Mais ça fait beaucoup plus que 8 jours du coup ça ?
Et même si elle décide d'accepter finalement l'offre de Peluhet, c'est quand même direction la N1, non ?
kayl669a a écrit : 07 juin 2024 17:05
Mais ça fait beaucoup plus que 8 jours du coup ça ?
Et même si elle décide d'accepter finalement l'offre de Peluhet, c'est quand même direction la N1, non ?
Non je ne pense pas, si elle accepte l'offre de Peluhet, la DNCCG, va l'étudier, même si c'est déjà fait, et devrait annuler la sanction. Autrement ils nous auraient déjà repêchés si le CSP devait prendre la direction de la N1 avec l'arrivée de Peluhet.
Par contre si il y a un dépôt de bilan, il se dit que Peluhet prépare une offre de reprise pour la N1. Il espère qu'avec leur palmarès, ils soient autorisés à jouer en N1, plutôt qu'en N3.
Et oui comme prévu, Céline Forté serait aujourd'hui revenue autour de la table pour discuter et sûrement se mettre d'accord avec Peluhet pour accepter sa proposition de reprise du club, et sûrement pour le CSP continuer a évoluer en betclic.
Voyons maintenant comment va être géré le déficit, et ce qui va sortir des fonds de tiroirs.
Merci philou5724. Je poste une bonne partie de l'article directement ici tant il est stupéfiant !
lepopulaire.fr a écrit :
La première menait à Great Engineering, une société spécialisée dans « l’architecture et la conception de systèmes complexes » en lien avec Jean-Michel Faure, curieux intermédiaire qui a pris 12.000 euros au passage. Avant l’ultime match de la saison face à Bourg-en-Bresse, le service marketing du CSP avait d’ailleurs fait floquer en urgence les surmaillots de ses joueurs avec le logo de Great Engineering et le nom de l’entreprise a été diffusé sur les panneaux LED. Mais s’il est bien question de son implantation à Limoges, elle n’aurait pas vocation à entrer de manière significative dans le capital du club.
La seconde option des dirigeants conduisait à Fulmina Food, mystérieuse entreprise, ayant des adresses en Suisse et à Hong Kong, qui prône des méthodes peu conventionnelles et dont le fondateur, Bruno Sebire, a cosigné l’ouvrage Symphonie du vivant pour une médecine de l’être préfacé par Étienne Guillé, décédé en 2018 après avoir fondé la secte « Groupement de recherche des énergies vibratoires éternelles et supports vibratoires incorruptibles » dans les années 80.
Lundi 27 mai, veille du passage de Céline Forte et de son gendre Guillaume Lanave devant la DNCCG, le nom du club est d’ailleurs devenu « Limoges CSP by FF » sur les réseaux sociaux. En privé, le clan Forte assurait avoir vendu cette prestation à un nouveau partenaire, même s’il n’en avait pas le droit, le nom appartenant à l’association Limoges CSP. Il avait prévu de communiquer sur le sujet le jour du verdict de la DNCCG.
Mais le plan ne s’est pas déroulé exactement comme prévu. Une habitude. D’abord parce qu’aucuns fonds ne sont arrivés sur les comptes du CSP mais aussi parce que la personne dont les coordonnées se trouvaient sur la lettre d’intention fournie par les dirigeants a répondu à Patrick Hianasy, le patron de la DNCCG, ne pas être au courant des 5 millions de dollars à verser.
Troublant parallèle
Et pour cause. Difficile de remonter la piste de Fulmina Food que ce soit en Suisse ou à Hong Kong. À Lugano, le nom ne dit rien aux commerçants de la rue. En Asie, aucune trace de la société au 19e étage du bâtiment indiqué comme adresse et le nom de ses dirigeants n’évoque strictement rien à des personnes bien implantées sur place. Aucune trace de Fulmina Food à Hong Kong.
