DRAFT 2010
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Re: DRAFT 2010
Que vaut-il mieux? Le fric de Pétro ou la carrière de Rigaudeau? (pas malheureux quand même) Peut-être aussi que le niveau NBA n'est pas celui qu'on croit. Moiso depuis son retour ne casse pas la barraque. C'est pas mal, sans plus. Gélabale qui a failli réussir là-bas et semble avoir du mal en Pro A (et ce n'est pas l'ACB). Et pas sûr que Diawara ait sa place ailleurs qu'en Pro A.Perso si je m'appelais Diot, Heurtel, Séraphin ( ou si j'étais leur conseiller) je choisirais de progresser au Mans à l'ASVEL ou à Cholet.
Il y a un autre problème: c'est les gamins à qui on bourre le mou. Il y eût un gars nommé Tahirou Sani qui à 15 ans, surclassé, marquait des tonnes de paniers, éclatait tout. NBA! NBA! Où est-il? Cramé.
Sur cette liste de prétendants ( beaucoup se retireront) je prends le risque d'une prédiction: aucun n'a de chances de réussir. Diot est plus fait pour l'Europe où il peut réussir, peut-être que Séraphin, avec deux ans de plus... mais en pivot il lui manque quelques centimètres. Mais les autres, ce sera déjà bien s'ils peuvent jouer en ACB. Quand on voit notre magnifique Flo cirer le banc...Ah si Nando avait son énergie...peut-être.
Il y a un autre problème: c'est les gamins à qui on bourre le mou. Il y eût un gars nommé Tahirou Sani qui à 15 ans, surclassé, marquait des tonnes de paniers, éclatait tout. NBA! NBA! Où est-il? Cramé.
Sur cette liste de prétendants ( beaucoup se retireront) je prends le risque d'une prédiction: aucun n'a de chances de réussir. Diot est plus fait pour l'Europe où il peut réussir, peut-être que Séraphin, avec deux ans de plus... mais en pivot il lui manque quelques centimètres. Mais les autres, ce sera déjà bien s'ils peuvent jouer en ACB. Quand on voit notre magnifique Flo cirer le banc...Ah si Nando avait son énergie...peut-être.
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Re: DRAFT 2010
Suivant ton raisonnement, tant qu'à faire banquette, je préfèrerais le faire en NBA plutôt qu'en ProA...
Vichy reste moins glamour que LA
---- Le message ci-dessous est un double post ----
Je répondais à Jaco pour mon précédent post...
Tout le monde n'est pas un Rigaudeau en puissance...
Vichy reste moins glamour que LA

---- Le message ci-dessous est un double post ----
Je répondais à Jaco pour mon précédent post...
Tout le monde n'est pas un Rigaudeau en puissance...
Re: DRAFT 2010
ah non j'ai pas dit qu'il valait mieux faire banquette a LA plutot qu'a vichy !!!! juste que si tu fait banquette a LA , bah si tu viens a vichy ..... tu joueras je pense !!!!!Guit a écrit :Suivant ton raisonnement, tant qu'à faire banquette, je préfèrerais le faire en NBA plutôt qu'en ProA...
Vichy reste moins glamour que LA
---- Le message ci-dessous est un double post ----
Je répondais à Jaco pour mon précédent post...
Tout le monde n'est pas un Rigaudeau en puissance...
par contre si le but du basket est de faire banquette , oui je suis bien d'accord vaut mieux LA !!!!

Go Elan GOOOOOOOO !!! 

Re: DRAFT 2010
A 15 ans, il avait peut-être déjà 22 ans !PapyBear a écrit :Que vaut-il mieux? Le fric de Pétro ou la carrière de Rigaudeau? (pas malheureux quand même) Peut-être aussi que le niveau NBA n'est pas celui qu'on croit. Moiso depuis son retour ne casse pas la barraque. C'est pas mal, sans plus. Gélabale qui a failli réussir là-bas et semble avoir du mal en Pro A (et ce n'est pas l'ACB). Et pas sûr que Diawara ait sa place ailleurs qu'en Pro A.Perso si je m'appelais Diot, Heurtel, Séraphin ( ou si j'étais leur conseiller) je choisirais de progresser au Mans à l'ASVEL ou à Cholet.
Il y a un autre problème: c'est les gamins à qui on bourre le mou. Il y eût un gars nommé Tahirou Sani qui à 15 ans, surclassé, marquait des tonnes de paniers, éclatait tout. NBA! NBA! Où est-il? Cramé.
Sur cette liste de prétendants ( beaucoup se retireront) je prends le risque d'une prédiction: aucun n'a de chances de réussir. Diot est plus fait pour l'Europe où il peut réussir, peut-être que Séraphin, avec deux ans de plus... mais en pivot il lui manque quelques centimètres. Mais les autres, ce sera déjà bien s'ils peuvent jouer en ACB. Quand on voit notre magnifique Flo cirer le banc...Ah si Nando avait son énergie...peut-être.
