Een-Dor a écrit :d'un coté Moerman est bien plus fort que Var!
Si on avait les moyens de prendre Moerman je prêterai Var à la place des dirigeants
Pas comparable vu la différence d'âge. Moerman est de 88, Var de 90. On a quand même un entraîneur d'intérieurs qui a l'air vraiment très compétent, donc commencer à former un mec jusqu'à ses 21 ans, le prêter une ou deux saisons puis "terminer" sa formation à son retour, ça n'aurait aucun sens.
Difficile de dire que Var sera moins bon dans deux ans que Moerman actuellement, mais si l'Elan veut rester un club formateur, faut aller au bout de l'idée.
Johni John a écrit :On est quoi nous ? le grand public non ? je suis vachement surpris qu'on puisse, nous supporters, penser que Bauer est "plus connu" que Maravic...
Tu fais exprés ou quoi ? quand je dis "grand public", je pense aux gens qui suivent le basket de loin. Ceux qui vont voir un match de temps en temps, etc.
Johni John a écrit :On est quoi nous ? le grand public non ? je suis vachement surpris qu'on puisse, nous supporters, penser que Bauer est "plus connu" que Maravic...
Tu fais exprés ou quoi ? quand je dis "grand public", je pense aux gens qui suivent le basket de loin. Ceux qui vont voir un match de temps en temps, etc.
Pour être clair, Kinder parle des journalistes basket de Stade 2... voilà là JJ devrait comprendre
Ceci était un message du "prof, ami des stars du basket"
newser sur [url]http://www.pau-orthez.com/[/url]
:modo:
Quelques éclairages sur le travail en cours dans les deux clubs que sont L'Elan et la Section dans La République des Pyrénées du jour:
Section Paloise - Elan Béarnais : « Nos soucis sont les mêmes »
Dix thématiques, dix points de vue.
Respectivement président de la Section Paloise, 9e du dernier championnat de Pro-D2, et directeur exécutif de l'Elan Béarnais, 9e de Pro-A, Bernard Pontneau et Didier Gadou se sont volontiers prêtés au jeu de la question croisée. Où l'on se rend compte que rugbymen et basketteurs partagent de nombreuses problématiques.
LA FORMATION
Didier Gadou : « La formation est fondamentale. Economiquement, on n'a pas les reins assez solides pour recruter sans former. Le groupe professionnel de l'Elan a toujours existé avec des éléments issus de son centre de formation. Avec la section amateur du club, on est capable de mettre nos gamins sur la Nationale 2, de les faire jouer en espoirs, et d'en intégrer certains chez les pros. Sortir un très bon jeune de la formation, c'est aussi se garantir la mainmise sur son premier contrat pro. »
Bernard Pontneau : « Nous sommes un club formateur par nature. La Section est assise sur un comité qui lui est un peu dédié, le club travaille dans la continuité de la formation dispensée par les petits clubs. On est une terre de rugby, point. Celui qui ne l'a pas compris est un fou furieux. Après, cela fait partie de la stratégie d'un club pro, et les règlements de la FFR et de la LNR nous l'imposent. Certains le font par obligation. A la Section, c'est le coeur du club.»
JOUEURS ÉTRANGERS
D.G. : « Construire un cinq majeur 100 % étranger n'est pas dans nos intentions. Vu le marché, il vaut mieux investir sur deux joueurs formés localement (JFL) qui font la différence et mettre à leurs côtés trois très bons joueurs étrangers. Les deux derniers joueurs étrangers arrivent en complément, en sortie de banc.
