la messe le dimanche matin.KINDER64 a écrit :Si Rouen s'impose au palais des sports, je crois que j'aurais la foi dans les miracles et je me taperai toutes les proféties de Paco Rabanne

- the answer64
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Bon j'ai mis oui parce que rouen debloquera bien son compteur un jour et pourquoi pas face a pau qui doit commencer a ressentir les effets de la fatigue du aux 2 match par semaine.
Nan je plaisante je vois pas le SPO battre l'elan mais c'est con comme topic tu va pas en avoir un seul qui va mettre que rouen va gagner sauf les supporters de rouen et moi.
Moi si ils gagnent...Je pronostique rouen gagnant jusqu'a la fin de la saison
Nan je plaisante je vois pas le SPO battre l'elan mais c'est con comme topic tu va pas en avoir un seul qui va mettre que rouen va gagner sauf les supporters de rouen et moi.
Moi si ils gagnent...Je pronostique rouen gagnant jusqu'a la fin de la saison

[img]http://img207.imageshack.us/img207/294/raposoev9.jpg[/img]
- Nix
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attention tout de même ... sans brooks ni aka, le banc n'est plus si impresionnant ... et lors du passage en pressing tout terrain de nancy, vu des tribunes l'ebpo n'en menait pas large ...
on peut trébucher très vite.
ne sous-estimons pas les rouennais qui doivent en avoir plein le derrière de se prendre des toles ...
on peut trébucher très vite.
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SNCF will survive
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bah honnetement, c'est le genre de sondage qui a assez peu d'interet non?
un sondage sur le match de nancy aurait été plus interessant (euh plus maintenant lol, avant le match je veux dire
)
là on va avoir 90 ou 100% de non, et on sera pas très avancés
alors alors si y a bcp de oui, c que vraiment les supporters ont pas confiance en leur equipe, meme si evidemment c un match qu'il faut jouer serieusement, comme tous les autres
un sondage sur le match de nancy aurait été plus interessant (euh plus maintenant lol, avant le match je veux dire

là on va avoir 90 ou 100% de non, et on sera pas très avancés
alors alors si y a bcp de oui, c que vraiment les supporters ont pas confiance en leur equipe, meme si evidemment c un match qu'il faut jouer serieusement, comme tous les autres
- the answer64
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je reponds oui pas que ca me plaise beaucoup ni que je l'envisage vraiment
mais il me semble de memoire (je suis pas fan de stat et j'ai la memoire courte)
que ca a deja ete le cas les années precedente de se faire battre par le dernier du classement
et avec la fatigue d'euroligue et la grosse difference entre les deux equipe un coup de trop confiance ou un coup de pompe pourrait arriver
mais il me semble de memoire (je suis pas fan de stat et j'ai la memoire courte)
que ca a deja ete le cas les années precedente de se faire battre par le dernier du classement
et avec la fatigue d'euroligue et la grosse difference entre les deux equipe un coup de trop confiance ou un coup de pompe pourrait arriver
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- Joueur de banc de l'Elan
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La rencontre de Championnat de France Pro A opposant l'Elan Béarnais à Rouen a été décalée à 20 H 30 le Samedi 3 Décembre en raison de la rencontre Section Paloise - Stade Français programmée à 18 H 30 ce même samedi 3 décembre.
(Source: http://www.elan-bearnais.fr)
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- Joueur de banc de l'Elan
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Pronostiqueurs, vous ne trouverez pas grand monde pour placer une piécette sur Rouen samedi soir. Le SPOR, dernier avec onze défaites en onze matches, se déplace en Béarn pour affronter le leader, Pau-Orthez. Invaincu au Palais des sports cette saison (sans compter l'Euroligue), l'Elan reste sur sept victoires consécutives en championnat. Victime d'une luxation acromio-claviculaire, le pivot palois Brooks Sales aurait du reprendre à Sienne avant de ressentir une nouvelle douleur jeudi matin. Quant aux Rouennais, frustrés par le nouveau revers concédé à domicile contre Bourg-en-Bresse (67-65), ils ne veulent pas baisser les bras. «Ma conviction intime est qu'on peut gagner», affirme l'entraîneur normand Michel Veyronnet dans Pro Action. Ce match servira surtout à approndir l'intégration de deux Américains arrivés récemment, l'arrière Mickaël Watson et l'intérieur Tony Williams.