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Re: DRAFT 2010
J'aime ce forum où l'on peut discuter de choses s'écartant du basket, et le tout dans un respect mutuel. Surtout que, on le sait tous, ce débat est sans fin, et c'est ce qui le rend intéressant.
Je vais revenir sur quelques propos de certains.
Je comprends que les jeunes aient envie de tenter leurs chances en NBA mais ce qui me
dérangent, c'est que certains partent trop tôt, avant même de terminer leur formation. Un mec comme Ajinca, quand il est drafté n'a le niveau pour jouer ni en NBA ni dans un grand club français (ASVEL, MSB, Nancy à l'époque...). Si il était resté un an de plus, aurait-il compromis ses chances d'être drafté? Je ne pense pas puisque la NBA drafte sur le potentiel physique principalement. Potentiel qu'il n'aurait pas perdu en un an en France.
Pour les salaires, ok ils sont hors-normes outre-atlantique, est-ce une raison pour accepter n'importe quoi? Les jeunes ont beau être jeunes, ils ne sont pas tous stupides ( j'espère!!!). Croire qu'on est le meilleur joueur de basket alors qu'on est incapable de s'imposer dans un club mineur (HTV) d'une ligue mineure (Pro A), est d'une idiotie rare et je crois que c'est jeunes sont plus intelligents que certains ne veulent le laisser croire. A voir par la suite si ils décideront de fuir le rêve NBA pou retrouver le bonheur simple du jeu tout simplement (coucou Diawara!!!).
Quelqu'un parlait de Gelabale qui avait dû mal à s'imposer aujourd'hui en Pro A. Mais attention, n'oublions pas d'où il revient. Grave blessure à un genou. Parce qu'avant la NBA, il était tout de même un joueur important au Real en ACB, pas un joueur en bois de l'Élan Bearnais ou de Toulon.
Jasikevicius n'était pas un inconnu lorsqu'il a décidé de rejoindre la grande ligue. Il ne s'y pas imposé et est rentré rapidement en Europe. Exemple à suivre pour nombre de jeunes européens qui veulent devenir des grands NBAers. L'entrainement et la fonte ne remplaceront jamais le jeu au cours d'un vrai match de basket.
En tant que footeux, combien existent-ils d'exemples de jeunes joueurs partis très jeunes dans des grands clubs où ils se sont perdus et ensuite disparus totalement du circuit ou alors jouant dans des clubs de seconde zone?
Je vais revenir sur quelques propos de certains.
Je comprends que les jeunes aient envie de tenter leurs chances en NBA mais ce qui me
dérangent, c'est que certains partent trop tôt, avant même de terminer leur formation. Un mec comme Ajinca, quand il est drafté n'a le niveau pour jouer ni en NBA ni dans un grand club français (ASVEL, MSB, Nancy à l'époque...). Si il était resté un an de plus, aurait-il compromis ses chances d'être drafté? Je ne pense pas puisque la NBA drafte sur le potentiel physique principalement. Potentiel qu'il n'aurait pas perdu en un an en France.
Pour les salaires, ok ils sont hors-normes outre-atlantique, est-ce une raison pour accepter n'importe quoi? Les jeunes ont beau être jeunes, ils ne sont pas tous stupides ( j'espère!!!). Croire qu'on est le meilleur joueur de basket alors qu'on est incapable de s'imposer dans un club mineur (HTV) d'une ligue mineure (Pro A), est d'une idiotie rare et je crois que c'est jeunes sont plus intelligents que certains ne veulent le laisser croire. A voir par la suite si ils décideront de fuir le rêve NBA pou retrouver le bonheur simple du jeu tout simplement (coucou Diawara!!!).
Quelqu'un parlait de Gelabale qui avait dû mal à s'imposer aujourd'hui en Pro A. Mais attention, n'oublions pas d'où il revient. Grave blessure à un genou. Parce qu'avant la NBA, il était tout de même un joueur important au Real en ACB, pas un joueur en bois de l'Élan Bearnais ou de Toulon.
Jasikevicius n'était pas un inconnu lorsqu'il a décidé de rejoindre la grande ligue. Il ne s'y pas imposé et est rentré rapidement en Europe. Exemple à suivre pour nombre de jeunes européens qui veulent devenir des grands NBAers. L'entrainement et la fonte ne remplaceront jamais le jeu au cours d'un vrai match de basket.
En tant que footeux, combien existent-ils d'exemples de jeunes joueurs partis très jeunes dans des grands clubs où ils se sont perdus et ensuite disparus totalement du circuit ou alors jouant dans des clubs de seconde zone?