Aujourd'hui, le recrutement est universel bien que de grandes écoles se distinguent : le basket universitaire américain, là où on trouve le volume et les meilleures affaires, et l'école ex-yougoslave. On ne peut pas aller chercher des Espagnols ou des Argentins, faute de moyens financiers. »
B.P. : « La problématique relève du numéraire. Avec 35 contrats pros par clubs, en Top 14 et en Pro D2, la France ne peut pas tout fournir. Donc il y a un delta d'étrangers : entre 25 et 30% de ses joueurs, un club ne peut pas y réchapper, voire 40% les années difficiles. Mais il ne faut pas jouer au con et acheter ailleurs des Français ou des joueurs formés chez nous mais qui sont sur le banc juste pour faire le nombre. D'après moi, 70% de JIFF (Joueurs issus des filières de formation), c'est très raisonnable. »
LES AGENTS
D.G. : « Ils sont incontournables et font partie de la vie des clubs de haut niveau. Les joueurs négocient rarement en direct avec les dirigeants, ce sont toujours les agents qui dialoguent. Ils sont autour de 75 en France. Certains sont excellents, d'autres de vrais charlatans. »
B.P. : « Ils étaient déjà dans le rugby semi-pro. C'est plus structuré, et tant mieux. Mais un joueur doit-il forcément en avoir ? Selon moi, un conseil juridique suffit. Mais c'est un marché, certains veulent se garantir le plus d'offres possibles. En tous cas, ça n'implique pas une dégradation des relations avec le joueur. Quand c'est le cas, c'est surtout le fait d'un manque de maturité du joueur.»
L'IDENTITÉ DU CLUB
D.G. : « Dans la formation, on doit découvrir des gamins qui ont du potentiel mais qui vont aussi accepter le projet mené par le club. On ne cherche pas forcément les meilleurs joueurs, car en général ils quittent le club avant d'avoir été productifs pour celui-ci. C'est l'aspect agaçant : voir trop tôt des jeunes qui veulent se servir du club avant d'avoir donné. On préfère des jeunes moins forts ou talentueux au départ mais qui pourront être très performants au fil des ans en s'identifiant au maillot, en se battant pour le club. »
B.P. : « Le club appartient d'abord à une communauté. Rien à voir avec un petit groupe d'individus. Il a quelque chose d'intemporel, mystique. C'est un patrimoine qu'il nous appartient de faire fructifier, on en a parfaitement conscience. Quand tu vois 22 bus pour un match de qualif à Auch, t'as compris... Idem pour l'actionnaire. C'est à fonds perdus et tu le fais ! Depuis dix ans, 6 ou 7 personnes font ce sacrifice à la Section, et depuis que je suis à la présidence, entre 5 et 6 millions d'euros sont allés dans le fonds de réserve. Alors les leçons de ceux qui n'ont jamais mis un sou mais en ont pris, ils peuvent se les garder...»
LE PUBLIC
D.G. : « Arrêtons de nous leurrer, la raison principale qui incite le public à venir est liée aux résultats. Ensuite, c'est l'aspect événementiel qui attire. On doit être en mesure d'être de bons acteurs sur le terrain mais aussi dans ce qu'on peut proposer dans l'avant, le pendant et l'après-match. Aujourd'hui, c'est à ce niveau qu'on affiche des carences. On n'utilise pas assez le Palais comme un lieu de spectacle. Le public veut se sentir comme s'il était à Bercy, au Madison Square Garden ou à Los Angeles !»
B.P. : « Avant d'être président, on est supporter. Donc on en reste proche du public. Il aime ce sport, sa région, sa ville, et le très haut niveau. Le rugby, sans grand discours sur l'aspect social, permet d'apporter un bonheur simple chaque week-end. On est là pour donner tout ça.»
LES STRUCTURES
D.G. : « On est sur un plan de développement de la structure du Palais pour développer son attrait. On a des idées, des projets en négociations mais je ne peux pas en dire plus pour l'instant. Ces projets sont une clé du développement futur de l'Elan. Cela doit permettre au club de trouver, à court terme, un budget plus conséquent. »
B.P. : «Le public nous donne son argent et son temps. Nous, on doit lui créer un modèle économique. Des salles chauffées pour boire un coup avec les copains, amener ses gosses sans qu'ils aient froid aux pieds l'hiver. Sans outil de travail pour le haut niveau, on n'avance pas. Un stade avec une tribune et des vestiaires, c'était il y a 30 ans. Le stade moderne, on vit dedans, on y vient la semaine, et il amène 40 à 50% des ressources du club. Tant qu'on ne l'a pas compris...»
