basketnul64 a écrit : 13 mai 2022 13:40
Si je résume, CSG est venu faire une première mondiale qui doit révolutionner le monde du sport. Ils ne veulent/peuvent pas injecter de l'argent directement, donc tout repose sur le sponsoring (multiplié par 2 ou 3) et la vente des tokens. Et ils confient ça à un gars extérieur sur qui toute la faute retombe.
Ça s'appelle un fusible!
Sinon si ce que Fauret dit est vrai, Heuss va être écarté aussi ! Plus des impacts sur le budget à venir ! Pas vraiment de bonne augure !
Moi je trouve que ça sent fort la douille cette histoire...
A quel moment a-t-il été question que CSG injecte du pognon qu'ils avaient?
Si on en croit ce qui se dit ici, la mairie n'a pas encore été payée.
Les tokens se vendent, mais d'ici à ce que ça représente un capital intéressant, boarf.
Et ensuite ben il faut faire tourner la machine.
Si on lit ça :
https://counterpointesports.io/strategy/, on voit que bon l'investissement c'est une chose, mais le reste est un peu de l'ordre de la pensée magique :
Les tokens, c'est de l'actionnariat simplifié avec une couche de buzzword à la con (et une techno qui n'apporte strictement RIEN dans le contexte).
Le projet immobilier n'avance pas.
Et je vois mal ces mecs monter ce business juste pour la belle histoire de l'Elan Béarnais. Comme la plupart des gens, ils ont monté cette opération pour faire du pognon (ça va pas plaire à PR, ça, houlala)
Si le pognon ne rentre pas, ils vont lâcher l'affaire, merci bonsoir
Le problème, c'est que le business plan est... optimiste on va dire : l'idée est d'investir (c'est vrai, en marketing, etc...), et de faire rentrer du pognon de l'extérieur... Mais ça se trouve pas sans un minimum d'espoir de retour sur investissement, ça.
A Monaco le patron lâche de la thune
tous les ans. Ca donne de la confiance aux autres sponsors, qui du coup filent de la thune en espérant en gagner (en retour d'image, par exemple).
Là, ben l'image de l'Elan, ça fait un peu longtemps qu'elle est pas au top, quoi.
Donc le bénéfice d'image... boarf. Pour en avoir, il faut des résultats. Ca commence, mais pour que ça continue et que l'Elan puisse titiller les gros, il faudrait les 5 millions par an que met Dyadechko à Monaco, par exemple. Pendant quelques années, histoire de lancer la machine.
Je vois mal CSG investir des millions dans l'Elan Béarnais sur la durée, désolé
Monaco, c'est différent, c'est bling bling, ça attire le fric.
A l'ASVEL, tu as le nom de TP qui joue, et la taille de la ville, les rapports avec l'OL.
A moins de faire un Elan Pau-Biarritz pour que ça parle aux Russes qui sont partis avant que Poutine ne délire trop, je vois pas comment rendre l'Elan suffisamment sexy pour faire entrer le fric dont il y a besoin pour lancer la machine.
L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui - P. Desproges