Legendaire8 a écrit : "Bon anniversaire au fils spirituel de Jules Ferry et Hélène Darroze, perdu dans sa pampa des tréfonds de l’île de France, perturbateur des minutes de silence de Levallois, mais bon camarade. Dites 33"
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Re: DRAFT 2010
Concernant le choix de certains qui préfèrent rester sur le bout du banc (quand ils sont sur la feuille de match), voilà un article pris ici http://www.catch-and-shoot.com/2010/03/ ... e-oubliee/ et qui parle des pensions pour les ex joueurs NBA. Plus on y joue, plus on touche ensuite. Ca peut donc expliquer le pourquoi du comment.
Les pensions pour les ex-joueurs NBA, la règle oubliée
« Pourquoi Johan Petro, Ian Mahinmi ou Yakhouba Diawara ne préfèrent-il pas revenir en Europe trouver du temps de jeu plutôt que d’enchaîner les DNP sur le banc de leur franchise respective ? » telle est la question qui nous revient tous les jours.
Salaires, exposition, prestige, confort de vie sont quatre arguments qui pèsent leur poids. Mais une ne revient jamais : la question des pensions.
60% des joueurs sont ruinés seulement cinq ans après leur retraite
Car la NBA est généreuse. Elle est la ligue où les joueurs sont le mieux payés en moyenne (environ 5 millions par an). Pourtant un chiffre fait tâche. Une enquête menée par la N.B.P.A. (National Basket-ball Professionnal Association) a révélé que 60% des joueurs sont ruinés seulement cinq ans après leur retraite.
Pourtant, les grandes ligues américaines possèdent un système qui n’existent pas en Europe : celui des pensions.
Un système inconnu en France et que l’on oublie trop souvent. Nous les premiers. En effet, dans une rubrique appelée « Ils ont choisi la France« , Le Monde nous rappelait l’an passé dans un portrait sur Ron Anderson – ancien NBAer (1984 à 1994), meilleur marqueur de Pro A avec Montpellier (1994/95) et aujourd’hui à 51 ans joueur de La Séguinière en N3 – que celui-ci pouvait compter sur sa pension d’ancien joueur NBA pour vivre confortablement.
Instauré en 1965
L’instauration des pensions a fait suite à la menace d’une grève. En 1964, le All Star Game doit (déjà) être retransmis par un important dispositif à la télévision. Mais mené par le syndicaliste de
toujours Oscar Robertson – là aussi, un élément oublié de sa magnifique carrière -, les joueurs menacent de ne pas jouer le match afin d’accéder à de multiples revendications (maximum de 82 matchs par saison, être payé lors des matchs d’exhibition et réduire leur nombre…). Parmi celles-ci, la mise en place d’un système de pension. A l’âge de 65 ans, les joueurs auront droit à 600 dollars par mois du moment qu’ils ont joué dix ans dans la ligue. Une nouvelle législation que ne prendra en compte alors que les années à venir et non pas les années futures.
Les NBAers «pre-1965» mis de côté
Jusqu’au All Star Game de Las Vegas en 2007, l’histoire aura fait scandale. Comme nous venons de le dire ci-dessus, les joueurs ayant joué avant 1965 n’étaient pas concernés par le système de pension et ce jusqu’en… 1988 ! A cette époque là, David Stern, déjà commissionner, rectifia le tir. Ou plutôt, l’atténua. Le cinquième amendement du « 1965 pension program« , il permet aux joueurs ayant joué en NBA avant cette date fatidique de bénéficier eux aussi de pensions. Mais celles-ci ne sont pas du même ordre que celles données aux joueurs ayant évolué en NBA après 1965. En effet, les conditions d’attributions de ces pensions sont différentes (cinq ans de contrat NBA contre trois pour les « post-65ers ») et leur montant n’est pas le même (100 dollars par mois par saisons jouées contre 200). Cette injustice fut longtemps montrée du doigt par une groupe nommé « The pre-pension players » fondé en 1988 par Bill Tosheff, ancien joueur d’Indiana et de Milwaukee ayant joué trois ans en NBA dans les années 50 (1951/54). Une injustice réglée donc en 2007, à l’occasion du All Star Game de Las Vegas où David Stern remis à égalité les conditions d’attributions et montants des pensions (avoir évolué trois ans en NBA et 3600 dollars par mois pour chaque saison jouée en NBA au lieu de 2400). A l’époque de ce changement, 85 personnes ayant joué avant 1965 trois ou quatre ans en NBA ont bénéficié de celui-ci.