L'EUROPE
D.G. : « Oui, on a envie de participer de nouveau à une Coupe d'Europe. Depuis les années Euroligue, la structure du club n'a pas changé. Notre façon de fonctionner est taillée pour jouer l'Europe ».
LE TOP 14
B.P. : « Il conforte le rugby dans un modèle qui assurera sa pérennité. C'est un objectif indispensable. Qui n'avance pas recule, je n'ai pas inventé le dicton ! Petit rappel historique : a un essai près, c'est Bayonne qui descendait à notre place. Après, c'est le Top 14 qui les a sauvés. Nous, on est la 2e ville d'Aquitaine, on est assis sur du rugby. Notre potentiel économique et démographique dépasse celui du Pays basque.»
LES PARTENAIRES
D.G. : « On doit trouver le produit qui va attirer les partenaires. Pour ça, on doit doper la structure pour qu'elle devienne un endroit où les gens ont envie de venir (loges, restauration, jeux...). On manque encore de produits pour être toujours plus attrayant. Cette saison, en volume, le partenariat de l'Elan, majoritairement local et régional, est à peine plus faible de ce qui se faisait à la grande époque européenne. La télévision est aussi un partenaire. En basket, elle rapporte 80 000 euros à chaque club de Pro-A. On est très loin des 850 000 euros de droits télé versés à chaque club de Pro D2 de rugby. »
B.P. : « Les partenaires ont compris. Les privés nous rejoignent dans nos idées sur le Top 14. Je suis à peu près certain que dans les mois à venir, on montrera que le privé s'y associe vraiment. Mais le partenaire public aussi devra faire un signe...»
RELATIONS AVEC LA MAIRIE
D.G. : « On est monté de Pro-B en Pro-A sans que la subvention augmente. On n'est pas là pour aller taper dans la collectivité qui fait déjà beaucoup pour nous. La solution future viendra par le privé. Actuellement, nous sommes dans une étape où on préfère que les collectivités nous aident à développer le Palais pour que demain on soit en mesure d'attirer du partenariat privé ».
B.P. : « Nous avons pris l'initiative de présenter un projet qui explique nos besoins sur trois ans. Il englobe la capacité des privés de s'y engager et l'impact économique que cela implique pour le public. A Bayonne, une étude de la CCI a démontré que l'Aviron, c'est 20 millions d'euros de retombées. Comparé au prix d'une campagne de pub, c'est pas cher pour l'image que le rugby renvoie. Quand l'équipe gagne, on ne dit pas qu'Air France ou Tocqueville Finances ont gagné. On parle bien de Pau ! »
LA SECTION PALOISE
D.G. : « Il existe forcément une concurrence sportive, mais on ne fait pas le même sport : eux marquent des essais, nous des paniers. La bêtise serait de se tirer les uns sur les autres alors qu'on partage les mêmes soucis. Soyons unis pour être entendus. »
L'ÉLAN BÉARNAIS
B.P. : «Après la décision décisive d'André Labarrère et Pierre Seillant de venir à Pau, l'Elan a su préserver sa filiation vers Orthez et même le territoire landais. En plus, il renforce l'image de ville sportive et la visibilité de Pau. Il draine large, et comme nous, quand il gagne, il y a 30% de Bigourdans de plus en tribunes. Ce sont deux sports différents mais nos besoins sont les mêmes, notamment pour les infrastructures. Mais s'il y en a pour penser qu'il faudrait associer les deux clubs, qui pensent pour schématiser que 2+2 feront 4 voire 5, je dis que c'est une connerie ! C'est mes trente ans dans les affaires qui parlent. Quand les deux clubs étaient au top, personne n'a voulu le faire, et ils ont eu bien raison.»