(Source: http://www.lequipe.fr)
L’autre représentant tricolore en Euroligue, Pau-Orthez, s’est également incliné cette semaine contre une formation italienne. Les Palois n’ont pas démérité à Sienne (72-77) et ont affiché certains progrès dans le jeu comme le confirme Didier Gadou : «On progresse c’est incontestable, avec des constantes. Mais on a besoin de victoires pour vivre. On se battra jusqu’au bout, ça c’est une certitude», promet-il sur le site du club. Les Béarnais devraient faire le plein de confiance face au dernier du championnat, Rouen, et conserver aisément leur fauteuil de leader.
(Source: http://www.sport24.com)
Rentrés hier dans l'après-midi de Sienne, les Palois aborderont probablement ce rendez-vous contre la lanterne rouge du Championnat sans leur pivot Brooks Sales, laissé au repos en Euroligue. Souffrant d'une légère luxation acromio-claviculaire, Brooks Sales va mieux, mais un week-end supplémentaire de soins et de repos lui sera bénéfique.
Déjà privé de haif et Peterson jusqu'à la trève, le SPO Rouen évoluera aussi sans l'arrière Mario Porter. Victime d'une fracture du gros orteil début septembre, l'ancien Mulhousien, qui n'a jamais retrouvé le niveau affiché lors des matches de préparation, se plaint toujours de douleurs au pied.
(Source: Le Journal L'Equipe)
" Elan: Rouen souffre douleur "
Mal embarqués en Euroligue malgrè le bon comportement vu à Sienne, les Palois évacueront ce soir leur frustration.
Le 4e échec consécutif en Euroligue, ramené de Sienne (72-77), a permis d'allumer quelques clignotants.
Couleur vert espérance. En effet, l'Elan qui partage désormais la dernière place du groupe avec Istanbul et Belgrade, bouge encore. Jeudi en Toscane, les Palois ont meme su inquiéter jusqu'au bout leurs rivau tout heureux de voir le grand Nicola faire mouche à deux reprises derrière les 6,25m.
Mais, outre le fait que l'attaque béarnaise reste lanterne rouge de la compétition (62,8 pts de moyenne), toutes poules confondus, cette courte défaite a aussi remis en lumière plusieurs problèmes récurents.
La finition.
L'Elan ne parvient pas à développer de contre-attaques et se prive donc de paniers faciles. Privé de joueur bondissant, dominateur physiquement près du cercle, il souffre aussi au moment de conclure ses actions comme le rapelle opportunément Thierry Gadou. " En loupant les paniers faciles, et des lancers également, on s'est mis en position de subir l'agressivité des Italiens pendant les deux derniers quarts-temps ".
" Ce n'est pas nouveau cette saison ", regrette le Landais. Pour preuve, les quatres joueurs utilisés jeudi par Didier Gadou, obligé de bricoler dans la raquette en l'absence de Brooks Sales, ont combiné un 8 sur 23 aux tirs intérieurs.
Le poids du banc.
Il est notoirement insuffisant. Boostés par ce diable de Pecile, le meilleur marqueur de la soirée avec 17 points inscrits en 24 minutes seulement, les hommes du banc italien ont largement remporté leur match (26 points à 9). Sans Sales, mais également en l'absence de Foirest annoncé pour les premiers jours de janvier, l'Elan souffre d'un manque de rotations significatives. Meme en se privant du pivot international Chiacig, Carlo Recalcati, le coach de Sienne, a pu s'appuyer sur 10 joueurs opérationnels à ce niveau.
La suite de l'Euroligue.
Pour continuer à exister, il est impératif que Pau-Orthez vire à la fin des matches aller avec 2 succès au compteur. A moins, la situation seraint intenable meme si "on reçoit quatre fois sur sept lors de la phase retour ", remarque Pierre Seillant. L'Elan devra donc essayer de grapiller ce second résultat mercredi contre.....le Panathinaikos. Ou, à défaut, la semaine suivante à Malaga, sans la salle de l'Unicaja qui avait failli lui sourire l'an dernier (71-80). La hiérarchie du groupe C se révélant plus instable que prévu, l'espoir reste de mise. Mais le temps presse.
La championnat.
Le retour aux affaires courantes passe ce soir par la reception de la lanterne rouge à l'occasion du 100e match que coachera Didier Gadou, depuis sa prise de fonctions début 2004. Promu cette saison, Rouen n'a , après 11 journées, toujours pas réussi à s'imposer une fois. Ce qui constitue d'ailleurs le nouveau record en la matoère depuis la création de la Ligue nationale il y a bientot 20 ans ! " Mon équipe a rapidement besoin d'un succès pour naitre enfin ", se lamentait le coach normand Michel Veyronnet, samedi dernier, après avoir laissé Bourg repasser devant dans les deux dernières minutes (67-65).