Le montant des pensions très flou
On ne vous le cache pas, on ne s’aurait vous dire avec exactitude le montant des pensions que touchent les joueurs NBA suite à leur carrière. Mais pour vous informer au maximum sur le sujet, voici la retranscription de toutes les informations que nous avons réussi à collecter sur le sujet :
* Le chiffre de 306.34 dollars par mois multiplié par le nombre de saisons joués dans la grande ligue revient souvent sur la table. Ainsi, de nombreux internautes calculent les pensions de la sorte : Magic Johnson a joué treize saisons en NBA. On multiplie 306.34 par treize ce qui fait la pension mensuelle de Magic versée par la NBA : soit 3 983.2 dollars. Multiplié par douze cela donne 47 798,4 dollars, la pension annuelle.
* Autrefois, ce chiffre était de 200 dollars. Ainsi, un joueur ayant passé trois ans en NBA (le minimum requis) touchait 600 dollars par mois.
* La pension maximale (195 000 dollars sur l’année) est atteint lorsque le joueur a passé onze ans en NBA et touche cette pension à partir de 62 ans.
* Les joueurs peuvent toucher cette pension dès leur 50 ans. Cependant, ils ont aussi droit de la toucher à 45 ans mais n’en auront que deux tiers, et ce jusqu’à la fin de leur vie.
* Un article du Times Wire Services du 23 juillet 1990 fait mention qu’un nouvel accord permet aux joueurs entre 30 et 50 ans d’accéder à une partie de cette pension mais nous n’avons nulle autre confirmation ailleurs et rien n’y est développé. Cependant, de mémoire d’homme, nous nous souvenions avant de recourir à la recherche que les joueurs pouvaient avoir accès à cette « retraite » dès leur 40 ans.
* Faire une saison signifie au minimum : être activé dans le roster pendant au moins 50% de la saison (comprenait du début de la saison au 2 février)
* Un peu plus de 1330 personnes toucheraient ces pensions à l’heure actuelle.
* Que le joueur soit Michael Jordan où ait été le douzième homme d’une franchise obscure dans les années 1970 ne changent rien à la donne. Il n’y a là ni distinctions de niveau, salaires, temps de jeu. Les joueurs sont traités en fonction de leurs années d’ancienneté en NBA.
Remplir les conditions de droit aux pensions, un objectif de carrière
De nombreux américains évoluant en Europe n’ont qu’un objectif en tête : jouer en NBA. Pourtant, ils sont nombreux à avoir cumulé les piges dans la grande ligue sans remplir les conditions d’accès à cette pension à la veille de la fin de leur carrière.
C’est le cas de Marcus Brown, comme le rappelait Daniel Edward Rosen dans le New York Times du 12 décembre 2009. Le meilleur marqueur de l’histoire de l’Euroleague a bien gagné sa vie en Europe. Comme beaucoup de joueurs, il a longtemps bénéficié en Europe d’un statut dont il n’avait pas les capacités à se forger en NBA. Un statut qui lui a permis de jouer parmi les meilleures écuries européennes et de signer des contrats en or, notamment en s’engageant plusieurs années au CSKA Moscou en 2004. Malheureusement, l’arrière scoreur n’a cumulé que 27 matchs dans sa courte carrière NBA. Carrière qui n’aura duré que… deux ans. Pas assez donc pour pouvoir bénéficier d’une pension lors de sa retraite. Aujourd’hui en toute fin de parcours au Zalgiris Kaunas, l’ancien palois et limougeaud n’a plus la prétention à 35 ans pour pouvoir effectué une nouvelle saison NBA.
Une chose que ne veut pas connaître Alex Acker. Anonyme en NBA (5 matchs avec les Pistons en 2005/06 puis 7 l’an passé toujours à Detroit et 18 avec les Clippers), comme aimait se décrire Giricek une fois de retour en Europe, Acker a cravaché à 27 ans pour cumuler derrière lui deux saisons NBA. Joueur de premier plan en Europe (Olympiakos en 2006/07, Barcelone la saison suivante et l’AJ Milan cette saison), Acker se fixe comme objectif de rejouer au moins une saison en NBA. « Jouer trois ans dans la ligue et l’organisation vous fournira un chèque pour le reste de votre vie… C’est un bon plan à mes yeux« , a-t-il confié par email au journaliste du NY Times. S’il décide de ne toucher sa pension qu’à ses 62 ans, il aura droit à 56 988 dollars par an. Avis aux amateurs…
Rien d’équivalent en Europe
Si l’Europe offre un autre statut, des salaires parfois plus importants que les salaires minimum NBA, prend souvent en charge les taxes locales et permet à nombre d’américains d’avoir un temps de jeu et une influence qu’ils n’auront jamais en NBA, elle n’offre de pension dans aucun de ses championnats. « Il n’y a rien comme ce que la NBA offre comme pension minimale« , confirme Maurizio Gherardini, assistant GM des Toronto Raptors et ancien GM du Benetton Trévise.