===> Bernard Pontneau : « 500 000 à 1 million de plus pour monter »
Interrogé sur le budget idéal, Bernard Pontneau insiste sur un point : « On a une assise de 350 enteprises locales. Paradoxalement, le tissu local est plus important que du temps de l'élite. Total nous a fait confiance, mais il manque un partenariat national plus développé. C'est toute la difficulté de la Pro-D2, qui mobilise moins que le Top 14... Pour monter ? Il nous manque entre 500.000 et 1 million d'euros. On peut y arriver sans, en passant par les demies, mais je pense que la Section a besoin d'une montée nette, pour mieux se préparer à la suite. »
===> Didier Gadou : « Le top ? 600 000 euros de plus »
A la question «combien d'argent manque t-il au budget de l'Elan pour être au top ?», Didier Gadou répond sans hésitation : « Pour nous, le budget idéal serait 5 millions d'euros, soit 600 000 euros de plus que le budget actuel qui tourne autour des 4,4 M. Avec un tel budget, je suis persuadé qu'on jouerait le titre chaque saison car cet argent supplémentaire irait directement dans la masse salariale puisque tout le reste est en place. Notre volonté est de parvenir à terme à ce palier. Il faut savoir que 600 000 euros, c'est deux très bons joueurs. »
De l'anglais " quasi stellar ", les quasars sont un type particulier de radiosources, c'est-à-dire des astres qui émettent des ondes radioélectriques. Ces radiosources sont dites quasi stellaires parce qu'elles sont associées à des objets visibles sous forme de points lumineux comme les étoiles.
Construire un cinq majeur 100 % étranger n'est pas dans nos intentions. Vu le marché, il vaut mieux investir sur deux joueurs formés localement (JFL) qui font la différence et mettre à leurs côtés trois très bons joueurs étrangers. Les deux derniers joueurs étrangers arrivent en complément, en sortie de banc.
Si je transpose:
on a déjà 2 titulaires JNFL(Junior et Marko), un JNFL remplaçant(Slaven)
Il resterait donc 1 JNFL titulaire, 1 remplaçant et 2 JFL titulaires à trouver(je doute que les 2 Lesca, Morency et Var soient titulaires)
Compte tenu de la rareté des joueurs de qualité et à moins de considérer Junior comme remplaçant(ce qui induirait pourquoi pas un Vaty par ex mais compte tenu du prix supposé de Junior, je ne pense pas), je pense que le 5 remplaçant sera JNFL.
Sur 3 postes il n'y aurait qu'un JNFL et ça laisse penser qu'on a pas abandonné l'idée de garder Antoine ce qui serait une bonne nouvelle
Quels sont les autres JFL potentiellement titulaires soit sur le marché réellement, soit que pourrrait éventuellement changé(uniquement mon appréciation): Pellin, Vaty, Gelabale(je rigole...), Boungou Colo, Jackson?(même si avec ses derniers matchs de PO et l'arrivée de Vincent, je le vois mal partir), Moerman(mais on a dejà le 4 titulaire sauf à replacer Marko en 3, ce dont je doute), Curti, Morandais?, Diabate ou Amagou(vu le fiasco roannais) et bien sur Mendy. Leloup en Pro B serait aussi intéressant et pourrait peut etre brigue une place dans le 5. Pour le reste de la Pro B je vois aps qui
Moi ce qui me fait le plus sourire c'est la réaction anonyme et lâche du commentaire qui a suivi sur la page de cette article :
"Dider Gadou: "Il faut savoir que 600 000 euros, c'est deux très bons joueurs. »
Quelle honte de dire ça.
Coût moyen de la subvention par place à l'EB: 40 €. A la Section: 20 €.
(amortissement, frais financier, entretien des structures, subventions directes).
Le basket est un gouffre qu'il faut supprimer. (coût global moyen par an: environ 3 M€). La Section doit faire des efforts (coût moyen par en ces dernières années: 1,5 M€).