À chercher un peu plus, on retrouve finalement le nom de Fulmina du côté de… Poitiers et… de sa cour d’appel. C’est l’histoire d’une entreprise, Innov Concept, sur le point d’être liquidée. Pour la sauver, ses dirigeants apportent une lettre d’intention de la fondation Fulmina avec laquelle elle se trouve en pourparlers depuis des mois. Elle leur a promis un investissement d’un million d’euros en capital et compte courant… L’argent n’arrivera jamais. L’entreprise, elle, n’existe plus.
Bien sûr, toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d’une pure coïncidence…
Il a le gout du risque quand même le Péluhet...
Mettre des billes dans ce sac de noeuds...
Et puis quand tu vois la déontologie de la famille Forté, tu t'attends effectivement à trouver des surprises à chaque étage.
Péluhet devrait être le Ménard de Limoges… Ils ont la foi ces gars là même si ils sont poussés par les collectivités. Il va falloir dénouer ce sac de noeuds, mettre du fric et réviser les prétentions du club. D’ailleurs ce Péluhet c’est qui ? Il intervient avec l’argent d’Intermarché ou le sien ?
Lolo sportif a écrit : 08 juin 2024 15:29
Péluhet devrait être le Ménard de Limoges… Ils ont la foi ces gars là même si ils sont poussés par les collectivités. Il va falloir dénouer ce sac de noeuds, mettre du fric et réviser les prétentions du club. D’ailleurs ce Péluhet c’est qui ? Il intervient avec l’argent d’Intermarché ou le sien ?
Précisons que même si la mère Forte finit par lâcher le morceau d'ici ce soir 23h59, le Péluhet a pour projet de reprendre le club (à l'aide d'autres partenaires/investisseurs locaux) mais bien le faire redémarrer en N1. Ni en ProB et encore moins en ProA.
Le principal intérêt pour la fanbase CSP est donc de repartir de moins loin, avec de vrais capitaux connus et avec l'espérance de tout de suite remonter les 2 étages. Et en bonus dégager définitivement la mère Forte du paysage.
Mais elle ne signera ce soir qu'en échange de fric ou d'un intérêt en "nature", autre qu'un poste dans le club car ça personne n'en veut.
En attendant, quelque soit l'issue de leur bataille interne, il n'y a aucune chance que le CSP soit aligné en ProA ou ProB la saison prochaine.
Donc si le fameux ranking est bien réel à l'instant t, l'Elan va bien se faire prochainement proposer une place en ProA, ce que nous avons déjà évidemment décidé d'accepter (source interne club).
Sauf que... ce fameux ranking est, comme tout autre élément de règlement, discutable devant les instances adéquates.
Et il se murmure que nos amis Boulazacois, malheureux finalistes (bravo La Rochelle au passage hein) seraient déjà dans les starting-blocks pour déposer un recours et faire valoir leur dossier. Logique.
Et comme on sait qu'ils ont le budget, les structures (Palio + centre, etc.), et les résultats sportifs récents, c'est très loin d'être fait pour nous.
Bref, l'épisode CSP n'est qu'un (gros) domino mais le feuilleton n'est pas fini.
Et tout ça ralentit pour chacun la préparation de la future saison.
Un grand merci général au passage à nos grands penseurs de la LNB.
On leur doit encore beaucoup sur ce coup.
Chaque année ils tuent un peu plus notre sport.
Chapeau.
L'histoire du ranking est prévue par le règlement ou pas ?
C'est bien ce mode de choix qui est prévu réglementairement en pareil cas, non ?
Si oui, en quoi Boulazac ou quelqu'un d'autre pourrait prétendre à une montée en pareille situation ?
Le ranking, quoi qu'on en pense, est inscrit dans le règlement cette saison.
Pour la Betclic c'est dans l'ordre : Mets, l’Élan, Roanne et Blois.
Donc toute tentative de recours de Boulazac ne servirait à rien.
Le ranking est abandonné mais pour la saison 2024/2025.
Donc cette saison il s'applique.
L’Élan si on lui propose la betclic va accepter car il a déjà demandé à 2 joueurs de cette saison, en fin de contrat, de rester en Betclic dont 1JFL.