Et lorsque c’est les retraités NBA s’expriment, ils conseillent aux « petits jeunes » de se concentrer sur ces trois années. « Si je suis un gars qui a deux ans et demi, ou si j’ai deux ans, je veux avoir ma troisième année, même si je reste assis sur le banc« , explique Tim Bassett, joueur des Spurs et des Nets dans les années 70/80. « Avoir un peu d’argent qui rentre après toutes ces années c’est mieux que de ne rien avoir« , conclua-t-il.
Un système méconnu par les joueurs ?
Les joueurs sont les principaux concernés par ces pensions puisque c’est eux seuls qui y ont droit. Pourtant, certains propos prêtent à croire que la plupart d’entre eux ne sont pas au courant de l’existence de ces bourses. Toujours dans cet excellent article de notre confrère (oui le mot est grand mais ne nous en privons pas) du New York Times, Casey Jacobsen avouait avoir très peu penser aux pensions lors de ses quatre saisons NBA, aux Suns, Hornets et Grizzlies, avant de revenir à la raison une fois en Europe. « Maintenant, je suis content de l’avoir fait. Mon corps ne peut pas jouer éternellement« , confia-t-il dans les colonnes du journal de la Grosse Pomme.
Les joueurs pas au courant ? Pour certains, oui, pour d’autres, non. Rappelez vous. En 1998/99, Gheorghe Muresan est encore sous contrat avec les Nets. Au cours de cette saison, il rentra une fois en jeu, bien que toujours blessé. Un petit tour de trente secondes et puis s’en va. Beaucoup diront alors que Gidza aurait fait cela pour voir sa pension augmenter.
L’attraction et les problèmes d’un système que l’on ne rencontre qu’aux Etats-Unis
Les pensions, un système que l’on ne retrouve que dans le sport américain et ses grandes ligues (NFL, NHL, MLB…). Un système qui devrait permettre aux joueurs de ne pas sombrer économiquement et socialement suite à leur carrière. Pourtant, le délai étant long, de nombreux joueurs sont ruinés avant d’y avoir droit.
Car si la NBPA a dû imposer à la NBA celui-ci, c’est sans doute car la reconversion des anciens sportifs professionnels est un problème au Etat-Unis. Si elle est aussi difficile en Europe et en France, de nombreux programmes et un certain suivi fédéral permet de pouvoir éviter les catastrophes.
En attendant, ce système est bien sur des plus attractifs. La pension minimale permet aujourd’hui de pouvoir vivre aisément durant la retraite. Cela paraîtrait bête de se priver d’une telle somme.
Voila qui nous permet enfin de comprendre un peu mieux le choix des Petro, Diawara ou Mahinmi.
Les pensions pour les ex-joueurs NBA, la règle oubliée
« Pourquoi Johan Petro, Ian Mahinmi ou Yakhouba Diawara ne préfèrent-il pas revenir en Europe trouver du temps de jeu plutôt que d’enchaîner les DNP sur le banc de leur franchise respective ? » telle est la question qui nous revient tous les jours.
Salaires, exposition, prestige, confort de vie sont quatre arguments qui pèsent leur poids. Mais une ne revient jamais : la question des pensions.
60% des joueurs sont ruinés seulement cinq ans après leur retraite
Car la NBA est généreuse. Elle est la ligue où les joueurs sont le mieux payés en moyenne (environ 5 millions par an). Pourtant un chiffre fait tâche. Une enquête menée par la N.B.P.A. (National Basket-ball Professionnal Association) a révélé que 60% des joueurs sont ruinés seulement cinq ans après leur retraite.
Pourtant, les grandes ligues américaines possèdent un système qui n’existent pas en Europe : celui des pensions.
Un système inconnu en France et que l’on oublie trop souvent. Nous les premiers. En effet, dans une rubrique appelée « Ils ont choisi la France« , Le Monde nous rappelait l’an passé dans un portrait sur Ron Anderson – ancien NBAer (1984 à 1994), meilleur marqueur de Pro A avec Montpellier (1994/95) et aujourd’hui à 51 ans joueur de La Séguinière en N3 – que celui-ci pouvait compter sur sa pension d’ancien joueur NBA pour vivre confortablement.
Instauré en 1965
L’instauration des pensions a fait suite à la menace d’une grève. En 1964, le All Star Game doit (déjà) être retransmis par un important dispositif à la télévision. Mais mené par le syndicaliste de
toujours Oscar Robertson – là aussi, un élément oublié de sa magnifique carrière -, les joueurs menacent de ne pas jouer le match afin d’accéder à de multiples revendications (maximum de 82 matchs par saison, être payé lors des matchs d’exhibition et réduire leur nombre…). Parmi celles-ci, la mise en place d’un système de pension. A l’âge de 65 ans, les joueurs auront droit à 600 dollars par mois du moment qu’ils ont joué dix ans dans la ligue. Une nouvelle législation que ne prendra en compte alors que les années à venir et non pas les années futures.