Au tiers de la saison régulière, les Rouennais, indigents en attaque (67,1 points de moyenne), cherchent donc toujours le bon équilibre.
Afin d'y parvenir, ils multiplient les changements et arrivent avec un effectif sensiblement remanié.
Ainsi verra-t-on le pigiste Tony Williams (2,02m), que Monclar n'a pas conservé à Dijon, l'arrière US Watson qui débarque du championnat polonais, et le grand lance Alred (2,11m).
Ce dernier présente la particularité d'etre malentendant, un handicap qui ne l'a pas empéché de terminer 3e rebondeur du championnat universitaire.
" Sans Sales ? "
Resté en civil à Sienne, Brooks Sales pourrait à nouveau s'abstenir ce soir face à Rouen. Touché contre Moscou, le pivot américain ressent encore une forte douleur à l'épaule gauche. Il verra ce midi le staff médical du club qui décidera de sa participation, l'objectif étant d'obtenir un complet rétablissement pour le duel avec le Panathinaikos.
(Source: Le Journal La République des Pyrénées)
" Le sérieux est de rigueur "
On peut rentrer d’Italie la tête lourde et les idées noires, on peut rentrer d’Italie au terme d’une journée harassante avec quatre transferts dans les jambes, et une courte nuit derrière soi, mais n’avoir qu’une idée en tête…
Celle de préparer le match de Rouen.
Alors de l’aéroport de Pau, où ils ont atterri en compagnie des joueurs du Stade Français, les joueurs de l’Elan ont immédiatement pris le chemin du Palais pour une séance d’entraînement. Et s’il s’agissait de récupérer, d’éliminer les traces d’un long retour, il y avait aussi au menu une première préparation du match de ce samedi soir face au promu. Et il y en aura une autre ce samedi en fin de matinée.
Didier Gadou se moque bien de ce que son hôte soit le dernier de la classe, de ce que les Rouennais débarquent le compteur des succès bloqué à zéro, de ce qu’un fossé semble séparer les deux équipes, il a le plus grand respect pour cet adversaire, le même que pour tous les autres et il ne faudrait pas le pousser beaucoup pour lui faire dire qu’il s’agit du piège presque parfait…
D’où sa volonté de mettre les siens dans le bain sans transition et de leur faire comprendre que le contrat proposé mérite un re-concentration immédiate.
Et s’il n’a pas demandé le report du match au dimanche , comme le règlement l’y autorisait, c’est pour une simple et bonne raison : un dimanche de repos entier, chose rarissime dans la vie actuelle de l’Elan, est sans doute la meilleure des choses qu’il puisse leur accorder. Sans copter qu’instruit par l’expérience, il sait que 24 heures de décalage ne sont pas une recette à toute épreuve, et que souvent le contre-coup de la fatigue n’intervient pas le lendemain…
Que le SPO Rouen ne se fasse pas la moindre illusion, dans l’esprit du staff béarnais, il a fait l’objet d e la même approche que toutes les autres rencontres.
Et là encore le coach a de bonnes raisons d’agir ainsi… Car s’il ne s’agit pas non plus de faire des normands des ogres qu’ils ne sont pas, il est clair que leur situation actuelle ne reflète pas totalement la qualité de leur basket. Battu d’un panier la semaine dernière (Bourg), battu d’un point à la sirène par le Paris Basket, de 6 points à Nancy, leur parcours fait état d’autant de trous d’air que de belles et braves résistances. Ne menaient-ils pas 35-31 à la pause lors de leur voyage en Alsace, obligeant les Strasbourgeois à vite trouver une solution face à la zone que Michel Veyronnet se propose sans doute de reconduire au Palais ?
Enfin, Rouen arrive avec deux nouveaux joueurs US, ceux dont il espère qu’ils sont le point de départ à une dynamique nouvelle.
Pour ne pas se prendre les pieds dans le tapis, l’Elan qui ne sait pas s’il pourra compter avec Brooks Sales, a donc choisi la voie de la re-mobilisation. Et si sa volonté de défendre son leadership a éclaté à Nancy, il n’ignore rien des dangers des lendemains d’Euroligue. Même si jusque là, ils lui ont plutôt servi à l’échelon national …
(Source: http://www.elan-bearnais.fr)
Ce soir, à 20h30, au Palais des Sports de Pau, l'Elan Béarnais Pau-Orthez reçoit le SPO Rouen.
Arbitres: MM. Radonjic, Chambon et Koog.