Total du coût du sport pro à Pau: 8 M€ par an. Ailleurs, environ 3 M€.
Ca fait 20 ans que c'est comme ça. On voit le résultat pour la ville: impôts locaux très élevés, 15 ans de retard en matière de transports en commun et de rénovation de la ville."
Ca en devient franchement ridicule, mais comment cette personne peut elle se croire crédible... Le coup des 3M€ est ce qui m'a fait le plus sourire ^^ oui oui bien sûr
---- Le message ci-dessous est un double post ----
Sinon mes impressions en vrac :
Leloup reste à Dijon, c'est acté.
Sinon je crois que les deux roannais sont intransférables.
Mendy, je n'y crois plus. Boungou Colo je le sens très bien à Pau lui par contre.
Le pivot, je pense toujours à un JFL, on verra bien.
Cette interview confirme le sentiment que j'ai. Il va y avoir encore quelques années de reconstruction (1 à 3) avant de retrouver une équipe de haut de tableau à l'Elan. En se plaçant sur des considérations budgétaires. Et ce qui serait formidable, c'est que les jeunes, qui ont déjà mis un pied chez les pros, fassent partie de cette future équipe qui luttera pour le titre. Il faut recruter aussi dans l'optique de laisser du temps de jeu nécessaire à la progression de ces jeunes.
Je sais pas trop, ce sont juste des impressions, feelings.
Poste 1 : JNFL1 - Lesca
Poste 2 : JNFL2 - Rimac
Poste 3 : JFL - Morency
Poste 4 : JFL - Maravic - Var
Poste 5 : Elonu - JFL
Avec toujours les mêmes trucs : Maravic et Morency peuvent jouer aussi bien 3 que 4, le JNFL2 peut aussi jouer au poste 1 tout comme le JNFL1 peut aussi jouer 2, etc...
J'aimerais toujours un poste 1 JFL comme Gomis ou Pellin, mais n'y crois pas. Pas plus que Pietrus en poste 4 JFL, c'est une utopie totale...
Compte tenu du fait que Leloup est à priori bloqué et si Mendy part
Ce qui serait pas mal en respectant le possible 5 comprenant 2JFL(selon DG) pour moi ce serait:
Pellin-R Lesca
un combo fort shooteur-Rimac
Boungou Colo-Morency-F Lesca
Maravic-Var
Junior-JNFL
Je vois mal un JNFL remplaçant en ailier. On a déjà Morency, lesca voire Maravic.
Si le meneur remplaçant est non JFL, le combo titulaire devient pour moi un 2 pur ou 2/3. Mais ça bloque R Lesca(à ce moment là on le prête et on est censé avoir 11 pros).
c'est pour çà que je penche pour le remplaçant non JFL. N'oublions pas que R Hillote arrive pour faire quelques minutes en tant qu'espoir au poste 2 s'il y a des blessures chez les 11 pros. D'après ce que j'ai lu sur Maxi Basket, il présenté comme un joueur a forte probabilité de sélection cet été en EDF espoirs(ou junior). Tout çà pour moi fait converger vers un 5 non JFL au vu du peu de noms(à part Badiane et Vaty et peut-on se les payer pour être remplaçant?) et du réservoir sur les autres postes à part meneur.
---- Le message ci-dessous est un double post ----
JJ dans ton équipe, le souci serait de trouve run 4 JFL supérieur à marko. J'en vois pas trop. Gomis j'avais zappé mais je suis à fond pour. entre Pellin et lui mon coeur balance
faut arrêter avec l'âge, regardez Rimac... si on peut le prendre il ne faut pas hésiter une seule seconde, et si pour ça il faut le signer 2 ans alors faut le signer 2 ans, il sort d'une belle saison d'Euroleague où il était titulaire, ce joueur est a priori inabordable pour un club moyen comme l'Elan, encore plus inabordable que Pietrus selon moi...