Les NBAers «pre-1965» mis de côté
Jusqu’au All Star Game de Las Vegas en 2007, l’histoire aura fait scandale. Comme nous venons de le dire ci-dessus, les joueurs ayant joué avant 1965 n’étaient pas concernés par le système de pension et ce jusqu’en… 1988 ! A cette époque là, David Stern, déjà commissionner, rectifia le tir. Ou plutôt, l’atténua. Le cinquième amendement du « 1965 pension program« , il permet aux joueurs ayant joué en NBA avant cette date fatidique de bénéficier eux aussi de pensions. Mais celles-ci ne sont pas du même ordre que celles données aux joueurs ayant évolué en NBA après 1965. En effet, les conditions d’attributions de ces pensions sont différentes (cinq ans de contrat NBA contre trois pour les « post-65ers ») et leur montant n’est pas le même (100 dollars par mois par saisons jouées contre 200). Cette injustice fut longtemps montrée du doigt par une groupe nommé « The pre-pension players » fondé en 1988 par Bill Tosheff, ancien joueur d’Indiana et de Milwaukee ayant joué trois ans en NBA dans les années 50 (1951/54). Une injustice réglée donc en 2007, à l’occasion du All Star Game de Las Vegas où David Stern remis à égalité les conditions d’attributions et montants des pensions (avoir évolué trois ans en NBA et 3600 dollars par mois pour chaque saison jouée en NBA au lieu de 2400). A l’époque de ce changement, 85 personnes ayant joué avant 1965 trois ou quatre ans en NBA ont bénéficié de celui-ci.
Le montant des pensions très flou
On ne vous le cache pas, on ne s’aurait vous dire avec exactitude le montant des pensions que touchent les joueurs NBA suite à leur carrière. Mais pour vous informer au maximum sur le sujet, voici la retranscription de toutes les informations que nous avons réussi à collecter sur le sujet :
* Le chiffre de 306.34 dollars par mois multiplié par le nombre de saisons joués dans la grande ligue revient souvent sur la table. Ainsi, de nombreux internautes calculent les pensions de la sorte : Magic Johnson a joué treize saisons en NBA. On multiplie 306.34 par treize ce qui fait la pension mensuelle de Magic versée par la NBA : soit 3 983.2 dollars. Multiplié par douze cela donne 47 798,4 dollars, la pension annuelle.
* Autrefois, ce chiffre était de 200 dollars. Ainsi, un joueur ayant passé trois ans en NBA (le minimum requis) touchait 600 dollars par mois.
* La pension maximale (195 000 dollars sur l’année) est atteint lorsque le joueur a passé onze ans en NBA et touche cette pension à partir de 62 ans.
* Les joueurs peuvent toucher cette pension dès leur 50 ans. Cependant, ils ont aussi droit de la toucher à 45 ans mais n’en auront que deux tiers, et ce jusqu’à la fin de leur vie.
* Un article du Times Wire Services du 23 juillet 1990 fait mention qu’un nouvel accord permet aux joueurs entre 30 et 50 ans d’accéder à une partie de cette pension mais nous n’avons nulle autre confirmation ailleurs et rien n’y est développé. Cependant, de mémoire d’homme, nous nous souvenions avant de recourir à la recherche que les joueurs pouvaient avoir accès à cette « retraite » dès leur 40 ans.
* Faire une saison signifie au minimum : être activé dans le roster pendant au moins 50% de la saison (comprenait du début de la saison au 2 février)
* Un peu plus de 1330 personnes toucheraient ces pensions à l’heure actuelle.
* Que le joueur soit Michael Jordan où ait été le douzième homme d’une franchise obscure dans les années 1970 ne changent rien à la donne. Il n’y a là ni distinctions de niveau, salaires, temps de jeu. Les joueurs sont traités en fonction de leurs années d’ancienneté en NBA.
Remplir les conditions de droit aux pensions, un objectif de carrière
De nombreux américains évoluant en Europe n’ont qu’un objectif en tête : jouer en NBA. Pourtant, ils sont nombreux à avoir cumulé les piges dans la grande ligue sans remplir les conditions d’accès à cette pension à la veille de la fin de leur carrière.