(Source: http://www.lequipe.fr)
L’autre représentant tricolore en Euroligue, Pau-Orthez, s’est également incliné cette semaine contre une formation italienne. Les Palois n’ont pas démérité à Sienne (72-77) et ont affiché certains progrès dans le jeu comme le confirme Didier Gadou : «On progresse c’est incontestable, avec des constantes. Mais on a besoin de victoires pour vivre. On se battra jusqu’au bout, ça c’est une certitude», promet-il sur le site du club. Les Béarnais devraient faire le plein de confiance face au dernier du championnat, Rouen, et conserver aisément leur fauteuil de leader.
(Source: http://www.sport24.com)
Rentrés hier dans l'après-midi de Sienne, les Palois aborderont probablement ce rendez-vous contre la lanterne rouge du Championnat sans leur pivot Brooks Sales, laissé au repos en Euroligue. Souffrant d'une légère luxation acromio-claviculaire, Brooks Sales va mieux, mais un week-end supplémentaire de soins et de repos lui sera bénéfique.
Déjà privé de haif et Peterson jusqu'à la trève, le SPO Rouen évoluera aussi sans l'arrière Mario Porter. Victime d'une fracture du gros orteil début septembre, l'ancien Mulhousien, qui n'a jamais retrouvé le niveau affiché lors des matches de préparation, se plaint toujours de douleurs au pied.
(Source: Le Journal L'Equipe)
" Elan: Rouen souffre douleur "
Mal embarqués en Euroligue malgrè le bon comportement vu à Sienne, les Palois évacueront ce soir leur frustration.
Le 4e échec consécutif en Euroligue, ramené de Sienne (72-77), a permis d'allumer quelques clignotants.
Couleur vert espérance. En effet, l'Elan qui partage désormais la dernière place du groupe avec Istanbul et Belgrade, bouge encore. Jeudi en Toscane, les Palois ont meme su inquiéter jusqu'au bout leurs rivau tout heureux de voir le grand Nicola faire mouche à deux reprises derrière les 6,25m.
Mais, outre le fait que l'attaque béarnaise reste lanterne rouge de la compétition (62,8 pts de moyenne), toutes poules confondus, cette courte défaite a aussi remis en lumière plusieurs problèmes récurents.
La finition.
L'Elan ne parvient pas à développer de contre-attaques et se prive donc de paniers faciles. Privé de joueur bondissant, dominateur physiquement près du cercle, il souffre aussi au moment de conclure ses actions comme le rapelle opportunément Thierry Gadou. " En loupant les paniers faciles, et des lancers également, on s'est mis en position de subir l'agressivité des Italiens pendant les deux derniers quarts-temps ".
" Ce n'est pas nouveau cette saison ", regrette le Landais. Pour preuve, les quatres joueurs utilisés jeudi par Didier Gadou, obligé de bricoler dans la raquette en l'absence de Brooks Sales, ont combiné un 8 sur 23 aux tirs intérieurs.
Le poids du banc.
Il est notoirement insuffisant. Boostés par ce diable de Pecile, le meilleur marqueur de la soirée avec 17 points inscrits en 24 minutes seulement, les hommes du banc italien ont largement remporté leur match (26 points à 9). Sans Sales, mais également en l'absence de Foirest annoncé pour les premiers jours de janvier, l'Elan souffre d'un manque de rotations significatives. Meme en se privant du pivot international Chiacig, Carlo Recalcati, le coach de Sienne, a pu s'appuyer sur 10 joueurs opérationnels à ce niveau.
La suite de l'Euroligue.
Pour continuer à exister, il est impératif que Pau-Orthez vire à la fin des matches aller avec 2 succès au compteur. A moins, la situation seraint intenable meme si "on reçoit quatre fois sur sept lors de la phase retour ", remarque Pierre Seillant. L'Elan devra donc essayer de grapiller ce second résultat mercredi contre.....le Panathinaikos. Ou, à défaut, la semaine suivante à Malaga, sans la salle de l'Unicaja qui avait failli lui sourire l'an dernier (71-80). La hiérarchie du groupe C se révélant plus instable que prévu, l'espoir reste de mise. Mais le temps presse.
La championnat.
Le retour aux affaires courantes passe ce soir par la reception de la lanterne rouge à l'occasion du 100e match que coachera Didier Gadou, depuis sa prise de fonctions début 2004. Promu cette saison, Rouen n'a , après 11 journées, toujours pas réussi à s'imposer une fois. Ce qui constitue d'ailleurs le nouveau record en la matoère depuis la création de la Ligue nationale il y a bientot 20 ans ! " Mon équipe a rapidement besoin d'un succès pour naitre enfin ", se lamentait le coach normand Michel Veyronnet, samedi dernier, après avoir laissé Bourg repasser devant dans les deux dernières minutes (67-65).
Au tiers de la saison régulière, les Rouennais, indigents en attaque (67,1 points de moyenne), cherchent donc toujours le bon équilibre.
Afin d'y parvenir, ils multiplient les changements et arrivent avec un effectif sensiblement remanié.
Ainsi verra-t-on le pigiste Tony Williams (2,02m), que Monclar n'a pas conservé à Dijon, l'arrière US Watson qui débarque du championnat polonais, et le grand lance Alred (2,11m).
Ce dernier présente la particularité d'etre malentendant, un handicap qui ne l'a pas empéché de terminer 3e rebondeur du championnat universitaire.
" Sans Sales ? "
Resté en civil à Sienne, Brooks Sales pourrait à nouveau s'abstenir ce soir face à Rouen. Touché contre Moscou, le pivot américain ressent encore une forte douleur à l'épaule gauche. Il verra ce midi le staff médical du club qui décidera de sa participation, l'objectif étant d'obtenir un complet rétablissement pour le duel avec le Panathinaikos.
(Source: Le Journal La République des Pyrénées)
" Le sérieux est de rigueur "
On peut rentrer d’Italie la tête lourde et les idées noires, on peut rentrer d’Italie au terme d’une journée harassante avec quatre transferts dans les jambes, et une courte nuit derrière soi, mais n’avoir qu’une idée en tête…
Celle de préparer le match de Rouen.
Alors de l’aéroport de Pau, où ils ont atterri en compagnie des joueurs du Stade Français, les joueurs de l’Elan ont immédiatement pris le chemin du Palais pour une séance d’entraînement. Et s’il s’agissait de récupérer, d’éliminer les traces d’un long retour, il y avait aussi au menu une première préparation du match de ce samedi soir face au promu. Et il y en aura une autre ce samedi en fin de matinée.
Didier Gadou se moque bien de ce que son hôte soit le dernier de la classe, de ce que les Rouennais débarquent le compteur des succès bloqué à zéro, de ce qu’un fossé semble séparer les deux équipes, il a le plus grand respect pour cet adversaire, le même que pour tous les autres et il ne faudrait pas le pousser beaucoup pour lui faire dire qu’il s’agit du piège presque parfait…
D’où sa volonté de mettre les siens dans le bain sans transition et de leur faire comprendre que le contrat proposé mérite un re-concentration immédiate.
Et s’il n’a pas demandé le report du match au dimanche , comme le règlement l’y autorisait, c’est pour une simple et bonne raison : un dimanche de repos entier, chose rarissime dans la vie actuelle de l’Elan, est sans doute la meilleure des choses qu’il puisse leur accorder. Sans copter qu’instruit par l’expérience, il sait que 24 heures de décalage ne sont pas une recette à toute épreuve, et que souvent le contre-coup de la fatigue n’intervient pas le lendemain…
Que le SPO Rouen ne se fasse pas la moindre illusion, dans l’esprit du staff béarnais, il a fait l’objet d e la même approche que toutes les autres rencontres.
Et là encore le coach a de bonnes raisons d’agir ainsi… Car s’il ne s’agit pas non plus de faire des normands des ogres qu’ils ne sont pas, il est clair que leur situation actuelle ne reflète pas totalement la qualité de leur basket. Battu d’un panier la semaine dernière (Bourg), battu d’un point à la sirène par le Paris Basket, de 6 points à Nancy, leur parcours fait état d’autant de trous d’air que de belles et braves résistances. Ne menaient-ils pas 35-31 à la pause lors de leur voyage en Alsace, obligeant les Strasbourgeois à vite trouver une solution face à la zone que Michel Veyronnet se propose sans doute de reconduire au Palais ?
Enfin, Rouen arrive avec deux nouveaux joueurs US, ceux dont il espère qu’ils sont le point de départ à une dynamique nouvelle.
Pour ne pas se prendre les pieds dans le tapis, l’Elan qui ne sait pas s’il pourra compter avec Brooks Sales, a donc choisi la voie de la re-mobilisation. Et si sa volonté de défendre son leadership a éclaté à Nancy, il n’ignore rien des dangers des lendemains d’Euroligue. Même si jusque là, ils lui ont plutôt servi à l’échelon national …
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Ce soir, à 20h30, au Palais des Sports de Pau, l'Elan Béarnais Pau-Orthez reçoit le SPO Rouen.
Arbitres: MM. Radonjic, Chambon et Koog.
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