C’est le cas de Marcus Brown, comme le rappelait Daniel Edward Rosen dans le New York Times du 12 décembre 2009. Le meilleur marqueur de l’histoire de l’Euroleague a bien gagné sa vie en Europe. Comme beaucoup de joueurs, il a longtemps bénéficié en Europe d’un statut dont il n’avait pas les capacités à se forger en NBA. Un statut qui lui a permis de jouer parmi les meilleures écuries européennes et de signer des contrats en or, notamment en s’engageant plusieurs années au CSKA Moscou en 2004. Malheureusement, l’arrière scoreur n’a cumulé que 27 matchs dans sa courte carrière NBA. Carrière qui n’aura duré que… deux ans. Pas assez donc pour pouvoir bénéficier d’une pension lors de sa retraite. Aujourd’hui en toute fin de parcours au Zalgiris Kaunas, l’ancien palois et limougeaud n’a plus la prétention à 35 ans pour pouvoir effectué une nouvelle saison NBA.
Une chose que ne veut pas connaître Alex Acker. Anonyme en NBA (5 matchs avec les Pistons en 2005/06 puis 7 l’an passé toujours à Detroit et 18 avec les Clippers), comme aimait se décrire Giricek une fois de retour en Europe, Acker a cravaché à 27 ans pour cumuler derrière lui deux saisons NBA. Joueur de premier plan en Europe (Olympiakos en 2006/07, Barcelone la saison suivante et l’AJ Milan cette saison), Acker se fixe comme objectif de rejouer au moins une saison en NBA. « Jouer trois ans dans la ligue et l’organisation vous fournira un chèque pour le reste de votre vie… C’est un bon plan à mes yeux« , a-t-il confié par email au journaliste du NY Times. S’il décide de ne toucher sa pension qu’à ses 62 ans, il aura droit à 56 988 dollars par an. Avis aux amateurs…
Rien d’équivalent en Europe
Si l’Europe offre un autre statut, des salaires parfois plus importants que les salaires minimum NBA, prend souvent en charge les taxes locales et permet à nombre d’américains d’avoir un temps de jeu et une influence qu’ils n’auront jamais en NBA, elle n’offre de pension dans aucun de ses championnats. « Il n’y a rien comme ce que la NBA offre comme pension minimale« , confirme Maurizio Gherardini, assistant GM des Toronto Raptors et ancien GM du Benetton Trévise.
Et lorsque c’est les retraités NBA s’expriment, ils conseillent aux « petits jeunes » de se concentrer sur ces trois années. « Si je suis un gars qui a deux ans et demi, ou si j’ai deux ans, je veux avoir ma troisième année, même si je reste assis sur le banc« , explique Tim Bassett, joueur des Spurs et des Nets dans les années 70/80. « Avoir un peu d’argent qui rentre après toutes ces années c’est mieux que de ne rien avoir« , conclua-t-il.
Un système méconnu par les joueurs ?
Les joueurs sont les principaux concernés par ces pensions puisque c’est eux seuls qui y ont droit. Pourtant, certains propos prêtent à croire que la plupart d’entre eux ne sont pas au courant de l’existence de ces bourses. Toujours dans cet excellent article de notre confrère (oui le mot est grand mais ne nous en privons pas) du New York Times, Casey Jacobsen avouait avoir très peu penser aux pensions lors de ses quatre saisons NBA, aux Suns, Hornets et Grizzlies, avant de revenir à la raison une fois en Europe. « Maintenant, je suis content de l’avoir fait. Mon corps ne peut pas jouer éternellement« , confia-t-il dans les colonnes du journal de la Grosse Pomme.
Les joueurs pas au courant ? Pour certains, oui, pour d’autres, non. Rappelez vous. En 1998/99, Gheorghe Muresan est encore sous contrat avec les Nets. Au cours de cette saison, il rentra une fois en jeu, bien que toujours blessé. Un petit tour de trente secondes et puis s’en va. Beaucoup diront alors que Gidza aurait fait cela pour voir sa pension augmenter.
L’attraction et les problèmes d’un système que l’on ne rencontre qu’aux Etats-Unis
Les pensions, un système que l’on ne retrouve que dans le sport américain et ses grandes ligues (NFL, NHL, MLB…). Un système qui devrait permettre aux joueurs de ne pas sombrer économiquement et socialement suite à leur carrière. Pourtant, le délai étant long, de nombreux joueurs sont ruinés avant d’y avoir droit.
Car si la NBPA a dû imposer à la NBA celui-ci, c’est sans doute car la reconversion des anciens sportifs professionnels est un problème au Etat-Unis. Si elle est aussi difficile en Europe et en France, de nombreux programmes et un certain suivi fédéral permet de pouvoir éviter les catastrophes.
En attendant, ce système est bien sur des plus attractifs. La pension minimale permet aujourd’hui de pouvoir vivre aisément durant la retraite. Cela paraîtrait bête de se priver d’une telle somme.
Voila qui nous permet enfin de comprendre un peu mieux le choix des Petro, Diawara ou Mahinmi.
- the answer64
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Re: DRAFT 2010
Bon moi je vais tenter de faire mon premier 10day contrat dès maintenant ! 

[img]http://img207.imageshack.us/img207/294/raposoev9.jpg[/img]
Re: DRAFT 2010
bon allez moi aussi , et au diable la varice et tout ce que j'ai dit avant !!!!!!
je signe ou ??????? m'en fout de jouer , je veux juste couper des oranges maintenant !!!!!!

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j'ai 3 ans de libre devant moi !!!!!!





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Re: DRAFT 2010
C'est "au diable l'avarice"
mais "au diable la varice" peut se dire aussi sans avoir la même signification ...

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Re: DRAFT 2010
Comme quoi, il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis!!!

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En attendant, on a l'explication du pourquoi certains joueurs moyens préfèrent végéter en NBA plutôt que de jouer 25/30 mn dans un club d'Eurocup ou d'Eurochallenge!
On comprend aussi pourquoi certains US décident de venir jouer au "vrai" basket en Europe après avoir assuré leur retraite en NBA!
Les agents sont des parasites qui pensent à leur trombine, mais ils n'ont pas forcément que des mauvais conseils.
Diawara a déjà 1200$ de garanti par mois à partir de ses 62 ans!! Sans compter ce qu'il aura pu mettre de côté pendant 4 ans.
Petro, c'est 1800$!! Combien devrait-il gagner aujourd'hui en France pour espérer une telle retraite??
J'avoue que je ne connaissais pas cette loi américaine mais désormais, je bondirai moins haut quand je verrai des français s'inscrire à la draft...........





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En attendant, on a l'explication du pourquoi certains joueurs moyens préfèrent végéter en NBA plutôt que de jouer 25/30 mn dans un club d'Eurocup ou d'Eurochallenge!
On comprend aussi pourquoi certains US décident de venir jouer au "vrai" basket en Europe après avoir assuré leur retraite en NBA!
Les agents sont des parasites qui pensent à leur trombine, mais ils n'ont pas forcément que des mauvais conseils.
Diawara a déjà 1200$ de garanti par mois à partir de ses 62 ans!! Sans compter ce qu'il aura pu mettre de côté pendant 4 ans.
Petro, c'est 1800$!! Combien devrait-il gagner aujourd'hui en France pour espérer une telle retraite??
J'avoue que je ne connaissais pas cette loi américaine mais désormais, je bondirai moins haut quand je verrai des français s'inscrire à la draft...........

Re: DRAFT 2010



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moi j'avais bien entendu d'une retraite nba , mais je pensais pas que c'etait apres "que" 3 ans de contrat
putain encore 3ans ...............


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- gpolin
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Re: DRAFT 2010
Comme tout le monde, je ne connaissais pas l'existence de ce système de pension qui est plutôt bien pensé je trouve.
Maintenant, que ça donne envie d'y rester 3-4 ans, ok, mais de là à y poireauter plus, cela montre encore que nombre de joueurs ne pensent qu'au fric.
Tu assures ta retraite (pension + argent mis de côté durant la carrière) et ensuite tu te décides à jouer au basket et pas à la centrifugeuse.
Maintenant, que ça donne envie d'y rester 3-4 ans, ok, mais de là à y poireauter plus, cela montre encore que nombre de joueurs ne pensent qu'au fric.
Tu assures ta retraite (pension + argent mis de côté durant la carrière) et ensuite tu te décides à jouer au basket et pas à la centrifugeuse.
Legendaire8 a écrit : "Bon anniversaire au fils spirituel de Jules Ferry et Hélène Darroze, perdu dans sa pampa des tréfonds de l’île de France, perturbateur des minutes de silence de Levallois, mais bon camarade. Dites 33"
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Re: DRAFT 2010
Très intéressant!
Merci JJ!
Merci JJ!

Re: DRAFT 2010
en businessman aguérit, je vais financer auprès d'une franchise mon propre contrat d'engagement au salaire minimum sur 3 ans ... si mes calculs sont exacts, le retour sur investissement est de 12% par an et à vie ! Putain, vous auriez pu me dire ça plus tôt !
- Guitou
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Re: DRAFT 2010
Sinon, quelqu'un a osé dire que Diawara n'aurait sa place qu'en pro A et c'est assez consternant. Avant de signer en NBA, il a été un joueur majeur en Top 16 d'EL avec Bologne. Combien on en a des comme ça depuis quelques saisons ? Facile, aucun. Je suis persuadé que tous (oui, tous) nos NBAers ont leur place dans une rotation d'EL. Pas à Barcelone ou Olympiakos pour la plupart mais y a que 12 joueurs dans ces équipes et ce n'est pas honteux de jouer l'EL dans des équipes moins fortes.